iamreeko a écrit :
straoul a écrit :
Ad Rock a écrit :
Le véritable problème n'est pas tant le fait de jouer un solo mais de le faire avec pour but principal d'étaler sa virtuosité. C'est ce qui distingue le musicien du "branleur de manche"...
Je suis d'accord : le solo doit servir la composition sinon autant s'en passer !!
Ah enfin un debat !
Comment un solo peut-il servir la composition du coup ?
Quelle est la valeur ajoutée d'un solo dans un morceau ? Interlude instrumentale ? Gimmick ? Pont ?
Pour commencer, personne n'est jamais d'accord sur qui est là pour 'étaler sa virtuosité" et sur qui est là pour faire de la zique.
Servir la composition, c'est toujours le but, pas de doute là-dessus - mais là encore, pour s'entendre sur ce qui sert et sur ce qui dessert...
La valeur ajoutée d'un solo dans un morceau, elle va beaucoup dépendre du style, déjà, non ? Si on parle des Ramones, c'est vite vu, on a besoin d'un solo comme une femme d'un homme - euh, j'voulais dire comme un poisson d'une bicyclette.
Le mieux serait ptêt de prendre des exemples. On peut commencer avec le Classic Rock, tiens. Ainsi, le célèbre Machine Head de Purple : sans les "solos", déjà il durerait 15 minutes (c'est pas la durée d'un disque des Ramones, au fait ?
) - mais surtout, il perdrait une bonne partie de ce qui fait son charme.
Donc : le début de Pictures of Home, par exemple, c'est un "solo" ou un "simple" discours mélodique (et, n'en déplaise à not' Kebra, plus ou moins monodique) visant à amener le couplet ?
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)