Des cyclistes ici ?

J'ai une grande terrasse qui me permet de passer le jet d'eau mais un pote qui a juste un petit balcon utilise un haute pression dans un centre de lavage, pas de précaution particulière, juste ne pas trop forcer sur la pression ça ne sert à rien

Je rentre d'une petite sortie d'une heure le long de la Moselle, sur de la neige, elle même sur de la glace Le tout en .... VTC Température : 1,5°
Bon, c'est quand même bien 'chaud' (si je puis dire...)

ça devait être bien sympa, j'envie vos paysages de carte postale tout blancs
Ici la dernière fois que la neige a tenu c'était en 2012 je crois

Oui c'est vrai que ça fait de très beaux paysages. J'adore aussi la 'musique' que ça fait, le son de neige qu'on écrase... Après, pour rouler en sécurité, il faut réussir à rouler dans de la neige 'fraiche', là où personne n'est encore passé (et ne surtout pas suivre la trace d'un autre vélo...), sinon tu passes sur de la neige écrasée qui est quasiment devenue de la glace, et là, ça glisse grave

En VTT, gomme tendre ça marche bien.
Pour les trajets sur route j'ai des pneus clous

Sinon je suis d'accord, la mallette c'est pas idéal. Un jeu de bonnes clés allen. Et surtout ne pas hésiter à changer les clés de 4, 5 et 6 régulièrement si tu t'en sers beaucoup.

L'étape d'après, en effet le dérive chaine et l'ensemble fouet à chaine / démonte cassette à voir en fonction du vélo.

Je ne suis pas passé à la cire parce que je roule sous toutes conditions et souvent merdiques d'ailleurs en ce moment

Malgré tout, une huile adaptée au conditions c'est bien. Temps de merde, huile conditions humides. Elle est plus épaisse, elle accrochera malheureusement un peu plus la cochonnerie, mais elle se barrera pas à la première flaque venue.

Temps sec, huile conditions sèches. Evite de coller la poussière.

La mécanique vélo n'a rien de sorcier, faut découvrir tranquillement.
La purge des freins en fonction des freins peut être merdique, et les fourches chiantes.

Sinon faut juste les outils pour démonter les 24 standards de chaque pièce.

Oui c'est ce que j'avais avant. Mais comme on m'a volé le VTT, j'ai décidé de ne pas en racheter un et de me contenter d'un VTC de base pour faire le travail de fond que je fais en hiver

et éviter le karcher trop près des roulements

Ce n'est pas compliqué de nettoyer un vélo, je prépare un seau d'eau avec du Mir, je le caresse avec une éponge chargée abondamment de ce liquide dégraissant, puis je rince le vélo avec le jet d'eau réglé pour obtenir un jet en forme de V produisant un brouillard d'eau, et lorsque je n'ai plus de mousse blanche, je le pends au garage et je procède à un long essuyage et séchage avec des chiffons.

C'est bien cette dernière opération qui est la plus longue et la plus fastidieuse car j'essuie chaque rayon, chaque moyeu, chaque frein, chaque dérailleur, etc...

Une fois séché et brillant, je passe à la partie la moins intéressante du nettoyage, en utilisant un chiffon blanc et en enlevant le noir des dents du pédalier. Puis je plie un chiffon blanc, au départ, et je le passe entre les pignons de la roue libre jusqu'à ce que je retrouve la couleur de l'acier.

Je nettoie la chaîne au chiffon blanc, puis je tourne les pédales à la main en huilant légèrement la chaîne que je fais tourner pour que chaque maillon puisse avoir sa goutte d'huile.

Je prends le temps de passer chaque vitesse en tournant les pédales à la main pour que chaque pignon puisse recueillir l'excédent d'huile de la chaîne. J'allais oublier que j'huile abondamment les petits moyeux des pignons du dérailleur arrière, l'huile en excédent finissant de bien recouvrir la chaîne et les pignons de la cassette.

Puis j'essuie seulement les côtés de la chaîne avec un chiffon propre pour éviter que la poussière ne s'y colle, et ne vienne salir mes chaussures et chaussettes blanches.

Mon vélo look 585 carbone est facile d'entretien à côté de mes anciens vélos en aluminium que je devais faire briller avec les cotons légèrement abrasifs et le produit Ouator (cousin du Miror). Je passais une quantité de chiffons car l'alu comme le cuivre salissait de noir mes chiffons et je frottais, repassait le produit jusqu'à ce que mes chiffons blancs ne noircissent plus.

Comme vous pouvez le constater je suis hyper maniaque mais mes vélos ne vieillissent pas et ont toujours l'aspect du neuf.

Et si notre questionneur n'a pas de point d'eau il peut se rendre à une station de nettoyage des voitures où, justement les jets ne sont pas trop puissants, ainsi l'eau ne devrait pas s'infiltrer dans le jeu de direction ou les roulements des roues et du pédalier.

Vous vous prenez quand même fort la tête, je voyais une vidéo de Yoann Offredo (un pro), il passe un produit dégraissant sur la chaîne, un nettoyant vélo et il rince. Ca prend 5 minutes!

Ben le minimum c'est quand même de bien nettoyer la transmission. Avec juste du dégraissant, ta chaîne et tes pignons vont pas faire long feu

Aucun soucis avec un nettoyant chaine dans un nettoyeur chaine type park tool cm5.
Un coup de spray sur la cassette et la brosse entre le pignons. La chaine est nickelle.

Si tu le fais régulièrement, c'est surtout la chaine qui est sale, pas la cassette.

Je fais ça depuis 20 ans sur mon parc vélo sans problème et moi aussi j'ai été pro (bon, y'a un gros paquet de margoulins dans le métier )

Pro cycliste ou pro vélociste ? C'est pas pareil !

De mon côté, je m'adapte à la technologie de l'époque des vélos que je remonte…

Ca va d'un vieux Alcyon 1927 à un Raleigh Royal Roadster avec ses freins à tringles, jusqu'à des VTT des 90' découpés pour fabriquer des triporteurs "maison".
Niveau outillage, ça demande pas mal de standards différents, ne serait-ce que pour les boîtiers de pédaliers, c'est rien de le dire !

Je viens de refaire un vieux demi-course Motobécane des 70', avec les billes libres (sans cages) dans le pédalier, toutes bonnes à changer et à remonter, pffff…

Mais bon, c'est un plaisir de faire revivre ces vieilles machines vouées à la poubelle ! L'up-cycling n'a jamais autant mérité son nom, d'autant qu'il semblerait qu'on ait une pénurie de vélo neufs…8O8O

Mécano, jamais été pro du pédalage mais j'ai payé mes études en montant et réparant des vélos.

Les produits dégraissants vont nettoyer une chaîne donc avoir un effet positif, mais vont également attaquer la graisse des roulements de pédalier, de moyeux, donc effet négatif.

J'ai oublié de préciser que mes vélos ont toujours été montés en matériel tout Campagnolo Record, et qu'en plus de quarante années de cyclo sportif je n'ai connu aucun incident technique et seulement 3 crevaisons!

J'ai roulé avec des boyaux qui nécessitaient bien du travail de préparation des jantes avec plusieurs couches de colle, et qui, malgré celles-ci, trouvaient le moyen de tourner sur la jante les jours de grande chaleur, ou dans les longues descentes sollicitant beaucoup les freins qui chauffaient les jantes et ramollissaient la colle.

Je suis venu aux pneus Continental Grand Prix 4 000 S, 23 mm, avec chambres à air Michelin, abondamment talquées, pour éviter qu'elles collent après les pneus, et qu'elles se percent au premier silex ou épine, et afin que leur caoutchouc conserve toutes ses propriétés. Je dégonfle celles-ci après chaque sortie et j'entends nettement le bruit de décollement de la chambre dans son pneu.

Je graisse chaque année, avec de la graisse blanche, les moyeux de roue, ainsi que les câbles de freins qui permettent d'obtenir une certaine douceur d'action des poignées de freins. Toujours pour améliorer cette douceur d'action, après chaque nettoyage je laisse tomber une ou deux gouttes d'huile sur l'axe des freins.

Ce sont de petits détails qui évitent bien des désagréments et qui permettent de profiter d'un vélo dans des conditions optimums, propices aux performances, et au plaisir de rouler!

Vu que je ne peux tjs pas rouler (et encore pour un moment), je recommence à bricoler un peu sur le Peugeot.
J'avais remplacé le cintre et relevé les leviers de frein pour y accéder plus facilement mains en haut, mais comme l'avait justement fait remarquer le Colonel, plus moyen d'accéder aux leviers mains en bas. ça ne me génait pas trop dans la mesure où en ville les mains sont tjs en haut.

En me balladant sur le net, je me suis trouvé une paire de leviers avec une géométrie beaucoup plus moderne, se rapprochant de se qu'on trouve aujourd'hui sur les vélos route. Et bonus, avec les cocottes en caoutchouc et passage de gaine dans les cocottes.

J'ai fait un essai tout à l'heure, et franchement ça le fait au top !






On voit bien qu'à position équivalente, le levier tombe beaucoup plus droit et la cocotte est bien horizontales dans le prolongement du plat du cintre.
On perd un peu le côté vintage, mais ça je m'en fout. Super content
(10€40 la paire de leviers avec cocottes)

La commande ne va pas tarder... Campé sur le 105, je finis par me dire que le GRX sera mieux.

Pas de pratique route intensive donc le 50/34 ne devrait pas me manquer, grosso modo moitié chemins moitié route et je compte faire quelques sorties courtes un peu sauvages. Par contre, j'ai une fréquence de pédalage relativement basse. Ceci dit, je suppose que le grand plateau en 46 permet d'avoir une bonne allure sur route (ce qui arrivera quand même régulièrement).

Le problème c'est que je n'ai plus de vélo de route qui peut me servir de référence, un singlespeed avec un rapport de 46 x 17. Le rapport maximal du GRX est 46 x 11...



Des avis ? Il me semble que t'as opté pour cette transmission Denis, peut être avec une plus grosse cassette ?

J'ai gardé les roues les plus basiques (j'hésitais avec les 300), pour moi c'est déjà une bonne somme pour un vélo