Qu'est ce qui vous énerve en général ?

Rappel du dernier message de la page précédente :
lartistafred
Zoob a écrit :
moi je commande chez amazon

Le commerce n'a pas attendu Amazon pour avoir des côtés mortifères
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
KawaZ
  • Special Total utilisateur
La seule négociation que j'ai trouvé avec les patrons en bientôt 40 ans de carrière :
Changer de crèmerie, aller voir, tenter sa chance ailleurs.
Quand cela commence à sentir le pâté, ou qu'on t'emmerde, il est temps de prendre le large: c'est que le contrat de confiance est rompu.
Il n'y a rien à négocier, quand tu " négocies", en fait tu crois négocier (baisser son froc) mais tu te la fait mettre à l'envers au bout du compte. Ou alors tu deviens capo.
A partir du moment où tu es comme une pute qui se vend,( tu appartiens au patron 5 jours sur 7, de 9 H à 18 H, 11 mois sur 12) , ou tu n'es pas libre de tes mouvements ( et encore moins de tes opinions !) tu négocies juste le tarif de ta passe, et encore il y a le maquereau, et si les temps sont durs, l'offre et la demande,ce n'est même pas le tarif syndical. Par contre tu peux encore choisir ton client.
Quand tu es soumis à une hiérarchie, que tu vends ton temps ( et qu'au final tu n'as que cela à vendre) tu n'as rien à négocier: c'est dominant/ dominé, le reste c'est du bla bla de com.
bjeje
  • Vintage Top utilisateur
Désolé mais non, cela reste ton point de vue....tu dis avoir fais 20 boîtes en 40 ans de carrière...ok soit,c'était ton choix. Faire 10 ou 15 ans de carrière dans la même boîte ne fait pas de toi un capo comme tu le dis si bien.
Certains ont choisi la stabilité et n'en sont pas moins respectables...
De retour !
KawaZ
  • Special Total utilisateur
bjeje a écrit :
Désolé mais non, cela reste ton point de vue....tu dis avoir fais 20 boîtes en 40 ans de carrière...ok soit,c'était ton choix. Faire 10 ou 15 ans de carrière dans la même boîte ne fait pas de toi un capo comme tu le dis si bien.
Certains ont choisi la stabilité et n'en sont pas moins respectables...


A quel prix ?
Sous médocs ?
Ou un cancer en fin de carrière ?
Il y en a même qui se suicide ( faut vraiment être con pour se flinguer pour si peu).
En fait c'est le syndrome de la femme battue " je reste pour les gosses, et puis c'est de ma faute si ça va pas".

Tu en as qui vont avoir 3 ou 4 femmes ( ou hommes, pour les femmes), jouer la zappettes du couple à la moindre difficulté en balançant les mômes avec contre une pension minimum, mais qui vont vouer un véritable culte pour le " boulot".Stabilité exemplaire au boulot : 20, 40 ans de carrière dans la même boîte !
En fait qui se fait baiser ? Qui est" marié " ou en couple avec qui?
Une vraie histoire d'amour avec le boulot, un " sacerdoce "!

Franchement, même un cul tu t'en lasse au bout de 40 ans, alors un boulot !
Faut vraiment rien avoir dans la vie pour s'y accrocher à ce point là.
TheSoulsRemain
Kawaz c'est la vérité....le reste c'est des cons....mdr.... Sérieusement tu te crois plus heureux que n'importe quelle personne qui a 15 ans d'ancienneté dans son entreprise ?

Allez soit serieux 20 secondes.....

Et puis tes jugements à l'emporte pièce sur les femmes battues etc etc.....
TheSoulsRemain
KawaZ a écrit :

Il y en a même qui se suicide ( faut vraiment être con pour se flinguer pour si peu).
.


EDIT MODERATION

( Si je me fais ban : pas grave)
KawaZ
  • Special Total utilisateur
TSR, visiblement ton boulot est vital pour toi.

Cela ne m'étonne pas, vu ton comportement envers autrui sur le forum.
EDIT MODERATION
Biosmog
  • Vintage Méga utilisateur
Il y a des gens qui travaillent pour vivre et d'autre qui vivent pour travailler. Mais dans ce deuxième cas, cela ne ressemble pas à un travail: c'est un choix. Il n'est pas question pour moi de juger ceux qui sont obligés de se lever tous les matins pour faire quelque chose qu'ils préféreraient ne pas faire. Mais cela ressemble à un enfer.
Vous battez pas, je vous aime tous
KawaZ
  • Special Total utilisateur
Ce que je veux dire, c'est que si le boulot te rend malade, ou te donne envie de te flinguer, c'est même inscrit dans le code du travail : " le droit de retrait".
Il vaut mieux être un chômeur vivant, qu'un mort au boulot.
En clair, quand, ou si il te vient cette idée il est grand temps de " fuir", de partir pour sauver ta peau et chercher autre chose.
Ps: dans les médocs, j'ai oublié ceux qui carburent à la coke, à la bibine ou autres " béquilles".
Le problème est qu'en cas de démission, tu n'as pas droit au chômage, et que grâce à Macron et Borne avec sa réforme en 49.3 sur le travail, le licenciement pour rupture conventionnelle a été durci, voir supprimé. Soit disant des " abus".
C'est pour cela qu'il faut avoir des exutoires, des activités extra professionnelles, et ne pas vivre que pour le boulot. La musique par exemple, mais il vaut mieux en avoir d'autres en plus( l'art en général , le sport, la bricole, la randonnée, ect...
)

Cela aide sérieusement à tenir.

Et quand je dis " si peu", ce n'est qu'un boulot, il faut relativiser, pas la fin du monde ou un peloton d'exécution. Ni une prison ( ou là cela doit être vraiment l'enfer): tu es libre de partir, les seuls barreaux sont ceux dans ta tête.
Biosmog
  • Vintage Méga utilisateur
KawaZ a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que si le boulot te rend malade, ou te donne envie de te flinguer, c'est même inscrit dans le code du travail : " le droit de retrait".
Il vaut mieux être un chômeur vivant, qu'un mort au boulot.
En clair, quand, ou si il te vient cette idée il est grand temps de " fuir", de partir pour sauver ta peau et chercher autre chose.
Ps: dans les médocs, j'ai oublié ceux qui carburent à la coke, à la bibine ou autres " béquilles".


Tu prends un peu ton cas pour une généralité. Tu n'as jamais véritablement aimé le boulot que tu faisais et effectivement, soit tu t'accroches, à un prix élevé (alcool, médicament, suicide) soit tu changes tous les 2 ans, vivant une guerre continue avec tes employeurs passés, actuels et futurs.
Mais on peut trouver des personnes heureuses d'aller bosser. Elles ne sont pas à mépriser, surtout qu'elles semblent avoir fait preuve d'un peu de lucidité. Qu'importe la façon, elles se sont débrouillées pour aimer ce qu'elles font. C'est toujours au prix de sacrifices, mais elles ont compris qu'on ne peut vivre en ce monde sans faire de compromis: autant en prendre acte et les choisir librement.
Vous battez pas, je vous aime tous
El Phaco
Biosmog a écrit :
Il y a des gens qui travaillent pour vivre et d'autre qui vivent pour travailler. Mais dans ce deuxième cas, cela ne ressemble pas à un travail: c'est un choix. Il n'est pas question pour moi de juger ceux qui sont obligés de se lever tous les matins pour faire quelque chose qu'ils préféreraient ne pas faire. Mais cela ressemble à un enfer.



Et entre les deux, il y a tout un paquet de gens qui ont un boulot qui sans être déplaisant est juste ça : un boulot. J'aime bien mon taf que je pense utile, je trouve normal de contribuer au bon fonctionnement de la société, mais ça n'est pas une passion pour autant et je resterais bien au lit certains matins.
"Information is not knowledge. Knowledge is not wisdom. Wisdom is not truth. Truth is not beauty. Beauty is not love. Love is not music. Music is the best..."
Frank Zappa

Tout ce que rêvez de savoir sur la Phacocaster Lionel Rouvier : https://www.guitariste.com/for(...)10641

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Biosmog
  • Vintage Méga utilisateur
El Phaco a écrit :
Biosmog a écrit :
Il y a des gens qui travaillent pour vivre et d'autre qui vivent pour travailler. Mais dans ce deuxième cas, cela ne ressemble pas à un travail: c'est un choix. Il n'est pas question pour moi de juger ceux qui sont obligés de se lever tous les matins pour faire quelque chose qu'ils préféreraient ne pas faire. Mais cela ressemble à un enfer.



Et entre les deux, il y a tout un paquet de gens qui ont un boulot qui sans être déplaisant est juste ça : un boulot. J'aime bien mon taf que je pense utile, je trouve normal de contribuer au bon fonctionnement de la société, mais ça n'est pas une passion pour autant et je resterais bien au lit certains matins.


Je ne crois pas qu'on puisse être entre les deux. Vouloir rester entre-deux, c'est très adolescent comme façon de voir les choses: tu vas préfèrer rester au lit combien de temps? C'est évident qu'on soit fatigué à certains moments. Même dans une fête, tu vas vouloir rentrer à un moment. Soit, ce que tu fais a un sens, et dans ce cas, tu sais pourquoi tu restes au lit, dans la fête ou dans ton travail. Soit, ce que tu fais n'as pas de sens, et dans ce cas, je te conseille de te débrouiller pour trouver une solution. On n'a qu'une vie.
Vous battez pas, je vous aime tous
KawaZ
  • Special Total utilisateur
Biosmog a écrit :
KawaZ a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que si le boulot te rend malade, ou te donne envie de te flinguer, c'est même inscrit dans le code du travail : " le droit de retrait".
Il vaut mieux être un chômeur vivant, qu'un mort au boulot.
En clair, quand, ou si il te vient cette idée il est grand temps de " fuir", de partir pour sauver ta peau et chercher autre chose.
Ps: dans les médocs, j'ai oublié ceux qui carburent à la coke, à la bibine ou autres " béquilles".


Tu prends un peu ton cas pour une généralité. Tu n'as jamais véritablement aimé le boulot que tu faisais et effectivement, soit tu t'accroches, à un prix élevé (alcool, médicament, suicide) soit tu changes tous les 2 ans, vivant une guerre continue avec tes employeurs passés, actuels et futurs.
Mais on peut trouver des personnes heureuses d'aller bosser. Elles ne sont pas à mépriser, surtout qu'elles semblent avoir fait preuve d'un peu de lucidité. Qu'importe la façon, elles se sont débrouillées pour aimer ce qu'elles font. C'est toujours au prix de sacrifices, mais elles ont compris qu'on ne peut vivre en ce monde sans faire de compromis: autant en prendre acte et les choisir librement.

Je ne prends pas mon cas pour une généralité : je me suis seulement adapté à la situation et fût un temps, j'ai aimé mon boulot, je me suis fortement investi, et je me suis bien fait baisé. Il arrive un moment où tu peux faire le choix de ne plus te faire baiser, tout en n'étant pas à la charge de la société. Ce n'est pas être en guerre, justement, c'est partir quand le contrat ne te convient plus.
Et il y a un endroit plus que tout autre ( à part le milieu scolaire) ou on porte un jugement de valeur sur les gens sur des critères discutables c'est le monde du travail.
corto30
Biosmog a écrit :
Il y a des gens qui travaillent pour vivre et d'autre qui vivent pour travailler. Mais dans ce deuxième cas, cela ne ressemble pas à un travail: c'est un choix. Il n'est pas question pour moi de juger ceux qui sont obligés de se lever tous les matins pour faire quelque chose qu'ils préféreraient ne pas faire. Mais cela ressemble à un enfer.


Et puis y'a aussi des Jean qui essaient de changer ce monde... A prostituer leur cervelle autant qu'une partie serve des causes qui leur semblent justes
Nutrisco et Extinguo
bjeje
  • Vintage Top utilisateur
Ça veut dire quoi "prostituer leur cervelle " ?
De retour !
KawaZ
  • Special Total utilisateur
bjeje a écrit :
Ça veut dire quoi "prostituer leur cervelle " ?


Ton temps de cerveau disponible : par exemple ce n'est pas bien vu de le passer à écrire des messages sur e forum alors que tu es au boulot ( par contre tu peux le passer à surveiller tes collègues: ça c'est permis !).Tu dois être à 100% concentré sur ton travail.
Il y a aussi des boîtes qui ressemble à des sectes ( là c'est 24/24).
Par exemple comme un de mes fils en parlant de Decathlon, " il faut penser bleu, pisser bleu, ect..." Et quand tu rentres le soir, et le weekend et que tu passes ton temps à parler du boulot, c'est que l'addiction est grave. Le propre des sectes ( entreprises) c'est quoi que tu fasses, ce n'est jamais assez.
Après dans la manière de penser, tu as des codes, de conduites, tenues vestimentaires, de languages : il faut penser boîte, vivre boîte (singer), voir, boire, manger boîte, ect...

En ce moment sur backstage...