bonniwell a écrit :
Si on considère que "le monde" n'ait pas d'existence en soi, en ceci qu'il n'existerait que comme la somme de toutes les perceptions des êtres vivants qui le peuplent, alors "la fin du monde" pourrait juste s'interpréter comme une vaste modification généralisée de la manière dont nous abordons le monde.
Si tout le monde change radicalement, en très peu de temps, sa manière de se situer face aux autres, à la nature, à sa propre existence, alors ça sera la fin du monde tel qu'on le connait.
Ce postulat n'exclut pas les catastrophes naturelles du moment qu'on considère que "la nature" est vivante elle aussi, et peut donc changer sa perception des individus et son comportement à leur égard.
ouai ok si tu veux ... mais t'endors pas sur le petard là , il a même pas fait 1 tour !