numero27 a écrit :
Freak Boy a écrit :
numero27 a écrit :
Etre végétarien, c'est militer pour l'anéantissement total des vaches (et des cochons aussi au passage) au prétexte de vouloir leur bien .... triste paradoxe
C'est cela oui... Ta logique m'échappe un peu... Et si j'arrête de rouler en Diesel, je condamne la couche d'ozone ?
Non mais si l'on interdit le diesel, on ne produit plus de voitures diesel, elles disparaissent de la surface de la terre
si on interdit l'exploitation des vaches, alors on cesse de les élever et elles disparaissent, la vache n'est pas un animal sauvage, si elles existent c'est uniquement parce qu'on a besoin d'elles, le jour ou cette logique aura pris fin, les vaches auront, sauf rares exceptions disparues de la surface de la Terre.
ça me parait évident, je ne vois pas comment il pourrait en être autrement ...
L'argument va en général dans les deux sens : on sera envahi par toutes ces vaches qu'on aura cessé de tuer...
...et simultanément, il n'y en aura plus
La plupart des animaux d'élevage, on ne les voit jamais qu'en barquette, hein (ou en océans de merde dans les nappes phréatiques si on est breton)... Du coup, si on ferme élevages et abattoirs, ça ne changera rien : on ne les verra toujours pas.
Après, rien n'interdit de conserver un bon paquet de ces animaux qui se feront un plaisir d'entretenir les paysages, etc...
...qui vivront leur vie (20 ans au lieu de 3 ou 4 ans pour une vache/6 mois pour un veau) et qui se reproduiront naturellement (et non pas par insémination systématique tous les ans jusqu'à ce qu'abattoir s'ensuive).
Il y a tout un nouveau monde à inventer, dont le véganisme n'est qu'un aspect, et comme pour tous les autres aspects, on sait ce dont on ne veut plus, pas forcément encore exactement tout ce qu'on veut, ni comment on le veut.
Ce qu'il y a de sûr, c'est que les ancêtres des vaches cochons couvées se passaient très bien du souci tellement charitable qu'ont, de leurs descendants, éleveurs, abattoirs, bouchers et pouêêêts du cholestérol franchouille à la Périco Légasse ou de la symbiose à la con avec les bestiaux qu'on va zigouiller, façon Jocelyne Porcher