Mais ils en sont un peu revenu des cabinets de conseils. Ils ne s'embarrassent même plus de monter un pipeau justificateur... Par exemple, pour la présomption de démission pour l'abandon de poste (décembre dernier, passé en loucedé quand tout le monde ralait sur la retraite), il n'y avait aucun chiffre. C'est juste " pas mal de vilains salariés abandonnent leurs postes pour ne pas avoir à démissionner et être licencié pour faute et toucher le chômage". Et de dire que le phénomène était très important et que les pauvres entreprises, qui étaient bien sur blanches comme neige, souffraient de cela... Et bien sur sans chiffres, car cela leur aurait donné tort. En oubliant que ce type d'actions, pas si fréquentes, intervenaient pas mal dans le cadre de relations conflictuelles, d'harcèlement moral et de souffrance au travail, afin de "sauver les meubles".