Zorzi a écrit :
Faisons abstraction de ton ton hautain et dominateur.
Tiens, ça faisait longtemps.
Je ne faisais que te répondre, de la manière la plus normale possible. Tu as commencé par
"Je me fous de l'exemplarité", donc question "ton hautain et dominateur", permet moi de te dire que tu as une poutre dans l'oeil, j'ai réussi à la voir avec la paille que j'avais dans le mien. Mais bref, passons.
Zorzi a écrit :
Si ton patron pesait de toute son influence pour te trouder la pastille en te harcelant chaque jour, tu aurais peut-être une autre idée de la "résonance de la sphère du slip avec la sphère professionnelle". Sûr qu'à ce moment-là, tu louerais sans cesse ses hautes compétences et que ça ne gênerait pas du tout les tiennes dans l'exercice de tes fonctions. Sans compter l'excellente ambiance dans toute l'entreprise.
Je ne parlais pas de harcèlement au travail. Un supérieur qui fait tout pour te sauter quand tu es une petite stagiaire sexy, c'est evidemment et bien heureusement puni par la loi.
Mais dans le cas des politiques qui commettent des infidélités à répétitions, fréquentent les boites à partouze, se font sucer par des femmes de ménage, ou sodomiser par des zèbres, tant que les personnes avec qui ils commettent leurs forfaits sont consentantes et que ça reste dans la discretion de la sphère privée, pour moi ça n'influe en rien sur leur capacité à diriger quoi que ce soit, tant que cela reste dans le cadre de la loi.
A mon avis, et si on veut prendre une perspective historique, les grands impuissants ont fait plus de dégâts que les simples baiseurs compulsifs.
"J'allais toucher l'anti-accord absolu, vous entendez : ABSOLU. La musique des sphères ... Mais qu'est ce que j'essaie de vous faire comprendre, homme singe!"