quantat a écrit :
1) pas du tout : la nature ne se perpétue que par et dans le carnage
2) l'hygiénisme
3) rien à foutre - moi d'abord et le bien être des vaches tant pis
Ça serait gentil de ne point quoter à tort et à travers
J'avions dit :
Redstein a écrit :
Il ne s'agit pas d'idéologie mais d'hygiène de vie.
Sinon :
1. Il est malhonnête de mettre en parallèle lit et assiette.
2. Avoir ses esclaves perso était dans le temps une liberté reconnue dont bon nombre de gens ont trouvé indécente la remise en cause.
Par ailleurs, toujours question libertés individuelles...quid de celles des
150 milliards d'animaux torturés et massacrés chaque année pour répondre à des besoins artificiels ?
Et mes points 1. et 2. restent en souffrance.
Pour reprendre les tiens :
Un - Oui, la nature c'est gore. Et c'est foisonnant. Très foisonnant. Suffisamment foisonnant pour noyer ce poisson particulier, n'est-ce pas ?
Deux - Ah, l'hygiénisme... Le grand mot est lâché. Il l'a souvent été par des fumeurs trouvant in-dé-cent qu'on ose leur demander de garder pour eux leur m*rde cancérigène, tiens !
Ici, il est simplement question de reconnaître que se nourrir de chair animale est mauvais sans doute pour le corps, mais sans aucun doute pour l'esprit - puisque c'est mauvais pour les animaux. Libre à toi de ne pas en être d'accord : personne ne te met le couteau sur la gorge.
D'un autre côté :
Si jamais tu n'avais plus le droit de manger de la viande (voir MON point 3.), tu crois que tu t'en porterais plus mal ?
Trois - « rien à foutre - moi d'abord et le bien être des vaches tant pis »
Cette réaction joliment épidermique autant qu'honnête de ta part démontre au moins qu'on peut se piquer de philosophie en étant totalement dépourvu de sensibilité et de compassion.
...mais bon, je dois le reconnaître, le plaisir de mâcher (et de chier tant bien que mal) du cadavre passe avant tout !