chacal a écrit :
attention ne pas confondre potentiomètre linéaire et rectiligne.....
Houlàààà, merci de l'avoir souligné Chacal, j'ai effectivement ecrit 'linéaire' en pensant 'rectiligne' dans mon premier post (je n'ai heureusement pas fais la même erreur dans le second)
Bon, pour la peine, voilà pourquoi les potentiometres de volume ont une progression logarithmique plutôt que linéaire (contrairement aux potentiometres de tonalité par exemple).
ça m'apprendra à me relire
L'oreille humaine, et l'interprétation que fait le cerveau, n'est pas linéaire, mais dépendant de la pression acoustique et des fréquences. La pression acoustique est exprimée dB (déciBel). Comme ce que nous percevons est aussi fonction de la fréquence, il faut pondérer l'échelle de la pression acoustique. Il existe donc trois courbes suivant la fréquence et la pression qui sont exprimées en dB(A), dB(B) ou dB(C). C'est généralement la première qui est utilisée.
L'échelle des dB est une échelle dite logarithmique, ou relative, ce qui signifie qu'un doublement de la pression sonore (ou l'énergie du son) implique un accroissement de l'indice par approximativement 3. Un niveau sonore de 100 dB(A) contient donc deux fois plus d'énergie qu'un niveau sonore de 97 dB(A). Si l'on mesure le niveau sonore de cette façon, c'est que nos oreilles (et notre cerveau) perçoivent le son en termes du logarithmique de la pression sonore, plutôt qu'en termes de la pression sonore en elle-même.
Le volume d'un ampli se regle en faisant varier l'amplitude du signal électrique, donc sa tension.
Cette variation doit se faire de manière logarithmique pour qu'on ait une impression de linearité de progression de puissance sonore.
Voili voulou.
Il existe également des potentiometre antilog. Ils sont principalement utilisés pour des balance par exemple. Un voix croie logarithmiquement, alors que l'autre décroie anti logarithmiquement
Bon, j'espère que j'ai été clair. Pas sûr
Comment ça tout le monde s'en fout ??