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fifdefif a écrit :
FreakOctopus a écrit :
fitipaldixxx a écrit :
FreakOctopus a écrit :
aksak a écrit :
Citation d'un article AFP sur Yahoo :
Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie dans les Hauts-de-Seine et co-auteur des "Territoires de la République", paru il y a douze ans, relate des incidents du même ordre que lui ont rapportés des collègues.
Au lycée Jean-Lurçat à Paris, des élèves arboraient un badge "Je suis Saïd", du nom d'un des deux frères Kouachi, responsables de la tuerie à Charlie Hebdo.
Le ministre de l?Éducation nationale a recensé samedi "certains cas de perturbations de la minute de silence par des élèves (...) dans environ 70 établissements sur 64.000".
Sur Twitter, en réponse au "Je suis Charlie" qui s'est imposé partout dans le monde comme le signe de la condamnation de l'attentat contre l'hebdomadaire satirique, des appels à diffuser des "Je suis Kouachi" ou "Je suis Coulibaly" (du nom de l'auteur de la fusillade de Montrouge et de la prise d'otages sanglante de la porte de Vincennes, ndlr), circulent depuis vendredi soir sur la toile.
Barbara Lefebvre constate que depuis Mohamed Merah, qui a tué au printemps 2012 trois enfants et un enseignant d'une école juive à Toulouse et des militaires, "la parole est de plus en plus libérée" chez les élèves. Pour le corps enseignant alors, la situation était difficile avec des élèves refusant de faire une minute de silence "pour des juifs et des flics", souligne-t-elle.
- "Minorité tyrannique" -
Pour cette enseignante, on assiste à l'émergence d'une "minorité de musulmans, d'une minorité tyrannique qui prend le pouvoir sur les autres. Si on ne la neutralise pas, il ne faut pas s'étonner que la République ne se fasse pas respecter", dit-elle.
Elle se désespère que les enseignants ne soient pas formés à l'enseignement de la laïcité. Résultat, jeudi des profs ont refusé de parler en classe des attentats: "Ils ne veulent pas en parler car ils ne savent pas comment le faire", dit-elle.
Dans le métro, des tags "vive Dieudo" (Dieudonné, ndlr) sont apparus. Barbara Lefebvre relate le sentiment chez quelques jeunes élèves d'un "deux poids deux mesures". "Il faut, explique-t-elle, leur expliquer la différence entre la liberté d'expression (Charlie Hebdo) et les incitations à la haine (Dieudonné)".
Ca craint, surtout la réaction de cette partie de la jeunesse. Et le comportement de certains enseignants jeudi.
il faudra aussi mettre ces "djeuns" en taule,c'es magnifique la socialostapo
De ta hauteur, tu proposes quoi pour cette vermine, qu'on leur file la légion d'honneur ?
Je pense que ces jeunes que tu qualifies de "vermine" te proposeraient d'aller te mettre ta légion d'honneur dans ton fondement.Je trouve ça plutôt bon signe que des jeunes ne se plient pas à l'autoritarisme politisé à l'école.
Le rapport???????????
et le rapport avec l'enseignement?
aucun .t'es exalté un peu en ce moment ???