Kida a écrit :
encore une autre methode
...pas sur que ca conviene pour des vitesse mid tempo, poiur els accnts ect....pour la vitesse pure ...le monsieur n'a plus vraiment a faire ses preuves...interessant en tout cas...
Pour Manu, claire que la facon de tenir de le mediator à un impact...moi pour le moment je le tiens plutôt sur le tranchant...ca donne plus de puissance, mais moinsde souplesse (doigts et poignée) que "ta" fa conde tenir le mediator, kikoiene a fond
....en fait en alanlysant...mon mediator n'est pas parfaitement sur le tranchnat de la derniere phalange, mais de biais....
c'est a dire une partie du mediator sur la tranche une autre sur la pulpe !de l'index...arf c'est compliqué...
Si je vois bien le truc, j'ai essayé aussi
.
Citation:
Si tu ne la pas encore matter...
la 1er video de Gilbert est un must !!! je veu la même attaquede cochon que lui ...il explqiue un truc interessant...c'est pete de la d'ou viens son secret....en gros quand il a commencé la guitare vers 6/7 ans il ne joué naturellement qu'en retour (normalment quand on debte on a tendance a jouer en aller )..il a jouer coemme ceal pendant 3/4 ans ...avec un seul doigts niveau main gauche !!!..et vers 11 ans ila decouvert l'aller retour...et ses autres doigst
.la suite on la connais..., hors (la fait térs theoricien mouarff )..le retour est souvent le maillon faible, on est souvent moins a l'aise....Gilbert a developpé tellment cet aspect dans sa jeunesse..que c'est sans doute pour cela qu'il a une tel attaque..
Je ne sais pas si c'est la 1ère, ça s'appelle je crois "terrifying guitar trip" (une vidéo avec la plage et les vagues en fond au début).
Citation:
amusé vous par exemple...a jkouer l'exo chrmatique de petrucci....tout en retour...et ben la sensatione st chelou...faite cela 10 min....(c'est térs chiant au passge
), faite la même chsoe qu'en aller....c'est deja beaucoup plus facile....Gilbert semble avoir naturellment la faculté "inverse"
C'est à mon avis un très bon exercice de jouer tout en "retour" pour rendre naturel le mouvement et de ne pas le voir comme le retour de l'aller mais comme un coup indépendant.