Redstein a écrit :
caribou71 a écrit :
Redstein a écrit :
Ils sont nombreux à en rêver, n'en doute pas...
L'occasion de reposter ce truc :
j'ai arrêté à 1 m 27
je ne suis pas persuadé qu'on vivait mieux, plus libre, avec plus de loisirs et moins de travail il y a 500 ans....
Merci d'avoir cliqué
Je suis partagé sur cette vidéo (qui fait un gros buzz en ce moment, apparemment)... Tellement emphatique qu'elle en devient suspecte (je me fais l'effet d'un complotiste
), mais qui met quand même pas mal le doigt là où ça fait mal.
Personnellement, je suis persuadé qu'on vivait nettement moins bien il y a 500 ans...
...ne serait-ce que parce qu'on vivait bien moins vieux...
...mais cela ne veut pas dire qu'on n'est pas au bord du gouffre ces jours-ci, quoi
Je trouve que cette vidéo est très intéressante.
Dans les grandes lignes, elle nous dit la vérité, le saccage de la planète qu'on ne peut nier, la disparition d'espèces animales, même chez nous, l'abeille est en grand danger, un désastre effroyable qu'on aurait jamais cru possible il y a dix ans, même chez les plus pessimistes, et dire que si l'abeille disparait, là, on morfle grave.
Le fait qu'on nous tienne par le fric, c'est une évidence que nul ne peut nier.
Et qu'en même temps on nous intoxique pour des choses pour lesquels, il nous faut ce fric.
Avec des conséquence, encore là, effroyables, des joueurs de football qui gagnent des millions pour taper dans un ballon parce qu'ils sont les nouveaux dieux.
Comment ne pas rentrer dans ce putain de sytème quand les gens subissent ce lavage de cerveau.
Quelque part, un appel à une sorte de prise de conscience, à être plus sage, avoir des rêves humains qui passent par plus de simplicité en évitant tous les pièges des élites qui nous dirigent,
ne pas gober tout ce qu'on nous raconte dans les écoles...
Toute l'histoire comme on nous l'a apprise...
Tous les mythes crapuleux qu'on nous a inculqué, jusqu'au plus récent comme cette si belle Amérique, ce si bon monde libre...
Il y a tellement à faire, qu'en fait, j'y crois pas trop, je me fais guère d'illusions.