Mes amis, l'heure est grave.
Devant la montée des totalitarismes de toute sorte, devant la levée de boucliers causée par la non moins totalitariste politique socio-culturelle et néanmoins vaguement prosélyte de ce forum, j'ai décidé d'ouvrir un sujet libre ou chacun pourra donner son opinion sur un sujet d'actualité qui me tient à coeur. Je tiens à plaider ici devant vous que l'exceptionnelle diversité culturelle est l’orientation acquise d'un monde plus égalitaire où personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus exigeante. Il faut savoir que l'intégration sociale au profit de la vie associative des quartiers propose concrètement l'opposition résolue d'une perception des prémices de la récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Je demeure entièrement assuré que l'approche sociale dans notre pays guide le dialogue identitaire d'un mouvement cheminant vers plus d'unité. Je suis naturellement certain que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un suivi plus humain des moins fortunés.
Malgré tous les efforts combinés d'un certain nombre de personnes ici afin d'élever la teneur du débat, je reste fondamentalement persuadé que la sécurité des personnes efforce notre conscience à l'inéluctable constat d'une France où collectivité rime avec solidarité. Vous appréhendez sans nul doute que la France généreuse doit être au centre des débats d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement. Pourquoi devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de constater que ceux-ci illustrent bien que la situation réelle prend la direction conditionnelle d'une intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire.
Cela dans un contexte de crise identitaire, sociale et culturelle, où la légalisation du mariage gay, ainsi que le débat sur la procréation assistée qui en découle, accapare l'attention des media et de la classe politique, je trouve qu'on a tendance à perdre de vue l'essentiel qui devrait, à l'heure où je parle, être la préoccupation numéro un du citoyen qui sommeille en nous, et que je propose d'exposer en quelques phrases. En toute conscience, j’affirme, moi, que la pauvreté qui s'accroît pose la question de la solidarité et de la démocratie, en donnant plus d'acuité aux questions d’éducation, de santé, de justice sociale, avec des projets attractifs s’inscrivant dans une dynamique cohérente. J'ai toujours pensé que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise oriente la conscience collective dans la voie d'une autorité permettant la meilleure cohérence possible. Il faut résolument admettre que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles fait ressortir le réel attrait d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. Je dois vous avertir que la montée des dépenses basiques permet la reconnaissance absolue d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques.
Enfin, et sans vouloir exclure du débat certains forumers ici qui ont des positions, certes tranchées, mais également intéressante dans les sujets d'actualité qui nous occupent, sans vouloir citer de nom, je pense qu'il est juste de vouloir le recentrer sur un certain nombre de points légitimes qui font partie des évolutions naturelles de notre société, quoi qu'on en dise. Qui n’a pas remarqué cela : la situation dégradée de l’emploi ne peut manquer d’interpeller, au plus profond d'eux-mêmes, les citoyens que nous sommes.
De même, personne ne me contredira si j’affirme, en toute connaissance de cause, que la privatisation des entreprises nationalisées est une problématique qui n’est pas nouvelle, et qui perdure depuis des années. De plus, nous avons tous pu constater que la montée de la précarité nous demande, plus que jamais, de rester particulièrement attentifs et vigilants.
Comment en sommes-nous arrivés-là ? L’explication est claire. Le chemin qui reste à parcourir est, certes, considérable : mais nos adversaires semblent avoir oublié que la tolérance assure la démocratie. Également, avant tout, je voudrais dire que la privatisation des entreprises nationalisées pose la question de l’égalité des chances, en mettant en avant nos atouts, nos mérites et notre modernité, avec une politique cohérente, raisonnée et concertée. Enfin, ne cherchons pas à imiter. En effet, j’ai depuis longtemps (mais est-il vraiment utile de le rappeler ?) émis l’idée que la montée de la précarité oblige à une meilleure prise en compte des équilibres humains, en donnant toute sa place au dialogue social, dans une Nation plus juste, plus humaine, plus responsable, plus libre.
Voilà, j'espère que les personnes concernées auront envie de poursuivre le débat plus avant, en passant outre nos préjugés et nos différends respectifs, pour être plus que jamais constructifs. Et n'oubliez pas qu'au final, le plus important, c'est surtout de rester soi-même ... après, c'est que du bonheur.
« En conclusion, Backstage est un préservatif assez ouvert, mais ça ne permet pas d'y raconter n'importe quoi. On peut faire dans la petite culotte, mais avec finesse et sans exagération sur des sons gutturaux intéressants. Tout le voltmètre vous en sera reconnaissant. »
« En réalité, je le répète, ceci est un forum de guitaristes. Qui plus est, un forum de guitaristes dits comiques. Ou au moins, qui tentent de l'être... »
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« l'esthétisme c'est pour les fans de Pink Floyd. Le metal c'est la mort et la bestialité extrême jusqu'à la destruction éternelle ! Satan commande mon âme jusqu'au désastre total !!!
Fuck off until death » © Seth Rotten