Pas en forme...

Couper les ponts pour se sauvegarder, ça implique d'ignorer les sollicitations de ceux de qui tu tentes de t'éloigner, malheureusement... C'est très difficile. Surtout qu'il y a des gamins au milieu, auxquels tu es sûrement attachés... Mais franchement, une de tes ex, un couple qui bat de l'aile, des problèmes de drogue, un manque de franchise et une girouette... Je ne vois pas ce que tu as à gagner à rester impliqué dans ce merdier.

Demande lui des explications, à elle, pour que tu puisses tenter de comprendre un peu plus de choses, et après prends de la distance. Même si les explications ne sont pas satisfaisante, ce qui sera sûrement le cas, mais au moins tu auras fait la démarche. Dans la situation actuelle c'est peut-être compliqué de couper totalement les ponts, mais sinon c'est ce que je te conseillerais. On oublie très bien (quand on coupe totalement les ponts), le grand Jacques se trompait. Certes, ça prend du temps... mais c'est faisable.

ne pas répondre ou ignrer : oui mais...
profiter d un appel pour mettre les choses au clairs c est bie aussi
sauf qu il faut que tu sois sur d etre fort et de pas rentrer dans une discutaille interminable...

Oui je balance vraiment entre les deux attitudes: celle conseillée par Biz ou la tienne. Le soucis c'est que je la connais quand même: je sais que si elle ne veut pas répondre elle est très habile pour rester évasive, pour ne pas dire les choses, pour fuir la discussion tout en donnnat l'impression de répondre.

Quand on était ensemble j'arrêtai pas de lui dire qu'elle devrait se lancer en politique, car j'ai le souvenir d'innombrables conversations dont je suis sorti avec l'impression d'avoir "tiré les choses au clair" pour m'apercevoir au bout de quelques minutes qu'elle ne m'avait strictement rien dit de concret, mais c'était trop tard...
Bref, c'est une femme, quoi...

Je crois que je ne vais pas chercher: je vais essayer un max de me changer les idées, de faire autre chose. Si je reçois un coup de fil pour avoir des nouvelles, je ne raccrocherait pas avant d'avoir TOUT tiré au clair, quitte à y passer 2000e de facture.

Si je n'ai pas de coup de fil, je n'en passerait pas, et je rentrerais en mode: JE VOUS ENCULE BIEN PROFOND avec vos problèmes et je vivrais ma vie. (Le seul truc d'un point de vue pratique c'est que je ne voie pas de raison de couper les ponts avec d'autres amis communs qui n'ont absolument rien à voir dans cette histoire de m**dr, non seulement parce que je les apprécie, mais parce que je ne vais quand même pas me retrouver seul sans aucune vie sociale à cause d'une "girouette" et d'un camé).

Du coup il y a quand même des chances qu'on se recroise à divers moments.

Bon je m'en tape je vais faire le ménage (dans mon appart et dans ma vie), merci à ceux qui m'ont soutenu et conseillés, je pense avoir un peu avancé quand même. C'est vrai que ce sont de bien maigres soucis par rapport à d'autres, mais que voulez-vous: le cerveau reptilien a ses raisons que la raison ignore.

Je me rends compte que ce n'est pas moi qui ait des problèmes, c'est mes "amis" qui se déchargent des leurs sur moi... "trop bon, trop con"...


EDIT: et oui, biz, je suis très attaché aux gosses, ce qui rend la situation et certaines accusations d'autant plus douloureuse... Mais il faut reconnaitre qu'elle s'est quand même excusée là dessus et qu'elle a reconnu s'être "trompé" (a demi-mot: c'est vraiment pas son truc, les excuses... )

ben je sais pas...
les consielleur ne sont pas les payeur (lol)
si tu arrives a juste avoir une mini explication (pas la sienne) mais plutot donner la tienne..

Sans tomber dans des explications de 10 ans.
ca te permetra d'avoir etait clair et de savoir que tu la etait.. le reste cerst plutot leur soucis.

je m explique mal, mais de mon coté dans ce genre de cas partir sur rien, sans explication ou quoi je le vi mal..
je prefere etre clair au moins pour moi, pas de regret.

Oui je sais... J'ai toujours vécu avec cette attitude jusque-là.... mais regarde ou ça mène: des gens qui profitent de toi, et qui arrivent même à te persuader que tu as des problèmes pour ne pas voir les leurs.

Oui, les amis, ça peut-être très dangereux...

Ce qu'il y'a de bien c'est qu'après avoir vécu ça, tu deviens imperméable! Tout te passe dessus comme sur les plumes d'un canard. Engueulades, problèmes perso ou au boulot? Rien à battre. Par contre apprend à doser parce qu'on me reproche souvent mon indifférence et ma, disons, fraicheur q:

je reviens sur ce que je disais c est partout pareil et je suis certains que si tu inverse le probleme ce sera la meme chose.
chacun vit ça vie.. chacun a son point de vue, chacun vie mal certaines chose etc..
du coup parfois tu peut etre lourd mechant avec les autres sans le savoir.
je ne dis pas que tu es fautif loin de la..
je dis simplement que c'est difficle d'analyser la chose..
je le rtepet je me suis bourillé avec des potes car ils abusaient et je pense qu'ils etaient de bonne fois et n'avais rien vue.. du coup ils ont tres mal pris mon changement de cap et me le reproche toujours*


j etais pas dans le faux pmais je comprend que si tout le monde est de bonne fois, si tout le monde se fixe des limites de l'acceptable et bien... parfois la confrontation est difficle.

en bref, les mais c est cool, mais...

j'avais un guitariste a le poque mon meilleur amis, et le meilleur amis de ma femme nous nous sommes séparé et il a gerer notre séparation bizzzarement...
en prenant plus ou moins partie bref..

on est revenue ensemble avec ma femme (ca arrive lol)
on est redevenue pote avec lui mais certaines chose avait changer.
il a ete le premier a apprendre que nous attendions un enfant...
et sa réponse avait etait fracassante... mais vraiement...

et la difficile, tu annonce un truc enorme tu es heureux et on te renvoi dans tes buts.. le pourquoi ? il voyais sa vie d'ado et d etudiant changé et il a eu du mal a admettre que ces potes devienne papa et maman...

gros flop cette anonce lol

C'est la mode aux anecdotes foireuses! alors illustration du côté pratique de ce que je disais au dessus. Ayant eu des difficultés relationnel dans le passé, j'étais considéré par un couple d'amis comme un expert. Ils se brouillaient souvent et tour à tour, l'un ou l'autre venait me voir pour discuter. Souvent même, il m'invitait à tenir la chandelle et je me retrouvais à arbitrer leurs soucis. Ce qui ne me gênait pas plus que ça... le Moi d'avant aurait continué comme ça jusqu'à l'épuisement. Le Moi de maintenant à, un beau jour, fini sa par de pizza, les a engueulé copieusement avec noms d'oiseaux en leur expliquant que j'étais pas leur psy, et s'est barré sans leur laissé le temps de répondre. Ce fût clair, je n'ai pas eu d'arrière pensé, et ils l'ont pas mal pris du tout.

C'est bien d'être empathique, une éponge à sentiments et de vouloir être gentil, mais ça mène nul part. Et à part les gens de fort mauvaise foie dont tu n'a de toute manière que faire, tout le monde est bien conscient que "chacun sa merde". Un peu d'indiférence que diable!

T'as raison ça fait du bien...

ouaip...

Pas d'hypocrisie, mets dans la gueule des autres quand il le faut, vis ta vie et fuck the rest !

La clé, pour être bien, être en accord avec soi même ! Le reste, c'est du détail !

Ce qui me fait rire avec vos anecdotes, c'est que vous vous plaignez d'être trop bon trop con (personne vous a forcé hein) et puis vous le regrettez et vous envoyez chier tout le monde ?! Ya pas de demi mesure chez vous ou quoi ?
Vous savez pas en parler, en discuter posément ? C'est pas tout blanc ou tout noir dans la vie...

Et de ce que j'en lis, il y en a qui ont du mal à faire la différence entre potes et amis. Comme beaucoup de monde je pense, j'ai beaucoup de potes mais peu d'amis (des vrais). Cependant, il faut se mettre dans la tête que rien est acquis et que l'on peut être déçu. Mais à partir du moment où tu le sais ça fait moins mal, car quelque part tu t'y es préparé...

Bon, j'arrive après la bataille. Il semblerait que les choses aient évolué. On dirait aussi que tu as trouvé un nouvel axe pour aller mieux, je m'en réjouis.
En effet, quoi qu'il arrive il faut savoir relativiser. Mais relativiser ce n'est pas se détacher émotionnellement d'une situation ou bien la comparer à d'autres jugées plus graves ("il y a pire", etc), c'est surtout se connaitre soi-même. Comprendre pourquoi une chose nous interpelle, nous touche plus qu'une autre (pourquoi une insulte nous touche-t-elle plus qu'une autre, pourquoi la perte d'une personne pourtant quotidiennement moins indispensable qu'une autre nous affaiblit plus, etc). J'ai dans l'idée que l'on est interpellé uniquement par ce qui nous concerne profondémment et l'on reproche souvent à l'autre ou au monde ce qui nous prend le plus. L'exemple des insultes ou des procès d'intention est en ce sens très parlant. Par exemple, ceux qui accusent les autres d'hypocrisie sont aussi ceux qui y livrent un grand combat intérieurement. Pour résumer ma pensée, on accuse souvent les autres de céder à ce contre quoi on se bat le plus en nous-même. On ne peut de toute manière relever que les idées qu'on a préalablement conceptualisées, et on n'en vient pas à conceptualiser quelque chose par hasard. Pourquoi dans une discussion ou un fait regroupant plusieurs idées on relève toujours les mêmes? Pourquoi peut-on être si vivement interpellé par des thèmes qui ne nous concernent pas directement (ex: racisme, misogynie lorsqu'on est ni sévisseur ni victime)?
Se connaitre c'est aussi savoir ce qui nous interpelle et pourquoi. Qu'est-ce qui nous touche dans un certain thème? Par exemple, pourquoi pour certains, lorsqu'ils sont trahis (ou estiment l'être) le besoin de connaitre les nouvelles préoccupations ou relations de l'autre se fait sentir? Ce n'est plus la confiance en l'autre qui est blaissée mais la confiance en soi. Pourquoi alors avait on fait de cette relation un indicateur de notre propre valeur? Etc. Chaque réponse apportant une nouvelle question permettant de se rapprocher d'avantage de ce que l'on est en soi, donc de mieux se connaitre, donc de relativiser (pour reprendre l'exemple de la balle rebondissante, si à un moment donné on commence à remonter rebond par rebond, donc choc par choc jusqu'à la source, on comprend que la trajectoire qu'elle suit est tout à fait logique et prévisible et on peut alors relativiser. Ce n'est pas le dernier choc, la dernière surface sur laquelle elle a rebondi qui a déterminé sa situation actuelle mais la manière, l'angle sous lesquels elle l'a percutée et qui obéissent eux aussi à la même loi. Alors on pourra facilement prévoir sa prochaine direction en voyant venir le prochain obstacle et comprendre, si on connait la source, pourquoi il était inévitable qu'elle s'y retrouve à cet instant.).
Bref, tout ça pour dire que "relativiser" dans le sens ignorer ou se détacher n'est une solution qu'à court terme (ça équivaut, si tu veux, à se mettre des boulquies pour mieux dormir la nuit si un robinet fuit chez toi. C'est pratique, puisqu'on n'est plus gené par la source du problème, il n'existe donc directement plus. Mais ce n'est au final que se faire subir une contrainte de plus pour éviter d'en finir avec une plus chiante à régler. Mais de cette manière tu n'es plus toi-même face à un obstacle, tu es limité par l'accumulation de ces petites contraintes. Et il arrive souvent un jour où la totalité de celles-ci devient trop lourde à porter et un élément déclencheur, la fameuse goutte qui fait déborder fait que tout se casse la gueule, et tu te rends compte alors que tu ne sais même plus qui tu es.).

merde c est ce que je voulais dire mdr.. tout n est pas blanc ou noir

purée merci grace à juvamine, juvabien....

si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...si juvabien, c'est juvamine...