La Grande Boucle

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spikea
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    spikea
    le 11 Juil 2005, 11:43
Bravo à l'auteur y a plein de choix et des bien fun, c'est cool.

Bon j'risque de pas être des plus objectif car je deteste le cyclisme sur route mais:
C'est comme tous les sports, c'est chiant à regardé et encore plus le velo, le curling... etc ça n'as d'intérêt que pour un pratiquant !
La formule 1 j'dis pas, on peut esperer un jolie crache ou une belle sortie de route...oh le sadique! :mdr:
Sodium
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    Sodium
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SpikeSpiegel a écrit :
Bravo à l'auteur y a plein de choix et des bien fun, c'est cool.

Bon j'risque de pas être des plus objectif car je deteste le cyclisme sur route mais:
C'est comme tous les sports, c'est chiant à regardé et encore plus le velo, le curling... etc ça n'as d'intérêt que pour un pratiquant !
La formule 1 j'dis pas, on peut esperer un jolie crache ou une belle sortie de route...oh le sadique! :mdr:


Vrai et faux
J'ai un amis qui n'aime pas regarder les Live (concerts) car il me dit qu'il n'est pas musiciens, d'un autre coté, je connais d'autres personnes non musiciennes qui possèdent des live.
Mon père aime bien regarder les sumos (cherchez pas à comprendre :mdr: ) alors qu'il ne l'est nullement.
Je dirais que c'est plus une passion comme tout. Tu peux aimer le sport sans en faire.

PS: "un joli crash" pas "un jolies crache"
Electrique - Guitare d'hiver
Accoustique - Guitare d'été
spikea
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    spikea
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Miles Davis a écrit :
SpikeSpiegel a écrit :
Bravo à l'auteur y a plein de choix et des bien fun, c'est cool.

Bon j'risque de pas être des plus objectif car je deteste le cyclisme sur route mais:
C'est comme tous les sports, c'est chiant à regardé et encore plus le velo, le curling... etc ça n'as d'intérêt que pour un pratiquant !
La formule 1 j'dis pas, on peut esperer un jolie crache ou une belle sortie de route...oh le sadique! :mdr:


Vrai et faux
J'ai un amis qui n'aime pas regarder les Live (concerts) car il me dit qu'il n'est pas musiciens, d'un autre coté, je connais d'autres personnes non musiciennes qui possèdent des live.
Mon père aime bien regarder les sumos (cherchez pas à comprendre :mdr: ) alors qu'il ne l'est nullement.
Je dirais que c'est plus une passion comme tout. Tu peux aimer le sport sans en faire.

PS: "un joli crash" pas "un jolies crache"


Boh, y a bien des exceptions qui confirment la régle !? Je n'aurais peut être pas dû généralisé mais comme tu l'as si bien dit "Vrai et Faux"
Sinon on est d'accord.
P.S.: merci de la correction, enfin y a pire, tant que j'me mets pas au sms.
Com sa pr exple ok je
kiffrichess
il fut un temps où j'adorais suivre la grande boucle.

Mais tous les scandales médiatiques autour du dopage sont arrivés et ils ont cassés l'image que j'avais en moi du cyclisme de haut niveau.

je leur en veux beaucoup pour ça! (je parle des médias pas des coureurs)
lemg
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    lemg
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J'aime bien suivre le Tour, sans être un grand amateur de cyclisme. Pour tout dire les seules autres courses qu'il m'arrive de regarder sont les classiques du printemps (Paris-Roubaix et autres...)

Alors pour ceux qui connaîtraient mal, voici comment se présente le tour de France :

0) 1er jour : prologue. Sur une distance en général assez courte, elle permet à certains spécialistes de l'effort bref et intense de briller. L'avantage de gagner cette étape est l'assurance de porter le maillot jaune. L'équipe du vainqueur est heureuse, elle va devoir souquer ferme d'entrée de jeu.
On n'aimerait pas être à leur place et on se dit qu'on est bien content d'être dans son fauteuil.

1) La première semaine : ce sont des étapes en plat réservées aux sprinters. Et quand on dit réservé, c'est réservé. On trouvera toujours des véléitaires pour des échappées au long cours (Chapatte power ), qui se feront irrémédiablement reprendre par un troupeau de bourrins (pardon un peloton) lancé à vive allure. Les autres devant le savent, mais ils montrent le maillot. Ils le mouillent. Ou bien est-ce la pluie ?
S'ils survivent aux 4259 chutes provoquées par des îlots directionnels mal indiqués lors des entrées dans les agglomérations, les sprinters peuvent alors s'expliquer dans le dernier kilomètre.
Ca fait peur, ça frotte et une photo finish est nécessaire.
On est bien content d'âtre dans son fauteuil.

2) Deuxième semaine : les premières difficultés. Ca grimpe. Les purs sprinters abandonnent dès les premiers pourcentages. Certains souffrant sur des dos d'âne, il est inhumain de leur faire subir le Galibier. C'est généralement le moment où l'on entend parler des outsiders, ceux qui vont faire "tomber le champion", ceux qui ont "remporté 6 étapes dans le Giro, ça ne s'était jamais vu" etc, bref ceux qui vont intégrer l'autobus.
Quid de l'autobus ? C'est un rassemblement de coureurs, ceux qui peinent le plus en montage. L'idée de se rassembler est simple : si on arrive hors-delai, ils n'oseront pas éliminer plusieurs dizaines de coureurs.
Précision : ils ont déjà osé.
Pour les passagers de l'autobus, la journée consiste donc à serrer les fesses et ce pour plusieurs raisons :
_ la peur d'être éliminé
_ la difficulté du parcours
_ le résultat d'une première semaine passée sous la pluie et d'un magnifique soleil brûlant pour la deuxième. Un chaud et froid des familles. Dans le jargon technique, on appelle ça des ennuis gastriques.
On est bien content d'être dans son fauteuil.

3) Milieu de deuxième semaine : les étapes de transition. C'est là qu'on découvre qu'il y a des malades mentaux. Ceux qui en ont soupé la veille et qui décident d'attaquer sur un "profil plus favorable aux baroudeurs". Quelqu'un aurait-il omis de leur parler des 5 cols hors catégorie prévus au programme du lendemain ?
Une chose est sûre : on est bien content d'être dans son fauteuil.

4) Fin de deuxième semaine : la montagne suite et fin voir 2), sans omettre d'ajouter qu'on est bien content d'être dans son fauteuil.

5) Troisième semaine : si toutefois il reste des sprinters, ils vont pouvoir s'expliquer dans la "lutte pour le maillot vert".
Enfin, pas tous les jours puisqu'apparaît en fin de tour le fameux contre la montre.
Le chrono.
La lutte de l'homme et sa machine contre le temps qui s'écoule, cet empaffé.
Ca roule vite, c'est une mécanique de précision et ma foi on est bien content d'être dans son fauteuil.

6) Le dernier jour : un dimanche à Paris. Les premiers kilomètres de l'étape se déroulent pépère, on prend la pose, on boit du champagne.
Puis on entre dans la capitale pour 10 tours de circuit, un dernier bourrinage et c'est fini.
Podium, lauriers, hymnes.
Dieu qu'ils ont l'air d'être fatigués.
On est bien content d'être dans son fauteuil.

En supplément, cette recette peut s'agrémenter des délices suivants :
_ contre la montre en altitude
_ contre la montre par équipes. Les règles changent chaque année. Idéal pour s'engueuler avec ses coéquipiers le soir. Un régal par temps de pluie, la maison le conseille.
_ manifestations 10 km en amont de la grande boucle, générant un suspense auquel même Hitchcock n'aurait pas rêvé. Vont-ils arrêter le tour ?

Si avec ça vous n'aimez pas le tour.

Ah je sais pourquoi vous n'aimez pas.



Vous n'avez pas de fauteuil, c'est ça ?
JPZ
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lemg a écrit :
J'aime bien suivre le Tour, sans être un grand amateur de cyclisme. Pour tout dire les seules autres courses qu'il m'arrive de regarder sont les classiques du printemps (Paris-Roubaix et autres...)

Alors pour ceux qui connaîtraient mal, voici comment se présente le tour de France :

0) 1er jour : prologue. Sur une distance en général assez courte, elle permet à certains spécialistes de l'effort bref et intense de briller. L'avantage de gagner cette étape est l'assurance de porter le maillot jaune. L'équipe du vainqueur est heureuse, elle va devoir qouquer ferme d'entrée de jeu.
On n'aimerait pas être à leur place et on se dit qu'on est bien content d'être dans son fauteuil.

1) La première semaine : ce sont des étapes en plat réservées aux sprinters. Et quand on dit réservé, c'est réservé. On trouvera toujours des véléitaires pour des échappées au long cours (Chapatte power ), qui se feront irrémédiablement reprendre par un troupeau de bourrins (pardon un peloton) lancé à vive allure. Les autres devant le savent, mais ils montrent le maillot. Ils le mouillent. Ou bien est-ce la pluie ?
S'ils survivent aux 4259 chutes provoquées par des ïlots directionnels mal indiqués lors des entrées dans les agglomérations, les sprinters peuvent alors s'expliquer dans le dernier kilomètre.
Ca fait peur, ça frotte et une photo finish est nécessaire.
On est bien content d'âtre dans son fauteuil.

2) Deuxième semaine : les premières difficultés. Ca grimpe. Les purs sprinters abandonnent dès les premiers pourcentages. Certains souffrant sur des dos d'âne, il est inhumain de leur faire subir le Galibier. C'est généralement le moment où l'on entend parler des outsiders, ceux qui vont faire "tomber le champion", ceux qui ont "remporté 6 étapes dans le Giro, ça ne s'était jamais vu" etc, bref ceux qui vont intégrer l'autobus.
Quid de l'autobus ? C'est un rassemblement de coureurs, ceux qui peinent le plus en montage. L'idée de se rassembler est simple : si on arrive hors-delai, ils n'oseront pas éliminer plusieurs dizaines de coureurs.
Précision : ils ont déjà osé.
Pour les passagers de l'autobus, la journée consiste donc à serrer les fesses et ce pour plusieurs raisons :
_ la peur d'être éliminé
_ la difficulté du parcours
_ le résultat d'une première semaine passée sous la pluie et d'un magnifique soleil brûlant pour la deuxième. Un chaud et froid des familles. Dans le jargon technique, on appelle ça des ennuis gastriques.
On est bien content d'être dans son fauteuil.

3) Milieu de deuxième semaine : les étapes de transition. C'est là qu'on découvre qu'il y a des malades mentaux. Ceux qui en ont soupé la veille et qui décident d'attaquer sur un "profil plus favorable aux baroudeurs". Quelqu'un aurait-il omis de leur parler des 5 cols hors catégorie prévus au programme du lendemain ?
Une chose est sûre : on est bien content d'être dans son fauteuil.

4) Fin de deuxième semaine : la montagne suite et fin voir 2), sans omettre d'ajouter qu'on est bien content d'être dans son fauteuil.

5) Troisième semaine : si toutefois il reste des sprinters, ils vont pouvoir s'expliquer dans la "lutte pour le maillot vert".
Enfin, pas tous les jours puisqu'apparaît en fin de tour le fameux contre la montre.
Le chrono.
La lutte de l'homme et sa machine contre le temps qui s'écoule, cet empaffé.
Ca roule vite, c'est une mécanique de précision et ma foi on est bien content d'être dans son fauteuil.

6) Le dernier jour : un dimanche à Paris. Les premiers kilomètres de l'étape se déroulent pépère, on prend la pose, on boit du champagne.
Puis on entre dans la capitale pour 10 tours de circuit, un dernier bourrinage et c'est fini.
Podium, lauriers, hymnes.
Dieu qu'ils ont l'air d'être fatigués.
On est bien content d'être dans son fauteuil.

En supplément, cette recette peut s'agrémenter des délices suivants :
_ contre la montre en altitude
_ contre la montre par équipes. Les règles changent chaque anée. Idéal pour s'engueuler avec ses coéquipiers le soir. Un régal par temps de pluie, la maison le conseille.
_ manifestations 10 km en amont de la grande boucle, générant un suspense auquel même Hitchcock n'aurait pas rêvé. Vont-ils arrêter le tour ?

Si avec ça vous n'aimez pas le tour.

Ah je sais pourquoi vous n'aimez pas.



Vous n'avez pas de fauteuil, c'est ça ?
excellent !

t'as des talents de conteur cher lemg!
lemg
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    lemg
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Merci bien.
padisha_emperor
lemg a écrit :
J'aime bien suivre le Tour, sans être un grand amateur de cyclisme. Pour tout dire les seules autres courses qu'il m'arrive de regarder sont les classiques du printemps (Paris-Roubaix et autres...)

Alors pour ceux qui connaîtraient mal, voici comment se présente le tour de France :

0) 1er jour : prologue. Sur une distance en général assez courte, elle permet à certains spécialistes de l'effort bref et intense de briller. L'avantage de gagner cette étape est l'assurance de porter le maillot jaune. L'équipe du vainqueur est heureuse, elle va devoir qouquer ferme d'entrée de jeu.
On n'aimerait pas être à leur place et on se dit qu'on est bien content d'être dans son fauteuil.

1) La première semaine : ce sont des étapes en plat réservées aux sprinters. Et quand on dit réservé, c'est réservé. On trouvera toujours des véléitaires pour des échappées au long cours (Chapatte power ), qui se feront irrémédiablement reprendre par un troupeau de bourrins (pardon un peloton) lancé à vive allure. Les autres devant le savent, mais ils montrent le maillot. Ils le mouillent. Ou bien est-ce la pluie ?
S'ils survivent aux 4259 chutes provoquées par des ïlots directionnels mal indiqués lors des entrées dans les agglomérations, les sprinters peuvent alors s'expliquer dans le dernier kilomètre.
Ca fait peur, ça frotte et une photo finish est nécessaire.
On est bien content d'âtre dans son fauteuil.

2) Deuxième semaine : les premières difficultés. Ca grimpe. Les purs sprinters abandonnent dès les premiers pourcentages. Certains souffrant sur des dos d'âne, il est inhumain de leur faire subir le Galibier. C'est généralement le moment où l'on entend parler des outsiders, ceux qui vont faire "tomber le champion", ceux qui ont "remporté 6 étapes dans le Giro, ça ne s'était jamais vu" etc, bref ceux qui vont intégrer l'autobus.
Quid de l'autobus ? C'est un rassemblement de coureurs, ceux qui peinent le plus en montage. L'idée de se rassembler est simple : si on arrive hors-delai, ils n'oseront pas éliminer plusieurs dizaines de coureurs.
Précision : ils ont déjà osé.
Pour les passagers de l'autobus, la journée consiste donc à serrer les fesses et ce pour plusieurs raisons :
_ la peur d'être éliminé
_ la difficulté du parcours
_ le résultat d'une première semaine passée sous la pluie et d'un magnifique soleil brûlant pour la deuxième. Un chaud et froid des familles. Dans le jargon technique, on appelle ça des ennuis gastriques.
On est bien content d'être dans son fauteuil.

3) Milieu de deuxième semaine : les étapes de transition. C'est là qu'on découvre qu'il y a des malades mentaux. Ceux qui en ont soupé la veille et qui décident d'attaquer sur un "profil plus favorable aux baroudeurs". Quelqu'un aurait-il omis de leur parler des 5 cols hors catégorie prévus au programme du lendemain ?
Une chose est sûre : on est bien content d'être dans son fauteuil.

4) Fin de deuxième semaine : la montagne suite et fin voir 2), sans omettre d'ajouter qu'on est bien content d'être dans son fauteuil.

5) Troisième semaine : si toutefois il reste des sprinters, ils vont pouvoir s'expliquer dans la "lutte pour le maillot vert".
Enfin, pas tous les jours puisqu'apparaît en fin de tour le fameux contre la montre.
Le chrono.
La lutte de l'homme et sa machine contre le temps qui s'écoule, cet empaffé.
Ca roule vite, c'est une mécanique de précision et ma foi on est bien content d'être dans son fauteuil.

6) Le dernier jour : un dimanche à Paris. Les premiers kilomètres de l'étape se déroulent pépère, on prend la pose, on boit du champagne.
Puis on entre dans la capitale pour 10 tours de circuit, un dernier bourrinage et c'est fini.
Podium, lauriers, hymnes.
Dieu qu'ils ont l'air d'être fatigués.
On est bien content d'être dans son fauteuil.

En supplément, cette recette peut s'agrémenter des délices suivants :
_ contre la montre en altitude
_ contre la montre par équipes. Les règles changent chaque anée. Idéal pour s'engueuler avec ses coéquipiers le soir. Un régal par temps de pluie, la maison le conseille.
_ manifestations 10 km en amont de la grande boucle, générant un suspense auquel même Hitchcock n'aurait pas rêvé. Vont-ils arrêter le tour ?

Si avec ça vous n'aimez pas le tour.

Ah je sais pourquoi vous n'aimez pas.



Vous n'avez pas de fauteuil, c'est ça ?


alors là chapeau

juste une omission dans ce message anthologique : les coureurs qui manquent de se faire empaler, écraser, trainer sur quelquse centaines de mètres par les voitures des directeurs sportifs - voire des médecins, c'ets plus rigolo entre nous et puis on est sur place pour les soins - quand lesdites voitures se frayent un chemin à travers le pelton pour rejoindre les coureurs de leur équipe qui luttent comme des veaux dans l'échappée pour tenter de semer le peloton.
Parfois aussi un cameraman manque d'ebrocher un coureur quand la moto fonce et frôle à quelquse centimètres le pauvre cycliste qui a eu la mauvaise idée de se rabattre sur le côté...
IL y a aussi les classiques vaches et chevaux cavalant sur la route.
ET bien sûr, le public, auquel il semble souvent manquezr des neurones parce que chaque année y'a nu boulet qui fait tomber un coureur en agitant les bras devant lui et en se retirant trop lentement (cf Guerini de la T-Mobile, qui était tombé à cause d'un gars ayant pris une photo...heureusement, il a quand même pu gagner l'étape...)
Moi ça me fait peur pour les cyclistes quand ils sont entourés de part et d'autre par une marée multicolore qui hurle crie chante et qui a 2.5 grammes de jaune dans le sang...



Sinon, le tour, ce qui est vraiment palpitant c'est la montagne. Le reste, Lemg kl'a dit, c'est "'échappée/peloton/échappée/peloton/sprint....

A la limite les Champs c'ets pas mal, y'a Paris, et plein de fous qui attaquent comme des veaux malgré 3 semaines de courses et les Alpes, Pyrénnées et parfois en bonus un autre massif dans les jambes (cete année : les Vosges), histoire de se montrer au public.


En tout cas, tu vas donner envie je pense aux gens de regarder

Et c'ets certain, quand on les voit en chier dans le col de l'Isoard, ou du Tourmalet, dans celui de la Madeleine, et qu'il fait environ 40 degrés à l'ombre....avec une petite pente à 10 % ....on est mieux dans son fauteuil
fan des Pixies, de Muse, de Rammstein et Tool.
-----------
Nemo censetur ignorare legem

Jus est ars boni et aequi
-----------
M 1 Droit public ... Mais comment peut-on vivre sans Droit Administratif ??? :)
AvatarA
J'aimerai bien voir obi-wan kennobi sur un velo moi
Ah mince il a été controllé positif à la force le salopio
"Si les portes de la perception étaient lavées, chaques choses apparaitrait telle qu'elle est, infinie"
"If the doors of perception were cleaned everything would appear to man as it is, infinite"
William Blake
JPZ
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padisha_emperor a écrit :


ET bien sûr, le public, auquel il semble souvent manquezr des neurones parce que chaque année y'a nu boulet qui fait tomber un coureur en agitant les bras devant lui et en se retirant trop lentement (cf Guerini de la T-Mobile, qui était tombé à cause d'un gars ayant pris une photo...heureusement, il a quand même pu gagner l'étape...)


Coluche résumait ainsi "le Tour de France [...] c'est rien qu'une bande d'alcoolos qui regardent passer une bande de drogués".
(si mes souvenirs sont bons).
matt-
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    le
y aurait pas moyen de rajouter une petite chronique rapide sur les descentes ?

ça va assez bien dans les catégories chutes et ennuis gastriques (chaud et froid pour les incultes)
CŸD
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  • #27
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    CŸD
    le
C'est chiant à mourir, c'est la malédiction estivale qui me poursuit depuis des années.
padisha_emperor
CYD a écrit :
C'est chiant à mourir, c'est la malédiction estivale qui me poursuit depuis des années.


moi la malédiction estivale c'tes la rediffusion pour la 357e fois des "Gendarmes" et de la "7e Cie".......une fois ça va, trop, bonjour les dégats...

Le tour c'est trop bien !


ajourd'hui les Alpes, spectacle en perspective ! (et come le dit si bien lemg, on est mieux dans son fauteuil )
fan des Pixies, de Muse, de Rammstein et Tool.
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Nemo censetur ignorare legem

Jus est ars boni et aequi
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M 1 Droit public ... Mais comment peut-on vivre sans Droit Administratif ??? :)
kalakuta
Je ne regarde que les etapes des Alpes (et encore pas en entier). C'est vrai qu'aujourd'hui ils vont souffrir!! (monté sur Courchevel !!)

matt- a écrit :
y aurait pas moyen de rajouter une petite chronique rapide sur les descentes ?

les descentes des cols sont très impressionantes (pour y avoir vu en vrai), par moment, les voitures ont du mal à les suivres...
razorblade
vive le Tour !
mon attraction du mois de juillet, le soir quand je rentre de bosser (et oui pas de vacances encore )
étant cycliste moi même, je comprends l'effort surhumain qu'ils font, et je les admire, le premier comme le dernier, car déjà, finir le tour c pas mal !

les Alpes c'est cette AM !
à mon avis Armstrong va faire sa traditionnelle attaque de 1ère grosse étape de montagne (les Vosges c'était un apéro)
j'espere que la T Mobile et les CSC vont se réveiller, je suis pour personne en particulier (même si mon préféré est Jan, Ulrich Power ! en + il a le même nom que Lars ), je suis pour le spectacle !
ct pas trop le cas l'an passé, après un Tour 2003 qui restera dans les mémoires ...

Kalakuta a écrit :
Je ne regarde que les etapes des Alpes (et encore pas en entier). C'est vrai qu'aujourd'hui ils vont souffrir!! (monté sur Courchevel !!)

les étapes Pyrénéennes sont très belles aussi, et encore plus décisives cette année car en 3ème semaine, et les descentes sont souvent plus dangereuses !

En ce moment sur backstage...