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TallicaBoyz
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- Publié par
TallicaBoyz le 12 Oct 2004, 21:17
Les animaux subissent plusieurs expérimentations qui dureront des jours, des mois ou même des années :
Privations d'oxygène, de sommeil. Créations d'anxiété, d'agressivité, de folie, de convulsions et d'otites en soumettant les animaux à des bruits insupportables, d'hypertension par compressions ou blessures des artères.
* Chiens, singes, lapins ligotés que l'on fait fumer de force ; souris maintenues devant des cigarettes qui se consument ; chevaux recevant des injections de nicotine.
* Transplantations, greffes de têtes ou d'organes ; décharges électriques, tumeurs provoquées par des coups, cancers produits avec des substances chimiques.
* Manipulations génétiques, productions de monstres en embryologie expérimentale, foetus sortis du ventre de leur mère et remis en place après mutilations.
* Dans les recherches spatiales ou océanographiques, utilisation d'animaux de toutes espèces, dont des chiens, des singes rivés à leurs sièges avec des instruments fixés dans le corps.
* Ablations de nerfs ; absorptions forcées de drogues ou d'alcools ; échaudages ; noyades forcées ; injections de produits nocifs ; prélèvements de sang dans le coeur ou dans les oreilles ; essais de gaz toxiques ; expériences sur le cerveau.
* Pour commercialiser des produits cosmétiques, dans des laboratoires, les individus en blouse blanche, indifférents à la douleur qu'ils infligent, font pourrir les yeux des lapins ou des rats en y versant des produits à intervalles répétés, les badigeonnent d'ingrédients de toutes sortes, irradient les cobayes, incisent leur chair, testent la toxicité sur les poussins encore dans l'oeuf et les empoisonnent... (essais pour fards, rouges à lèvres, produits solaires, vernis à ongles, crèmes cosmétologiques, shampooings, teintures, mascaras, laques, parfums, etc.).
Dans les écoles vétérinaires, les victimes animales sont fort nombreuses. D'ignobles expériences sont, là aussi, réalisées. En recherche agronomique, des bovins, des moutons vivent perpétuellement avec, dans le flanc, un large trou maintenu béant par un système écartant les chairs, système recouvert par un genre de bouchon amovible, afin de prélever des aliments directement dans la panse des animaux, au moment même où ceux-ci digèrent.
D'autres recherches, tendant à augmenter le rendement d'une agriculture inhumaine, ont abouti aux élevages concentrationnaires, générateurs de souffrances et de multiples maladies, pour poules pondeuses, veaux, agneaux, porcs... Des animaux, dont avant la naissance les gènes ont été manipulés, arrivent au monde difformes, souffrant des anomalies que l'homme a créées. Des établissements scientifiques pratiquent des « travaux à façon ». Professeurs, médecins, vétérinaires, techniciens essaient sur les animaux innocents : des produits antiparasitaires, des engrais, des explosifs, des substances radioactives, des additifs alimentaires, des détergents, etc.
De plus, par un soucis d'économie, les animaux ne sont pas ou mal anesthésiés. Et même si c'était le cas, quand un animal se réveille bléssé, mutilé, la douleur l'attend.
Des millions d'embryons d'animaux,particulièrement de poussins encore dans l'oeuf, sont empoisonnés, infestés de germes par l'industrie pharmaceutique - exemple : fabrication de vaccins. Des foetus humains ont pris place à leur côté et font eux aussi partie du « matériel expérimental ». Sur ces êtres vivants déjà formés sont prélevées des parties d'organes, destinées à faire des cultures de tissus et de cellules. De telles recherches axées sur ces manipulations sont inadmissibles, car les foetus humains ou embryons de poulets vivants ressentent la douleur. Quand on les pique avec un instrument, ils bougent, se contractent et tentent de se soustraire à cette agression.
Certains croient qu'une réglementation et des contrôles changent le sort des animaux : c'est faux. Quand des animaux sont enfermés dans les laboratoires expérimentaux, ce n'est pas pour y assurer leur bien-être - et cela ne le sera jamais , mais inéluctablement pour pratiquer sur eux des actes douloureux. L'animal terrorisé subissant des décharges électriques, celui qui tente désespérément de se soustraire à une noyade forcée, l'animal que l'on gave de produit nocif pour constater la dose qui le fera mourir n'ont nul besoin qu'on vienne « contrôler » leur détresse. Admettre la réglementation est une hypocrite acceptation, un blanc-seing donné aux expérimentateurs et aux fournisseurs d'animaux. Il est urgent de soustraire les victimes des mains des expérimentateurs et de lutter pour que jamais plus un animal n'entre dans un de ces laboratoires. La SNDA oeuvre pour obtenir l'interdiction totale des expérimentations sur les animaux.
Les laboratoires pharmaceutiques ont pour optique principale la vente de médicaments ; aussi la progression constante de leurs bénéfices est-elle en rapport direct avec l'état maladif des populations. Laissant le public ingérer toutes sortes de substances qui délabrent les organes, la « science » essaiera de les rafistoler, voire de les changer. Les associations de recherche pullulent. Au lieu d'inciter la population à une meilleure hygiène de vie, elles organisent des « quêtes nationales ». Le produit de ces quêtes sera utilisé pour l'achat d'animaux. Ne donnez donc jamais. Malgré beaucoup d'argent dépensé, il y a de plus en plus de malheureux handicapés, des millions de déficients mentaux, de pauvres drogués dont certains ont contracté cette funeste habitude avec les tranquillisants de toutes natures qu'on leur donnait dans l'enfance. La recherche médicale actuelle constitue, en grande partie, un échec, puisqu'elle ne sait pas conserver aux individus un corps sain. Il est nécessaire de rappeler que les laboratoires, avec leurs réserves de germes infectieux, représentent un réel danger de pollution pour l'environnement.
Saviez vous que l'année dernière encore une société a voulu s'installer dans l'Allier pour l'élevage de Beagles destinés à l'expérimentation animale ?
« Depuis des mois, la société américaine MARSHALL, n°1 mondial dans le domaine de cette sinistre industrie, tente de s'implanter en France ; à deux reprises, elle a dû renoncer, mais cette fois ci le projet, soutenu par la municipalité, est sur le point d'aboutir. L'enquête d'utilité publique est close depuis le 19 mars [1999] et, dans quelques semaines, Philippe GREGOIRE, Préfet de l'Allier, donnera ou non son feu vert à l'implantation. Si sa réponse est positive, 2000 beagles seront élevés chaque année dans ce petit village pour finir sacrifiés entre les mains des expérimentateurs. Du jour de leur naissance à celui de leur mort, ces chiens particulièrement doux, justement sélectionnés en raison de leur gentillesse, ne connaîtront que le grillage des cages d'élevages et le carrelage des salles d'expérimentations. Tailladés, écartelés ils absorbent des substances toxiques, seront contaminés par des virus, des supplices infligés au nom du progrès scientifique. Nous ne pouvons que refuser cette funeste installation et demander que des méthodes substitutives soient employées pour faire avancer la recherche médicale »
Texte extrait de la pétition de la Fondation 30 Millions d'Amis
HEUREUSEMENT LA SOCIETE MARSHALL N'A PU S'INSTALLER. PLUS DE 1,3 MILLIONS DE PETITIONS ONT ETE SIGNEES.
Mardi 21 septembre, à 11 H, la Fondation 30 Millions d'Amis a remis officiellement aux services du Premier Ministre les 1.300.000 signatures recueillies contre le projet d'élevage de chiens destinés à l'expérimentation animale qu'une société américaine cherche à implanter dans l'Allier. A ce jour ce sont très exactement 1.297.241 signatures qui ont été comptabilisées : 1.247.166 manuscrites, 29.842 par Minitel et 20.233 par Internet. On compte désormais parmi les opposants au projet de Montbeugny de nombreux élus, dont 11 Députés et 5 Sénateurs, Monsieur Valéry GISCARD d'ESTAING, ancien Président de la République ; des personnalités, comme Brigitte BARDOT, Yves RÉNIER, Raymond DEVOS, et un très grand nombre de membres de la communauté scientifique, médecins, vétérinaires ; des centaines d'écoles, de collèges, de lycées, et de
grandes entreprises comme France Télécom, RTL, TF1,...
Les DOM, les TOM et nos voisins étrangers aussi se sont mobilisés : des pétitions ont été reçues de Belgique, de Suisse, d'Italie, d'Espagne, d'Angleterre, d'Allemagne, d'Autriche, du Luxembourg et même du Liban, du Brésil, du Canada, de Singapour, du Sénégal, de Roumanie, de Tunisie, des Etats-Unis, de Pologne, de Norvège totalisant 29.799 signatures.La Fondation 30 Millions d'Amis souhaite que les Pouvoirs Publics prennent définitivement en compte cette mobilisation dans la décision qui doit intervenir le 15 octobre d'autoriser ou non ce projet.
Le 25 novembre dernier, la société Marshall Farms indiquait par courrier au Préfet de l'Allier qu’elle retirait son projet d’élevage de beagles destinés à l'expérimentation animale. Injustifié, cruel voire dangereux pour la santé de l'homme, ce projet a soulevé un tollé dans toute la France. Le beagle, un chien doux et affectueux, naturellement dépourvus d'agressivité face à la souffrance. Une proie idéale pour Marshall Farms qui n'hésite pas à faire valoir que ces traits de caractère "facilitent le travail des expérimentateurs."
DES EXEMPLES D'EXPERIENCES
Étude comportementale en Californie
L'étude des effets de la séparation des nourrissons d'avec leur mère, avec ou sans sévices supplémentaires ( douleurs, solitude, privations et autres punitions ), a donné lieu à d'innombrables expériences sur des rats, singes, chats, chiens et autres.
Curieux de mesurer l'instinct maternel d'une guenon, des chercheurs d'une grande université de Californie ont inséré une plaque chauffante sur le plancher de la cage (de la mère guenon ). Pendant qu'elle " la mère guenon " tenait son petit, ils ont graduellement augmenté la température, attendant le moment où la guenon poserait son bébé entre elle et la plaque pour se protéger. Elle ne l'a pas fait et en a retiré des brûlures au troisième degré.
Plusieurs ( bébé guenons "femelles" ) ont subi une expérience qui consistait à les retirer de leurs mères dès la naissance, pour les élever chacune isolément, sans contact avec d'autres singes ou des humains. Adultes, on leur a fait donner naissance à des petits. Toujours seules au moment de l'accouchement, on les surveillait à distance. Le but était de prouver que l'instinct maternel ne survivrait pas chez elles et les chercheurs ont été à même de constater qu'elles étaient devenues... de véritables monstre. ( Jamais en milieu naturel un singe ne pourrait agir de la sorte ) Le rapport mentionne qu'elles n'avaient absolument aucun amour pour leurs petits. certaines leur ont écrasé la figure contre le sol et leur ont arraché doigts et orteils avec leurs dents. (Dire que dans leurs milieu naturel elle donnerait leur vie pour sauver leur bébé ). L'une d'entre elles a même écrasé la tête de son bébé entre ses mâchoire.... Sur l'oeil attentif du chercheur.
Britches
Le front de libération des animaux a secouru un jeune macaque des laboratoires de l'Université de Californie à Riverside. Séparé de sa mère à la naissance, il avait vécu isolé dans une cage, privé de la vue, la tête enveloppé de gros bandages et surmontée d'un imposant appareillage électrique. Quand il quêtait l'affection d'une mère factice installé dans sa cage, il recevait des chocs électriques.
Je vous présente la photos à droite prises au moment où on l'a trouvé: assis sur les tubulures espacées qui forment le «plancher» de sa cage, il suce un de ses doigts à côté de cette mère substitutive, c'est-à-dire un support recouvert de tissu et dans lequel un trou est percé pour lui présenter une tétine de biberon.
Quand les bandages ont été défaits, les vétérinaires qui l'ont soigné ont découvert des paupières fermées, suturées. Les chercheurs voulait étudier les conséquences sur le psychisme quand le bébé subit rejet maternel, douleur, peur et solitude. Le film Crimes cachés nous montre Britches ------- dans l'état où il était quand il a été trouvé et, plus loin, une fois rétabli. ( Le film Crimes cachés "Hidden Crimes" est disponibles dans certain Club Vidéo du Québec ).
Ces expériences largement répandues sont dans la lignée de celles qu'a poursuivies à partir des années 50, le célèbre ( donc imité) Dr. Harry Harlow sur le rejet maternel et la réclusion rigoureuse entraînant des psychoses chez les primates. Ce professeur de psychologie à l'Université du Wisconsin a utilisé et inventé lui-même, avec notamment la collaboration de son collègue Stephen Suomi, des cellules d'isolation totale ---- où des singes étaient gardés à la noirceur parfois durant des années, ainsi que des mères factices punitives. Entre autres, l'une projetait de l'air comprimé avec suffisamment de pression pour dégarnir pratiquement le petit de sa peau; une autre assenait un violent coup sur la tête; une troisième cachait dans son ventre un mécanisme qui surgissait subitement pour repousser le petit s'il cherchait à se blottir contre elle.
Des animaux pour la recherche de la sécurité
Aux U.S.A., la firme General Motors propulse des singes contre des obstacles pour tester les ceintures de sécurité et observer les lésions qui s'en suivent.
Dans les laboratoires des singes non anesthésiés - pour ne pas fausser les résultats - ont été attachés dans des voitures projetées ensuite à toute allure contre un mur de béton. Le but était d'établir des normes pour la construction de voitures plus sécuritaires. Puisque les singes ont une élasticité et une flexibilité grandement supérieures à celles des humains, les résultats n'étaient pas utilisables. En France, sous la pression de nombreuses associations de protection animale, ces expériences ont été interdites au début des années 80.
Étude sur l'isolement
Voici un extrait d'un rapport scientifique de Ronald Melzack, Université McGill ( avec quelques commentaires )
Des chiots enfermés dans une cage en isolement complet pendant les huit premiers mois de leur vie n'ont pas les mêmes réactions à la douleur que les chiens élevés normalement. Lorsque ceux qui ont grandi dans cette situation anormale sont enfin libérés et placés dans un environnement normal, ils ont peur de tout ou presque. Ils ont des «accès de vertige» et, face à des objets qui leur sont étrangers, ont des réactions d'excitation intense. Evidemment, tout objet qui leur est présenté leur est étranger, puisqu'ils n'ont jamais rien vu sinon l'intérieur de leur petite cage. Lorsqu'on leur administre un douloureux choc électrique, quelquefois ils «s'immobilisent» sur le grillage et ne font aucune tentative pour s'échapper, ce qui a fasciné l'expérimentateur. Il a testé et retesté cette réaction en mettant une flamme sous le nez des chiens et il «...les piqua avec des aiguilles de dissection». Les chiens ne semblaient pas réaliser que l'expérimentateur était la source de leurs souffrances. Ces animaux terrorisés furent ensuite «poursuivis» par ce savant qui essayait de les heurter avec un petit véhicule électrifié, qui provoquait un choc de 1 500 volts au contact du corps. Il ne s'agit pas ici du jeu bête et méchant d'un arriéré mental. Ou peut-être si ?
De toutes façon, cela a été réalisé officiellement au nom de la science avec de généreuses subventions fédérales.
Info tiré du site http://www.protection-des-animaux.org
L'homme a fait de la terre un enfer pour les animaux, il n'y a pas de mots pour décrire notre barbarie .
Pour répondre a un autre topic du forum,
L'homme et le plus intélligent des animaux, mais aussi le moin sage et le plus barbare.
"J'ai rejeté la viande depuis très tôt dans mon enfance, et le temps viendra où les hommes, comme moi, regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent maintenant le meurtre de leurs semblables."
Léonard de Vinci
Privations d'oxygène, de sommeil. Créations d'anxiété, d'agressivité, de folie, de convulsions et d'otites en soumettant les animaux à des bruits insupportables, d'hypertension par compressions ou blessures des artères.
* Chiens, singes, lapins ligotés que l'on fait fumer de force ; souris maintenues devant des cigarettes qui se consument ; chevaux recevant des injections de nicotine.
* Transplantations, greffes de têtes ou d'organes ; décharges électriques, tumeurs provoquées par des coups, cancers produits avec des substances chimiques.
* Manipulations génétiques, productions de monstres en embryologie expérimentale, foetus sortis du ventre de leur mère et remis en place après mutilations.
* Dans les recherches spatiales ou océanographiques, utilisation d'animaux de toutes espèces, dont des chiens, des singes rivés à leurs sièges avec des instruments fixés dans le corps.
* Ablations de nerfs ; absorptions forcées de drogues ou d'alcools ; échaudages ; noyades forcées ; injections de produits nocifs ; prélèvements de sang dans le coeur ou dans les oreilles ; essais de gaz toxiques ; expériences sur le cerveau.
* Pour commercialiser des produits cosmétiques, dans des laboratoires, les individus en blouse blanche, indifférents à la douleur qu'ils infligent, font pourrir les yeux des lapins ou des rats en y versant des produits à intervalles répétés, les badigeonnent d'ingrédients de toutes sortes, irradient les cobayes, incisent leur chair, testent la toxicité sur les poussins encore dans l'oeuf et les empoisonnent... (essais pour fards, rouges à lèvres, produits solaires, vernis à ongles, crèmes cosmétologiques, shampooings, teintures, mascaras, laques, parfums, etc.).
Dans les écoles vétérinaires, les victimes animales sont fort nombreuses. D'ignobles expériences sont, là aussi, réalisées. En recherche agronomique, des bovins, des moutons vivent perpétuellement avec, dans le flanc, un large trou maintenu béant par un système écartant les chairs, système recouvert par un genre de bouchon amovible, afin de prélever des aliments directement dans la panse des animaux, au moment même où ceux-ci digèrent.
D'autres recherches, tendant à augmenter le rendement d'une agriculture inhumaine, ont abouti aux élevages concentrationnaires, générateurs de souffrances et de multiples maladies, pour poules pondeuses, veaux, agneaux, porcs... Des animaux, dont avant la naissance les gènes ont été manipulés, arrivent au monde difformes, souffrant des anomalies que l'homme a créées. Des établissements scientifiques pratiquent des « travaux à façon ». Professeurs, médecins, vétérinaires, techniciens essaient sur les animaux innocents : des produits antiparasitaires, des engrais, des explosifs, des substances radioactives, des additifs alimentaires, des détergents, etc.
De plus, par un soucis d'économie, les animaux ne sont pas ou mal anesthésiés. Et même si c'était le cas, quand un animal se réveille bléssé, mutilé, la douleur l'attend.
Des millions d'embryons d'animaux,particulièrement de poussins encore dans l'oeuf, sont empoisonnés, infestés de germes par l'industrie pharmaceutique - exemple : fabrication de vaccins. Des foetus humains ont pris place à leur côté et font eux aussi partie du « matériel expérimental ». Sur ces êtres vivants déjà formés sont prélevées des parties d'organes, destinées à faire des cultures de tissus et de cellules. De telles recherches axées sur ces manipulations sont inadmissibles, car les foetus humains ou embryons de poulets vivants ressentent la douleur. Quand on les pique avec un instrument, ils bougent, se contractent et tentent de se soustraire à cette agression.
Certains croient qu'une réglementation et des contrôles changent le sort des animaux : c'est faux. Quand des animaux sont enfermés dans les laboratoires expérimentaux, ce n'est pas pour y assurer leur bien-être - et cela ne le sera jamais , mais inéluctablement pour pratiquer sur eux des actes douloureux. L'animal terrorisé subissant des décharges électriques, celui qui tente désespérément de se soustraire à une noyade forcée, l'animal que l'on gave de produit nocif pour constater la dose qui le fera mourir n'ont nul besoin qu'on vienne « contrôler » leur détresse. Admettre la réglementation est une hypocrite acceptation, un blanc-seing donné aux expérimentateurs et aux fournisseurs d'animaux. Il est urgent de soustraire les victimes des mains des expérimentateurs et de lutter pour que jamais plus un animal n'entre dans un de ces laboratoires. La SNDA oeuvre pour obtenir l'interdiction totale des expérimentations sur les animaux.
Les laboratoires pharmaceutiques ont pour optique principale la vente de médicaments ; aussi la progression constante de leurs bénéfices est-elle en rapport direct avec l'état maladif des populations. Laissant le public ingérer toutes sortes de substances qui délabrent les organes, la « science » essaiera de les rafistoler, voire de les changer. Les associations de recherche pullulent. Au lieu d'inciter la population à une meilleure hygiène de vie, elles organisent des « quêtes nationales ». Le produit de ces quêtes sera utilisé pour l'achat d'animaux. Ne donnez donc jamais. Malgré beaucoup d'argent dépensé, il y a de plus en plus de malheureux handicapés, des millions de déficients mentaux, de pauvres drogués dont certains ont contracté cette funeste habitude avec les tranquillisants de toutes natures qu'on leur donnait dans l'enfance. La recherche médicale actuelle constitue, en grande partie, un échec, puisqu'elle ne sait pas conserver aux individus un corps sain. Il est nécessaire de rappeler que les laboratoires, avec leurs réserves de germes infectieux, représentent un réel danger de pollution pour l'environnement.
Saviez vous que l'année dernière encore une société a voulu s'installer dans l'Allier pour l'élevage de Beagles destinés à l'expérimentation animale ?
« Depuis des mois, la société américaine MARSHALL, n°1 mondial dans le domaine de cette sinistre industrie, tente de s'implanter en France ; à deux reprises, elle a dû renoncer, mais cette fois ci le projet, soutenu par la municipalité, est sur le point d'aboutir. L'enquête d'utilité publique est close depuis le 19 mars [1999] et, dans quelques semaines, Philippe GREGOIRE, Préfet de l'Allier, donnera ou non son feu vert à l'implantation. Si sa réponse est positive, 2000 beagles seront élevés chaque année dans ce petit village pour finir sacrifiés entre les mains des expérimentateurs. Du jour de leur naissance à celui de leur mort, ces chiens particulièrement doux, justement sélectionnés en raison de leur gentillesse, ne connaîtront que le grillage des cages d'élevages et le carrelage des salles d'expérimentations. Tailladés, écartelés ils absorbent des substances toxiques, seront contaminés par des virus, des supplices infligés au nom du progrès scientifique. Nous ne pouvons que refuser cette funeste installation et demander que des méthodes substitutives soient employées pour faire avancer la recherche médicale »
Texte extrait de la pétition de la Fondation 30 Millions d'Amis
HEUREUSEMENT LA SOCIETE MARSHALL N'A PU S'INSTALLER. PLUS DE 1,3 MILLIONS DE PETITIONS ONT ETE SIGNEES.
Mardi 21 septembre, à 11 H, la Fondation 30 Millions d'Amis a remis officiellement aux services du Premier Ministre les 1.300.000 signatures recueillies contre le projet d'élevage de chiens destinés à l'expérimentation animale qu'une société américaine cherche à implanter dans l'Allier. A ce jour ce sont très exactement 1.297.241 signatures qui ont été comptabilisées : 1.247.166 manuscrites, 29.842 par Minitel et 20.233 par Internet. On compte désormais parmi les opposants au projet de Montbeugny de nombreux élus, dont 11 Députés et 5 Sénateurs, Monsieur Valéry GISCARD d'ESTAING, ancien Président de la République ; des personnalités, comme Brigitte BARDOT, Yves RÉNIER, Raymond DEVOS, et un très grand nombre de membres de la communauté scientifique, médecins, vétérinaires ; des centaines d'écoles, de collèges, de lycées, et de
grandes entreprises comme France Télécom, RTL, TF1,...
Les DOM, les TOM et nos voisins étrangers aussi se sont mobilisés : des pétitions ont été reçues de Belgique, de Suisse, d'Italie, d'Espagne, d'Angleterre, d'Allemagne, d'Autriche, du Luxembourg et même du Liban, du Brésil, du Canada, de Singapour, du Sénégal, de Roumanie, de Tunisie, des Etats-Unis, de Pologne, de Norvège totalisant 29.799 signatures.La Fondation 30 Millions d'Amis souhaite que les Pouvoirs Publics prennent définitivement en compte cette mobilisation dans la décision qui doit intervenir le 15 octobre d'autoriser ou non ce projet.
Le 25 novembre dernier, la société Marshall Farms indiquait par courrier au Préfet de l'Allier qu’elle retirait son projet d’élevage de beagles destinés à l'expérimentation animale. Injustifié, cruel voire dangereux pour la santé de l'homme, ce projet a soulevé un tollé dans toute la France. Le beagle, un chien doux et affectueux, naturellement dépourvus d'agressivité face à la souffrance. Une proie idéale pour Marshall Farms qui n'hésite pas à faire valoir que ces traits de caractère "facilitent le travail des expérimentateurs."
DES EXEMPLES D'EXPERIENCES
Étude comportementale en Californie
L'étude des effets de la séparation des nourrissons d'avec leur mère, avec ou sans sévices supplémentaires ( douleurs, solitude, privations et autres punitions ), a donné lieu à d'innombrables expériences sur des rats, singes, chats, chiens et autres.
Curieux de mesurer l'instinct maternel d'une guenon, des chercheurs d'une grande université de Californie ont inséré une plaque chauffante sur le plancher de la cage (de la mère guenon ). Pendant qu'elle " la mère guenon " tenait son petit, ils ont graduellement augmenté la température, attendant le moment où la guenon poserait son bébé entre elle et la plaque pour se protéger. Elle ne l'a pas fait et en a retiré des brûlures au troisième degré.
Plusieurs ( bébé guenons "femelles" ) ont subi une expérience qui consistait à les retirer de leurs mères dès la naissance, pour les élever chacune isolément, sans contact avec d'autres singes ou des humains. Adultes, on leur a fait donner naissance à des petits. Toujours seules au moment de l'accouchement, on les surveillait à distance. Le but était de prouver que l'instinct maternel ne survivrait pas chez elles et les chercheurs ont été à même de constater qu'elles étaient devenues... de véritables monstre. ( Jamais en milieu naturel un singe ne pourrait agir de la sorte ) Le rapport mentionne qu'elles n'avaient absolument aucun amour pour leurs petits. certaines leur ont écrasé la figure contre le sol et leur ont arraché doigts et orteils avec leurs dents. (Dire que dans leurs milieu naturel elle donnerait leur vie pour sauver leur bébé ). L'une d'entre elles a même écrasé la tête de son bébé entre ses mâchoire.... Sur l'oeil attentif du chercheur.
Britches
Le front de libération des animaux a secouru un jeune macaque des laboratoires de l'Université de Californie à Riverside. Séparé de sa mère à la naissance, il avait vécu isolé dans une cage, privé de la vue, la tête enveloppé de gros bandages et surmontée d'un imposant appareillage électrique. Quand il quêtait l'affection d'une mère factice installé dans sa cage, il recevait des chocs électriques.
Je vous présente la photos à droite prises au moment où on l'a trouvé: assis sur les tubulures espacées qui forment le «plancher» de sa cage, il suce un de ses doigts à côté de cette mère substitutive, c'est-à-dire un support recouvert de tissu et dans lequel un trou est percé pour lui présenter une tétine de biberon.
Quand les bandages ont été défaits, les vétérinaires qui l'ont soigné ont découvert des paupières fermées, suturées. Les chercheurs voulait étudier les conséquences sur le psychisme quand le bébé subit rejet maternel, douleur, peur et solitude. Le film Crimes cachés nous montre Britches ------- dans l'état où il était quand il a été trouvé et, plus loin, une fois rétabli. ( Le film Crimes cachés "Hidden Crimes" est disponibles dans certain Club Vidéo du Québec ).
Ces expériences largement répandues sont dans la lignée de celles qu'a poursuivies à partir des années 50, le célèbre ( donc imité) Dr. Harry Harlow sur le rejet maternel et la réclusion rigoureuse entraînant des psychoses chez les primates. Ce professeur de psychologie à l'Université du Wisconsin a utilisé et inventé lui-même, avec notamment la collaboration de son collègue Stephen Suomi, des cellules d'isolation totale ---- où des singes étaient gardés à la noirceur parfois durant des années, ainsi que des mères factices punitives. Entre autres, l'une projetait de l'air comprimé avec suffisamment de pression pour dégarnir pratiquement le petit de sa peau; une autre assenait un violent coup sur la tête; une troisième cachait dans son ventre un mécanisme qui surgissait subitement pour repousser le petit s'il cherchait à se blottir contre elle.
Des animaux pour la recherche de la sécurité
Aux U.S.A., la firme General Motors propulse des singes contre des obstacles pour tester les ceintures de sécurité et observer les lésions qui s'en suivent.
Dans les laboratoires des singes non anesthésiés - pour ne pas fausser les résultats - ont été attachés dans des voitures projetées ensuite à toute allure contre un mur de béton. Le but était d'établir des normes pour la construction de voitures plus sécuritaires. Puisque les singes ont une élasticité et une flexibilité grandement supérieures à celles des humains, les résultats n'étaient pas utilisables. En France, sous la pression de nombreuses associations de protection animale, ces expériences ont été interdites au début des années 80.
Étude sur l'isolement
Voici un extrait d'un rapport scientifique de Ronald Melzack, Université McGill ( avec quelques commentaires )
Des chiots enfermés dans une cage en isolement complet pendant les huit premiers mois de leur vie n'ont pas les mêmes réactions à la douleur que les chiens élevés normalement. Lorsque ceux qui ont grandi dans cette situation anormale sont enfin libérés et placés dans un environnement normal, ils ont peur de tout ou presque. Ils ont des «accès de vertige» et, face à des objets qui leur sont étrangers, ont des réactions d'excitation intense. Evidemment, tout objet qui leur est présenté leur est étranger, puisqu'ils n'ont jamais rien vu sinon l'intérieur de leur petite cage. Lorsqu'on leur administre un douloureux choc électrique, quelquefois ils «s'immobilisent» sur le grillage et ne font aucune tentative pour s'échapper, ce qui a fasciné l'expérimentateur. Il a testé et retesté cette réaction en mettant une flamme sous le nez des chiens et il «...les piqua avec des aiguilles de dissection». Les chiens ne semblaient pas réaliser que l'expérimentateur était la source de leurs souffrances. Ces animaux terrorisés furent ensuite «poursuivis» par ce savant qui essayait de les heurter avec un petit véhicule électrifié, qui provoquait un choc de 1 500 volts au contact du corps. Il ne s'agit pas ici du jeu bête et méchant d'un arriéré mental. Ou peut-être si ?
De toutes façon, cela a été réalisé officiellement au nom de la science avec de généreuses subventions fédérales.
Info tiré du site http://www.protection-des-animaux.org
L'homme a fait de la terre un enfer pour les animaux, il n'y a pas de mots pour décrire notre barbarie .
Pour répondre a un autre topic du forum,
L'homme et le plus intélligent des animaux, mais aussi le moin sage et le plus barbare.
"J'ai rejeté la viande depuis très tôt dans mon enfance, et le temps viendra où les hommes, comme moi, regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent maintenant le meurtre de leurs semblables."
Léonard de Vinci
Vivant à genoux dans la conformité ou mourant sur tes pieds honnêtement, suivant notre instinct pas une tendance, nous irons à contre sens jusqu'à la fin..."