20th Century Boy a écrit :
Moi j'ai surtout des histoire de cuite. Des histoires de drague, pas trop. Draguer ça a souvent consisté pour moi a boire beaucoup afin de pouvoir supporter la logorrhée féminine, du coup en fin de soirée, dans un éclair de lucidité, je préférais souvent aller me coucher n'étant plus très vaillant.
Derrière ce trait d'esprit au combien drolatique nous démontre que boire, faut savoir y faire.
Tant qu'au long rateau sorti du site de spécialiste... il nous prouve (de même que vos réponses) :
- qu'à trop attendre et observer pour agir, il ne se passe rien.
- qu'être direct à parfois du bon
- qu'un énorme mensonge ("j'ai fait à manger mes amis sont pas venus" que moi mes potes me font ça, avant d'apeller la voisine, je dessoude mes potes...) peut s'avérer utile
- qu'il ne faut jamais AU GRAND JAMAIS offrir des cadeaux de Saint Valentin à une simple copine (et à l'écouter pendant des heures parler de ses dernières saillies avec d'autres)
- qu'un GPS peut vous sauver la vie (le mec il se goure de 80 bornes ! C'est un débile profond...)
- qu'un "mec formidable" qui n'échange pas sexuellement avec sa partenaire dans le plaisir mutuel est un avant tout un con
- que partir dans un rêve d'amour poétique avec quelqu'un qui ne souhaite que du sexe est un genre de suicide à mort lente et douloureuse. (sa demoiselle se tapait la moitié de tout environnement socio professionnel ou elle était)
- que la conclusion prouve que le jeune homme, en plus d'être un astre de connerie, est tombé sur une folle furieuse coincé dans la galaxie stupidité.
Le Lutin "Monsieur Mannathan"