J'ai rêvé d'un autre monde ....

Apparemment ça fait déjà un bon bout de temps qu'on n'est plus dans un monde de Bisounours, si on l'a jamais été :

http://www.lemonde.fr/culture/(...).html

Dommage.

Ouai...Les femmes sont le miroirs de notre face noire...Elles savent nous renvoyer à ce qu'il y a de pire en nous. Pas étonnant que les deux saligots la craignent. C'est marrant, j'ai toujours pensé que Aubert était un escroc...

J'ai l'impression que l'on a au final qu'un seul point de vue, celui de la bassiste. Si ça se trouve, les autres membres l'ont porté à bout de bras pendant des années et n'ont pas envie de "remettre le couvert".

Oui, c'est vrai mais les trois autres ont qu'à l'ouvrir un peu aussi : ils évitent à chaque fois le sujet.

Perso, c'est un groupe qui ne m'intéresse plus.
C'était un groupe important à une époque mais je ne suis absolument pas séduit par l'idée d'une reformation surtout dans ce contexte ...

Bah, la question est entendue depuis longtemps: y'a eu trop d'affaire de cul mal digérées, de fric pas (très bien?) réparti, de machisme plat (autant de la part du groupe que de certains de ses fans d'ailleurs - cf toutes les rumeurs sur "Corinne qui sait pas jouer" - regardez un live et revenez me le dire , c'est pas Pastorius mais pour un répertoire basique comme celui du biniouphone elle faisait plus que tenir son rang - ou encore plus drôle "Corinne est l'héritière richissime d'une chaîne de parfum Marionnaud" - lu il y'a quelques années sur ce forum, alors que ce n'est même pas le même nom ... il y'a une vraie haine de certains à son égard), les égos énormes de certains et l'incapacité viscérale d'autres à tourner la page, les rancoeurs cultivées soigneusement par l'entourage ... Tous sont à un degré ou un autre coupables de cette vilaine cuisine interne qui ne les grandit pas.

Ceci dit, pitié, pas de reformation. Aubert chantant ses textes adolescents à 25 ans, c'était déjà limite, à 60 ce serait ... juste drôle. D'où l'intérêt d'écrire des textes intemporels. Ceci dit, le Telephone des débuts, dans le contexte de la fin seventies, c'était très chouette. Vaut mieux que ça continue à baigner dans son jus d'époque à mon avis.

C'est bien le fond de commerce d'Indochine, non?

Le fond de commerce d'à peu près toute la musique populaire, en fait, non ?

A peu prêt, sans doute, mais pas une raison pour valider la chose, je trouve.

B.

edit

On est bien d'accord.

Concernant Corine, tout ça est bien dommage... mais sans vouloir enfoncer le clou au point de défoncer le placage, s'il y a un mot qui définit parfaitement Téléphone, c'est bien « adolescent »... et ce n'est pas l'apparente inaptitude des trois porte-kouiiiiiii à dépasser leurs rancoeurs néanderthaliennes qui me démentira

Certes ! Mais pour ne pas faire de jaloux, je dirais bien les quatre...

B.

P.S. : quel plaisir de lire un échange courtois de temps en temps, n'est-ce pas ?

Sauf Bowie, qui a toujours refusé de chanter ces vieux morceaux (jusqu'à un certain point, il me semble).

Téléphone...
ce sera éternellement le souvenir de mon premier album de rock offert par mon paternel dans une démarche d'ouverture musicale (seul le classique et le jazz régnaient en maître à la maison).

Tout ce qui vient après... est dommage.
Un Jean-Louis Aubert puant accompagné de son mini-moi (Raphaël)...
Un Bertignac drivé par sa paire de balls (sinon expliquez moi ce qu'il foutait en live avec une certaine Carla B. ?)

Du téléphone, on est passé au Bi-Bop... faut se faire une raison et passer à d'autres frenchies qui valent le coup !

Je ne vois pas trop ce que la reformation de Telephone pourrait apporter...

ils ont tellement évolué à des années lumières de ce qu'ils faisaient avec le groupe...

c'est un peu si on remettait Platoche et Rocheteau sur un terrain de foot, je pense pas qu'ils tiendraient jusqu'à la fin de la 1ère mi-temps...

Tout à fait, même si c'est un poil déstabilisant quand ça ne part pas en sucette !

(Je ne dirais pas « les quatre » dans la mesure où il semblerait que les trois gars se soient plus ou moins ligués contre la bassiste au point de la débarquer de ce qui est aussi son histoire à elle, quels que soient ses torts.)



À vrai dire, quand je pense Bowie, je pense Low, ce qui pour moi le sort instantanément du champ de la zique populaire