PP a écrit :
Je vois pas bien le rapport avec le discours sur le genre, et sa meilleure acceptation, et je ne vois pas bien non plus en quoi le phénomène médiatique actuel participerait d'une meilleure reconnaissance des différences.
Les "gros porcs" sont avant tout des hommes avec des pulsions mal ou non contrôlées, et pour les cas médiatiques évoqués, ce contrôle ou cette absence de contrôle est proportionnelle au pouvoir dont ils disposent, et dont il s'autorisent à abuser ; à la base donc une pulsion : tous les humains en ont, mais tous ne les expriment pas ; puis un positionnement, dont ils tirent profit en se croyant à l'abri de sanctions, de répercussions.
La peur des conséquences de ses actes est certes un frein moins noble que la raison, ou l'empathie, mais nettement plus efficace.
Pas sûr que ce soit vrai pour tout le monde (mais je te concède que ça l'est pour certains)
Celui qui considère que la jouissance relève d'un devoir percevra au contraire une incitation dans les risques de sanction (parce que l'existence de celles ci lui confirme que sa jouissance relève d'un devoir "sacré" - au delà des lois communes)