Vous et les livres...

La j'attaque 'les lamentations du prépuce' de Shalom Auslander

Pas mal du tout, beaucoup d'humour pour un sujet assez intéressant : la peur du dieu tout puissant inculquée par des religieux orthodoxes, vu par un enfant/adulte ...

Moi une fois où j'étais complètement bourré, je me suis réveillé avec Les clochards célestes dans mon sac à dos.Et j'ai jamais su à qui il appartient, c'était en sortant d'un festival. Je pensais qu'il appartenait à la charmante fille que j'avais rencontré (sa je m'en rappel par contre ) et du coup j'ai attaqué le livre dès le lendemain et j'ai beaucoup apprécier.

Edit: D'ailleurs j'ai emprunté les anges vagabonds à la bibli.C'est pas grave si je le lis avant de lire sur la route ??





Sa devait pas être évident de le finir alors.Moi quand un livre m'énerve je peux pas .

Pour continuer la série commencée avec "Les silences du colonel Bramble", j'ai lu "Les Discours du Dr O'Grady" ainsi que "les nouveaux discours du Dr O'Grady" d'André Maurois. Si les deux premiers (surtout le premier) sont des bijoux, le dernier est un peu trop bavard et philosophique. La lecture est interessante au regard des deux autres car le livre a été écrit 30 ans plus tard.

J'viens de finir Malronce le tome 2 d'Autre Monde de Maxime Chattam.



Très bonne suite, ce mec débordes d'imagination, on a l'impression de se trouver sur les scènes d'action, la description des décors est excellente, les persos de plus en plus charismatique... Bref trop impatient de lire la suite!
Là je vais commencer le premier roman de Hugh Laurie.

"Glu" est pas mal si tu aimes Welsh, et puis ça doi t'évoquer des choses quand il parle de Leith
mon préféré serait plutot "The Bedroom Secrets of the Master Chefs", et si tu aimes ses expérimentations stylistiques, tu seras servi avec "Filth" (où des bulles masquent en partie certaines pages pour exprimer simultanément les pensées du vers solitaire du personnage principal )

d'ailleurs jai découvert avec stupeur que Porno (la suite de Trainspotting) n'a traduit et publié en France que très récement, alors qu'il est tout de même paru en 2002. Amusant aussi le fait que Welsh ait pris en compte les éléments rajoutés dans l'adaptation cinématographique dans Porno.

En retraçant l’histoire du terrorisme, Michel Bounan montre que la présentation habituelle des choses masque en réalité les enjeux réels de la question. Exemples à l’appui, il rappelle qu’aucun attentat terroriste n’a jamais obéi aux motifs avoués de ses prétendus auteurs. Il s’agit bien plutôt d’une stratégie entretenue par les pouvoirs en place, qui imposent aux populations le vieux principe mafieux : terrorisme ou protection. Les événements récents (11 septembre, guerre en Irak, montée de l’antisémitisme, etc.) s’en trouvent éclairés de façon nouvelle et le véritable affrontement apparaît : celui qui oppose les dirigeants mafieux de notre monde moderne à des populations de plus en plus nombreuses aux conditions de vie de moins en moins tolérables.


Citation:
“La guerre menée par le terrorisme contre ses adversaires déclarés est tout à fait invraisemblable. Pour être crédible, cette histoire exigerait triplement et simultanément une excessive stupidité des terroristes, une incompétence extravagante des services policiers, et une folle irresponsabilité des médias. Cette invraisemblance est telle qu’il est impossible d’admettre que le terrorisme soit réellement ce qu’il prétend être.”

Je lis beaucoup, c'est l'avantage des transports en commun (le désavantage, bah c'est le "en commun").

Mais parler des livres, c'est vraiment compliqué.
Quand on aime un livre, une fois qu'on a dit "ce n'est pas mal", il faut se creuser pour en faire valloir l'intérêt.

Je vais voir comment vous vous en sortez dans les pages précédentes, et après je ramènerai ma fraise.

J'avais lu du mal du Chattam sur sur un site de critiques "sérieuses" mais je pense que je vais quand même le choper ; même si c'est vrai que le premier tome était un peu naïf j'ai pas pu m'empêcher de le finir en 2 jours

Concernant le Hugh Laurie, je déconseille toujours autant la vf, traduction façon "y'a du pognon à se faire, vite !"

J'me demande comment on peut lire dans le métro ou le RER... Déjà essayé, mais impossible pour moi, si j'suis pas chez moi, tranquille, au calme, impossible de suivre quoique ce soit...

c'est un coup a prendre, il faut savoir déconnecter au point de ne plus entendre ce que se passe autour (et aussi avoir l'habitude de son trajet sinon... ), au début j'utilisais des boules quies pour pouvoir lire pendant mes trajets en métro ou rer, maintenant jy arrive sans.

Ahah, j'me vois bien être pris tellement par le bouquin que je me retrouve au terminus... A 100 bornes de chez moi.

En fait je ne me suis pas vraiment concentré sur sa façon d'écrire (je suis pas Nolleau quoi...) mais j'ai laissé mon imagination se développer au fur et à mesure de l'histoire et je trouve que le monde qu'il a crée est assez extraordinaire. J'ai moi-même trouvé que le premier roman était un peu bordelique et naïf (je n'ai pas trop accroché), mais le deuxième tome est vraiment prenant!
Concernant l'autre bouquin, j'avais juste envie de voir ce que ça valait et vu que je n'ai pas vraiment le niveau pour lire la vo ben pas le choix...

99 francs bientôt achevé: je suis assez déconcerté par la vacuité de ce livre, il faudra immédiatement que je me replonge dans une lecture salutaire de La Littérature sans estomac de Pierre Jourde, et son chapitre consacré à Begbeder, j'aurais peut-être au moins l'impression de ne pas avoir pas perdu totalement mon temps.

Ben moi je l'aime bien Beigbeder. Il a le mérite d'être marrant et de ne pas se prendre au sérieux. Il ne faut pas s'y tromper, ses modèles sont Fidzgerald ou Eston Ellis, mais il sait qu'il n'a pas le niveau, il ne se fait pas d'illusion, et c'est ce recul qu'il a sur lui-même qui le rend touchant et drôle.

Je n'ai pas encore lu le dernier, mais ça ne saurait tarder, en sachant pertinemment que ce n'est pas encore le grand bouquin qu'il sortira un jour.

Sur 99 francs, c'est surtout le monde décrit qui est vain, et c'est malheureusement celui dans lequel on vit. Puisque tu es en train de le finir, la fin est une bonne trouvaille, et la lire entièrement donne une drôle d'impression.

J'y allais un peu sceptique, vu la réputation du bazar, mais en fait c'est très plaisant, voire même jouissif par instant, si l'on ne craint pas la désorientation.

En tout cas la couverture est sympa