quantat a écrit :
Blow Up a écrit :
Le mec était cinglé c'est certain, mais c'était sans doute plus un psychorigide inflexible, obsédé par sa "mission" ses fantasmes sur la droiture, la vertu, ses lectures sur la grandeur du sénat romain etc... qu'un psychopathe.
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C'est une bonne définition d'un psychopathe (la question de la droiture et du respect inconditionné de certaines règles est au cœur de la structure perverse)
Si tous les doyens de la faculté de médecine me tombent dessus, ça va devenir compliqué.
Je ne sais pas si il y a une définition du psychopathe qui existe d'ailleurs ? Il était connu aussi pour son empathie Robespierre, je ne sais pas si ça cadre vraiment avec ce qu'on appelle un psychopathe.
Si ça vous rassure de faire de lui un monstre, c'est pas très grave, je vois plutôt un personnage compliqué, rigide et plein de ressentiments dans une époque compliquée.
Dans la perception populaire de l'histoire de France, on a plus tendance à faire de lui un monstre et de Napoléon (qui a fait 1000 fois plus de morts et ruiné le pays) un grand homme.