Pareil. D'ailleurs les aspects santé et écologie sont tout à fait discutables : que répondre à des gens qui vous disent manger « avec mesure » (whatever the f*ck that means) du cadavre « heureux » car local et nourri à l'ancienne ? (Sinon que c'est le cache-misère d'un système industriel tentaculaire, bien sûr)...
Mr Park a écrit :
aquinatis a écrit :
Ah oui je lis une page toutes les dix pages et c’est effectivement plutôt consternant. Je suis végétarien, et pour des raisons qui n’ont RIEN à voir avec le fait de flinguer une bestiole dans l’arriere cour de ferme. Mais bon effectivement expliquer ici c’est... compliqué?
Bof, compliqué non, j'ai expliqué plusieurs fois et je ne me suis pas fait descendre pour autant. Y a des engueulades avec Redstein parfois, mais rien de grave.
Oui, d'ailleurs si tu as perçu ça comme une agression de ma part, accepte mes plus basses excuses. Encore une fois, je ne m'attaque pas aux personnes... on a juste des démarches un peu différentes dont il vaut la peine de discuter.
jjloco a écrit :
Et le pire c'est que c'est cette approche gastronomique qui risque plus de "convertir" du monde que les débats scientifico-moralisateurs
Le côté « moralisateur » est dans l'oeil du carniste légèrement perturbé par cette violente remise en cause de son mode de vie.
Même chose quand on se fait dire « tu nuis à ta cause » : il est en effet évident que défendre une « cause », c'est parler de tout sauf des aspects qui la constituent
Sinon, la démarche « gastronomique » en question est intéressante, mais elle a ses limites : elle peut caresser un carniste dans le sens du poil au point d'en faire un « flexitarien » (= un carniste à l'ancienne, non conditionné par l'industrie pour ingérer des PA quarante-douze fois par jour), mais sûrement pas un vg.
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)