Pour l'affaire de Dominique Strauss-Kahn à New-York, la présomption d'innocence est à privilégier ; il ne faut certes pas exclure la thèse du complot ni du piège, même si pour l'instant le témoignage de la personne se déclarant victime ne semble pas remis en cause, la police le jugeant crédible et l'employeur de cette jeune femme l'ayant jugée irréprochable.
Cependant, je fais partie des électeurs de gauche qui savent depuis longtemps, indépendamment donc de cette affaire de New-York, qu'ils ne voteront jamais pour un homme qui semble avoir de réelles difficultés à respecter son devoir de fidélité envers ses épouses successives.
L'omerta et la protection franchouillardes dont bénéficie à cet égard l'intéressé, et d'autres, dans la classe politique et la presse françaises m'ont toujours paru injustifiées.
Et pourtant je ne connaissais pas l'épisode de 2002 que je ne découvre qu'aujourd'hui, réactualisé par ce site à l'occasion de l'affaire de New-York :
http://www.agoravox.tv/actuali(...)30223
"la chrétienté a aboli le christianisme" (Sören Kierkegaard).