balou a écrit :
solart6 a écrit :
Pour moi, Heinsenberg est Walter White, un Walter White refoulé, brimé, frustré depuis bien avant sa maladie.....
Oui, mais enfin on n'est pas obligé d'être en admiration devant Walter pour apprécier la série. Pour moi l'ambivalence du personnage est très certainement un des éléments clés de l'histoire.
Et comme tu le soulignais dans ton premier post, parmi les rôles secondaires, il ne manque pas de gentils et de salauds tout aussi primordiaux pour la cohérence du scénario.
Non c'est sûr mais j'aurai pu apprécier pleinement cette série si j'avais trouvé le moyen d'accepter ce personnage pas si nuancé. Il a plusieurs facettes, pas de problème, mais toutes ont les curseurs au taquet. A fond pathos, à fond stupide, à fond fourbe..(Je devrais nuancer mon propos mais je ne le vois pas autrement).
Quand aux personnages secondaires, j'aurai bien aimé leur trouver un motif plus épais pour pardonner leurs declins qui ont suivis la rencontre de White.
Après, j'ai regardé jusqu'au bout parce que c'est pas le genre de série que l'on abandonne en cours de route pour trop peu d'intérêt. On veut connaître la fin c'est clair mais que ce fut pénible par moment.
Puis, ça fait échanger et ça me permettra peut-être d'opter pour d'autres points de vues.
C'est cool.