FreakOctopus a écrit :
Biosmog a écrit :
FreakOctopus a écrit :
Je ne vois ce qui est incompréhensible dans ce que je disFaut-il faut faire une généralité des hommes qui battent leurs femmes?Cela existe mais ce n'est pas la majorité autrement plus aucune femme ne souhaiterait se marier.
l'histoire de l'humanité c'est d'abord l'union d'un homme et d'une femme n'en déplaise à certains.
Le problème c'est que
c'est une généralité que les hommes battent leur femme. Tu ne dois pas fréquenter beaucoup de femme Octopus ou alors pas tellement réfléchir sur ce genre de truc. La vie de femme, c'est un peu comme la vie de footballeur africain en Europe. Tu te fais siffler chaque fois que t'esquisse le moindre pas de danse. Quand tu oses quelque chose un peu original, on te rappelle d'où tu viens.Tu ne sers qu'à marquer des buts et quand t'es un peu vieux, on te jette.
Toutes les femmes, en tant qu'elles ont un joli cul, subissent cette domination masculine qui les réduit à leur joli cul. Quand elles n'en ont pas, elles subissent cette domination qui leur rappelle qu'elles n'en ont pas. Une politicienne, une femme publique, on dit sans cesse qu'elle est jolie ou pas, bien coiffée ou pas, bien habillée ou pas. Un politicien, un homme, on dira qu'il est intelligent, connaît bien ses dossiers, défend de bonne idée ou pas...
Comme les émigrés de deuxième génération, les femmes sont en train de prendre une sorte de revanche. Elles ont subit une oppression qui leur a donné une force et une volonté un peu moins molle que celle de ces générations de mâles beaufs de pure souche bedonnant à qui tout était dû. Les femmes, les secondo, etc. sont des catégories qui réussissent extrêmement bien les études actuellement. Donc si ce n'est pas par éthique, au moins que cela soit par intérêt: il faut commencer à ouvrir les yeux, comprendre cette domination masculine (et ethnique) qui s'est faufilée jusque dans la langue et respecter un peu plus ces catégories qu'on a
consciemment ou non, discriminé au travail ou dans le couple.
je te retourne le compliment.
Il existe des femmes battues,des hommes,des enfants ou encore des personnes âgées mais en rien ces faits,bien qu'ils soient bien évidemment condamnables,ne sont généralisés à la société dans son entièreté.
Ce que l'on évoque ici ce sont plutôt les violences conjugales qui sont présentes indifféremment dans toutes les couches sociales.
Ces violences conjuguales sont déclarées "violences faites aux femmes",comme si les hommes en étaient systématiquement les instigateurs et jamais les victimes. Aucun des spots passés à la télévision ou à la radio, aucune des affiches publicitaires n'a mis en scène un homme victime de violences psychologiques ou physiques de la part de sa compagne... S'insinue ainsi dans la pensée collective l'image toute-puissante de la femme victime par essence et celle du mâle prédateur et effrayant.
La réalité qu'on tait volontairement, c'est que les violences conjugales sont un problème de couple avant d'être un problème de genre.A lire cette étude sur les violences domestiques effectuée par des universitaires de Colombie britannique en 2004.
http://www.mediaradar.org/docs(...)1.pdf
Il est surprenant de constater à quel point il nous est difficile d'accepter que des femmes soient tortionnaires et pire, que leur nombre ne soit pas si inférieur que ça à celui des hommes... Preuve que le discours victimaire de certaines féministes, abondamment relayé par les médias, fonctionne très bien...
Par contre pour ce qui est du machisme,celui-ci est majoritairement présent dans les quartiers défavorisés à forte concentration de population immigrée et étrangère comme on peut le constater dans ce reportage:
http://www.dailymotion.com/vid(...)ebcam
Ce qu'il faut savoir à propos du féminisme,c'est qu'il n'existe pas qu'un seul féminisme, mais plusieurs courants de pensée dont les positionnements sur des thématiques comme, par exemple, le port du voile, le travail du sexe ou la maternité sont très variables. Ensuite, parce qu'une pensée unique est toujours nocive, le signe de consciences anesthésiées, empêtrées dans une doctrine quasi religieuse qui ne supporte pas les contradictions, qui voudrait museler celles et ceux qui ont un avis divergent et qui, au final, empêche de penser autrement que rond.
De plus le féminisme que prônent les femen ou les chiennes de garde va à l'encontre de l'engagement des pionnières féministes qui refusaient qu'une place leur soit assignée en fonction de leur sexe...
"pour ce qui est du machisme ... à forte population immigré et étrangère" comme on peut le constater dans ce reportage ...