Doc Loco a écrit :
Hiwatt a écrit :
Pour moi le rock psychédélique, ce sont les Seeds, le premier Floyd, les albums de Love, 5Th Dimension des Byrds, le premier Hendrix, Revolver des Beatles... En fait ce rock est mort en 1967/1968.
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+1
teddy111 a écrit :
La tendance générale sur ce topic est de résumer les sixties aux années 67 à 69...
les années Woodstock, Monterey, Isle of wight... pourquoi ignorer la richesse qui est sortie entre 1960 et 1966
Probablement parce que l'a&uteur du topic a lui-même insisté sur les "années hippies". Mais perso, c'est la période '64 - '67 que je préfère.
J'ai aussi un petit faible pour ce qui se faisait en Europe dès la fin des fifties, début des sixties : Johnny Kidd and the Pirates, Cliff Richard and the Shadows, Marty Wilde and the Wilcats, Sounds Incorporated, il est vrais que ça correspond à mes débuts de ''teenager''... j'étais en plein trip "rock'n'roll" Eddie Cochran, Gene Vincent, Buddy Holly, J.L. Lewis, etc... lorsqu'une copine qui correspondait avec un certain ''Paul Mc Cartney''
(Si elle a gardée la correspondance :€€€
) m'a refilé le premier 45 tours des Beatles : Love me Do/Please, Please Me... j'ai pas accroché de trop, perso, je suis passé à coté de cette "Beatlemania" et n'ai vraiment mordu qu'à partir de ''Revolver''... mais rétrospectivement j'apprécie tout maintenant
Ceux qui m'ont
vraiment marqués durant les sixties et que j'écoute toujours avec le même plaisir actuellement sont (dans le désordre et tous styles confondus) :
The Doors
The Mothers Of Invention (5 premiers albums).
Cream
Jimi Hendrix Experience
John Mayall Bluesbreakers
The Yardbirds
The Kinks (1964-1966)
The Rolling Stones (1964-1969/70)
Paul Butterfield Blues Band
Them
Fleetwood Mack
Bob Dylan
Pink Floyd (les singles et le premier album avec Syd Barrett).
Soft Machine (les 2 albums avec Kevin Ayers).
The Who (avant Tommy).
Rien de vraiment "psychedelic" dans tout ça... mais j'ai écouté avec intèret sans jamais toutefois "mordre" à 100 % : Grateful Dead, Jefferson Airplane et les groupes californiens de la même époque pour la bonne et simple raison qu'une découverte de taille allait bouleverser complètement mon univers musical : un certain "Robert Johnson"
A gentleman is someone who knows how to play the banjo... but doesn't !