Juge Burgaut

Rappel du dernier message de la page précédente :
gros bourrin
Burt_Cocain a écrit :
Il s est plante, ok mais on ne peut pas reprocher a un chien de ne pas etre un chat, d autres auraient pu commetre la meme erreur, surtout sur un sujet aussi sensible que la pedophilie.


Des fois je me edmande quel aurait pu etre sa reaction autre que celle qu'il a eut ?
Chirac a fait voté une loi qui dis qu'on doit prendre au serieux toute parole d'enfant, et lui l'a appliqué a la lettre quand les enfants ont dis que untel et untel les ont violé .
Alors j'ai entendu un espece de cakos dire qu'a partir du moment ou les accusé hurlait leur innocence, on aurait du se mefier ... Mais va fair eun tour en prison, et tu verra qu'ils crie tous leur innocence, meme ceux qu'on a pris la main dans le sac ... Suffit de voir quand on chope une racaille avec du shit dans les poche :" c'est pas moi, on me la mis dans la poche" ...
Ricebann
(17/02/2006) - Avis du CSM du 16 février 2006 : En ce moment exceptionnel où l'Assemblée Nationale s'interroge, à l'occasion de l'affaire dite d'OUTREAU, sur la manière dont la justice est rendue, le Conseil supérieur de la magistrature estime de son devoir constitutionnel de rappeler les principes fondamentaux de séparation des pouvoirs et d'indépendance de l'autorité judiciaire qui, dans un Etat de droit, déterminent la place et le fonctionnement de la justice. Ces principes n'interdisent certes pas une réflexion sur son évolution, ses moyens, ses méthodes et ses conditions de fonctionnement ; mais ils constituent les fondements essentiels d'une justice démocratique, quel que soit le système judiciaire ou le statut des magistrats.

Ces principes sont établis en faveur du citoyen. Ils lui garantissent l'accès à un juge impartial, qui doit pouvoir exercer ses fonctions juridictionnelles à l'abri de toute pression politique, sociale, médiatique ou autre.

Ces principes impliquent que les pouvoirs publics se gardent de toute ingérence dans la prise de décision du magistrat. De même que le juge ne saurait refaire la loi, les autres pouvoirs doivent s'abstenir de refaire la décision juridictionnelle. Celle-ci ne peut être remise en cause que par l'exercice des voies de recours.

Enfin, c'est encore dans l'intérêt du citoyen que le magistrat doit respecter son secret professionnel et le secret du délibéré dont le Conseil supérieur a récemment rappelé que personne ne pouvait l'en relever.

Au vu des auditions de magistrats par la commission d'enquête parlementaire de l'Assemblée Nationale, le Conseil supérieur de la magistrature déplore que ceux-ci aient été interrogés sur l'élaboration de leurs décisions juridictionnelles. Il doit rappeler avec force que les juges ne peuvent être contraints de s'en justifier autrement que par la motivation prescrite par la loi et, s'agissant des procureurs, selon les règles prévues par le code de procédure pénale.
encore une fois banni pour bondieuseries (skynet)

En ce moment sur backstage...