Actualité politique / Règles en page 1

Ce n'est pas une dérive, c'est de la désinformation que Bluesbarbu pioche sur desouche.frdefr, zemour&morpion.com et l'association Mariiiiiine viens me sauver!

BB tu n'as rien compris il faut des bons et des méchants sinon tu nous l'embrouille.

L'escroquerie a la Madoff elle est simple et en rien symptomatique de l’état du système, il n'a fait qu'utiliser ce qui existait.
Il y aura toujours quelque soit le système , la société, même si elle comble tes attentes, des gros malins pour se goinfrer sur le dos des autres

Ben non, ce n'est pas du tout une constante. Les différences entre les gros tas et les petits tas peuvent varier fortement.

Cliclac, tu cherches à noyer le poisson : je te parle d'un système mondial toxique, institutionnalisé et incontournable, pas seulement de Madoff qui n'a fait que tenter d'en exploiter les failles.

Donc tu vas me soutenir que dans les universités, les études (au sens recherche) et les études (au sens étudiants) ne sont pas du tout parasitées par la politique, les mouvements féministes, racialistes, marxistes, ... Et que l'écriture inclusive pourtant non officielle y est utilisée ?

La politique a toujours été présente à l'Université, et c'est une bonne chose, nan ?

Si elle met au placard ceux qui pensent différemment de ceux qui gueulent le plus fort ... nan

je répond au deux, enfin j'essaie, le système actuel a ses défauts ou plutôt permet trop de dérives, mais il me parait régulable. Je reste persuadé que tout autre système finirait par produire les mêmes inégalités. Il y a longtemps de cela je croyais l'inverse

Oh, je ne dis pas qu'un autre système ferait forcément mieux - juste que celui-ci nous mène droit vers la falaise

http://legacy.buzzflash.com/co(...)ction





Mais ce n'est pas le cas - ça tire à hue et à dia, comme toujours, mais ce n'est pas comme si l'UNEF ou les petites connes autovoilées pour le fun de Sciences Po avaient tellement d'influence (arrêtez-moi si je me gourre).

Ce qui ne veut pas dire que le système éducatif va bien, à commencer par le Ministère et les rectorats, dont le mot d'ordre face au communautarisme islamiste montant reste 'pas de vagues' - c'est ainsi que des enseignants terrifiés ont pu récemment s'opposer à ce qu'on donne le nom de Samuel Paty à leur établissement.

Je ne sais pas si quelqu'un avait posté cet article ?

https://www.nouvelobs.com/soci(...).html



Belle diversion, BB - on a failli ne plus causer du casino mondial qui va nous faire sauter la cafetière

Ca fait combien de décennies que tu n'as plus mis les pieds dans une unif? Parce qu'honnêtement ta viosion est pour le mons passéiste. Il y a de tout dans les unifs, c'est même à ça que sert: des groupes de droite, de gauche,...

Il n'y a qu'à voir la polémique qu'il y a eu à Louvain-la-Neuve chez nous pour le comprendre (malheureusement):

www.rtbf.be/info/regions/braba(...)40239

Dans les écoles de commerce et certaines grande écoles pas besoin de militantisme politique tout le monde est de droite, étudiants comme profs.

Et c’est pas plus mal

Étudiants de gauche assistant à un cours magistral dispensé par un prof marxiste :

Il faut arrêter avec vos fantasmes sur les universités noyautées par des groupuscules extrémistes, le péril Evergreen qui arrive en France etc..

Les universités sont bien moins politisées que dans les années 70/80, Vincennes n'existe plus, il y a eu de nombreuses réformes. La grande majorité des étudiants sont dépolitisés (comme le reste de la population d'ailleurs). Ce qui arrange bien pouvoir, parce-que avec les situations de précarité que vivent les étudiants actuellement, il y a 40 ans, ça aurait explosé depuis longtemps.

Il faut déjà sortir les choses de leur contexte. Ce n'est pas parce que certains universitaires militent que l'université milite.
Ensuite tu accordes beaucoup d'importance à quelques universitaires regroupés dans quelques facultés.
Parce qu'avec tes généralisations, on peut partir de quelques facultés de droit et d'histoire, et prétendre que L'Université défend des valeurs d'extrême-droite.

Enfin l'écriture inclusive semble être une obsession chez toi. Qu'un style d'écriture soit utilisé plutôt qu'un autre, il y a plus grave dans la vie. Je suis dans une université qui est un centre important du féminisme, voisin de ces militantes qui te chatouillent les noisettes. Je ne vais pas jusqu'à faire de l'humour de caserne à la machine à café, mais je t'assure que je ne me sens pas bridé ni même infériorisé par une meute d'amazones coupeuses de cheveux en quatre. Je les trouve même en moyenne plus cool que d'autres collègues mâles, bien coincés et obéissants.

La ça ressemble plus à une méthode empirique

Après je ne connais pas le milieu parisien (c'est Paris Diderot, l'université occupée, non? )