Le Con du Jour

Ben suivant l'adage, ce qui ce conçoit bien, s'énonce clairement, donc si tu as un programme qui tient debout, tu peux le présenter au peuple et te faire élire avec. Et je suis pas sur que le fait que Sego soit une femme la desserve vraiment. Elle a quand meme cherché a se faire élire juste sur l'alternance du pouvoir et sur son joli sourire (faut pas rêver à ce niveau des politique, les dents sont aussi longues dans les deux sexes). Pour moi c'est un manque de compétence de pas être capable de présenter un projet pour le pays.
Après elle aurait fait comme l'autre, rien de ce qu'elle avait promis, c'est pas la question.
Il reste qu'à choisir entre Royal et Bayrou, j'aurai surement choisi Royal, Bayrou est surement plus compétent (y compris que Sarko d'ailleurs), mais je veux pas d'un président avec la charisme d'une moule de bouchot, et qui se vend au politique le plus offrant.

Il reste qu'à choisir entre Royal et Bayrou, j'aurai surement choisi Royal, Bayrou est surement plus compétent (y compris que Sarko d'ailleurs), mais je veux pas d'un président avec la charisme d'une moule de bouchot, et qui se vend au politique le plus offrant.

Ben suivant l'adage, ce qui ce conçoit bien, s'énonce clairement, donc si tu as un programme qui tient debout, tu peux le présenter au peuple

Il reste qu'à choisir entre Royal et Bayrou, j'aurai surement choisi Royal, Bayrou est surement plus compétent (y compris que Sarko d'ailleurs), mais je veux pas d'un président avec la charisme d'une moule de bouchot, et qui se vend au politique le plus offrant.

( privatisation de la santé et des retraites).

dénoncer le jeux de comptabilité qui a fait naitre le problème en question...

Le pire c'est qu'on te tient ce genre de raisonnement (hum) sans sourciller, comme si c'était cohérent et naturel. Je préfèrerais un bon vieux principe auquel on ne déroge pas, dugenre "jamais de ma vie je ne voterai à gauche, par principe", plutôt que ce genre de justifications merdeuses à base de fantasme et d'inculture.

Il a prévenu que TOUT était possible...

Le Lutin "et c'est bien le problème..."

Je vois pas bien l'intérêt de ces débats de café du commerce de toutes façons...

Tu dis que Sarko fait le con (du factuel)? Pas de pb, Royal aurait pas fait mieux (sorti d'une boule de cristal certainement).
Mais quand même, sarko n'a rien géré correctement... (du factuel). Ah mais mon bon monsieur, la gauche ne s'est pas manifestée (et la marmotte...).

Sarko a vraiment fait le con... Ok, il faudra voter différemment la prochaine fois. Mais pour qui???? Quel dilemme!!!! D'un côté un gars qui a promis monts et merveilles, qui n'a pas fait grand chose, dont on avoue qu'il a merdé (du factuel). De l'autre des personnes qui si elles avaient été au pouvoir n'auraient pas fait mieux (du procès d'intention, de la boule de cristal). Mon dieu que le choix est difficile...

Le pire c'est qu'on te tient ce genre de raisonnement (hum) sans sourciller, comme si c'était cohérent et naturel. Je préfèrerais un bon vieux principe auquel on ne déroge pas, dugenre "jamais de ma vie je ne voterai à gauche, par principe", plutôt que ce genre de justifications merdeuses à base de fantasme et d'inculture.

Les cotisations patronales-sensés financer les retraites- sont gelées ou quasi depuis 20 ans, certaines grosses entreprises en sont exonérés, d'autres fraudent= gros déficit.

"dans la poche des patrons!!!"

oui c'est vrai, la France est un peu timide niveau cotisations sociales....

Dans la théorie économique, la séparation entre cotisations sociales employeurs et cotisations sociales salariés n'est pas pertinente à moyen terme : les cotisations sociales reposent in fine sur les salaires, du fait d'une baisse des salaires ou d'une moindre hausse[2] [3]. Ce qui compte, ce sont les salaires nets (perçus par les salariés) et les salaires super-bruts (payés par les employeurs), la répartition des prélèvements entre les deux n'a pas d'influence (voir théorie de l'incidence fiscale).

Le niveau des cotisations sociales varie en fonction de l’emprise des administrations publiques sur l’économie[réf. nécessaire], de l'efficacité des systèmes de sécurité sociale et des gestionnaires (en France, les partenaires sociaux, l'État en Grande-Bretagne[4]). L'État peut également prendre en charge une partie des dépenses. Par exemple au Danemark les prestations sont en grande partie payées par l'impôt[5], ce qui permet de ne pas faire reposer le financement du système de sécurité sociale sur les seuls revenus du travail.