Cycofredo a écrit :
bloodsugah a écrit :
Sinon j'ais regreter la bobo-isation de l'auberge espagnole.
Il s'agit de trentenaires aisés de gauche qui se lamentent sur leur vie sentimentale
+1.
J'ai été déçu, ayant assez aimé l'auberge espagnole. Autant les persos étaient réalistes à 20 ans, autant à 30 ans c'est du pur fantasme.
Le mec clame que sa vie "est un vrai bordel" et se la joue total branleur. OK. Mais après j'avais envie de rigoler quand il est sensé accoucher du sitcom de l'été sur France 2 et te l'adapte ensuite à l'international, entre deux parties de jambes en l'air avec une mannequin milliardaire
L'anglaise est évidement la scénariste la plus cotée outre-manche, ben voyons... Sa copine lesbienne cocainomane est présentatrice sur CNBC
Klapish n'a pas trop du zapper sur cette chaine en fait...
C'est le mythe de la réussite facile. Les anglais ont pourtant un bon dicton : "nothing comes easy"...
clair d'autant que quand la lesbienne est déguisée en fille, chez grand papa, elle parle de la crise asiatique de 97, l'auberge espagnole ayant été tournée en 2000... enfin bon il y a quelques telescopages comme ça. En plus il y a que des beaux mecs et des belles nanas... enfin pas un gros, pas une grosse, pas un chauve, pas un(e) moche. Le pauvre garçon qui hésite entre un mannequin et une petite anglaise super craquante, on a vraiment du mal pour lui
.
M'enfin si on passe les clichés et les trucs pas réalistes, ça reste un film sympa avec des personnages attachants sur la crise de la trentaine... (Sauf que Romain Duris, jamais il a 30 ans, m'enfin, on veut bien y croire...)