Les faits d'actualité.

Je déporte un HS ici:



C'est un contre-pied aux chantres béats du débat démocratique et de la li-ber-té de toute sorte et cela secoue bien le bourgeois qui se trouve dénoncé dans son propre jeux. Je ne sais pas si je suis d'accord avec tout mais je partage à 100% son réalisme: le discours est issu des configurations de rapports de force et des intérêts qui déterminent la structure de la parole autorisée, valide, performative.

Backstage ne sert à rien, jamais on ne parviendra à convaincre quelqu'un. Ben, la vraie vie c'est la même chose.

Surtout que ses mots exacts si je ne m'abuse sont :

"Je pense que la politique est de l'ordre de l'antagonisme et de la lutte et j'assume totalement le fait qu'il faille reproduire un certain nombre de censures dans l'espace public, pour rétablir un espace où les opinions justes prennent le pouvoir sur les opinions injustes."

"Plus que la censure - parce que je ne suis pas favorable à l'appareil d'Etat -, je suis favorable à une forme de mépris que la gauche doit avoir pour les opinions de droite"

Il y a là une honnêteté (à moins qu'il en joue, je ne crois pas) qui me plait plus que l'indignation courante. Après tout, il y a déjà une forme de censure à partir du moment où la grande majorité de la presse est sous contrôle d'un groupe de personnes. De la soft-censure ?

C'est assez classique d'un certain courant sociologique, qui part du principe que le processus de construction sociale est essentiellement coercitif, et que les normes sociales sont imposées. ça nous renvoi à la cancel culture ou au fait que pour certains liberté d'expression ne veut pas dire absence de conséquences, ce qui justifie une censure ciblée politiquement.

Bon ça énerve le bourgeois et le neuneu de droite donc c'est marrant, mais en mode opératoire c'est pas très productif. C'est même plutôt l'inverse, en excluant toutes propositions ou avancées qui ne reposent pas sur la transformation sociale ou de conscience, ça finit plus par plus exacerber les problèmes que les résoudre (on le voit avec les féministes, les luttes antiracistes, anti-discriminations actuelles etc...) et ça a fait bouger le curseur des luttes de gauche de l'exploration vers l'oppression, ce qui arrange bien les exploiteurs.

Il ne croit pas dans les transformations des consciences comme ça, en l'air. Il propose justement d'entrer dans les appareils de pouvoir pour transformer directement le social. Les avancées peuvent se faire à partir de projets concrets d'action. Le débat ou la revendication n'étant que des leviers d'atténuation ou d'exacerbation de la morsure du réel. Mais ne le change pas.

Moi je souhaiterais revenir sur une notion qui me paraît essentielle : C'est la question du contrat que je voudrais mettre en rapport avec cette autre question qui est celle du développement. Pourquoi penser aujourd'hui les logiques de développement dans l’esprit d’un contrat ? Hé bien pour une raison au fond assez simple qui consiste à dire, dans l’espace désormais incontournable du “local”, qu’il nous faut inventer des partenariats qui soient en rapport avec les acteurs du partenariat et qui soient les garants de la démocratie c'est-à-dire qui assoient, qui installent cette démocratie sur un véritable diagnostic partagé dont relève le défi de la décentralisation, en prenant en compte la question du lien social. Précisément la question du lien social à l'heure de la mondialisation, mondialisation qui, excusez-moi de vous le dire, est bien mal en point. Pourquoi ? Hé bien parce que la question du lien social aujourd’hui c’est dans la proximité qu’il faut la relever. Et dans la proximité la question du lien social et de la mondialisation c’est tout simplement une question inter-culturelle. Alors moi je pense que ce beau vocable de citoyenneté aujourd'hui il faut l'appliquer aux habitant eux-mêmes et AVEC les habitants mettre en place des logiques de participation et au fond, pour un homme politique ou une population toute entière, quel plus beau quel plus magnifique projet.

On dirait du Franck Lepage (du pipotron à la Franck)

Ben, c’est exactement ça.

Rhône : une église victime d'un «commando criminel»
https://www.lefigaro.fr/actual(...)01005

Actualité qui passerait presque inaperçue, noyée dans la masse et discrètement reléguée au second plan.
On imagine l'affaire d'État si ça avait été un lieu de culte d'une des autres religions du Livre...

"Ce n'est que le début, Monsieur Vincent..."

Autrefois éventuellement on crachait par terre au passage d'un curé en soutane, ou on publiait des articles anticléricaux.
Il y a quelques années, on égorgeait un prêtre en pleine messe.
Aujourd'hui on brûle une église au moins une fois par mois.
Demain ? Bombes et mitraillages dans les lieux de cultes, comme en Afrique centrale ou au Moyen Orient ?
À la vitesse où ça escalade, on y va tout droit.

Pendant ce temps là en Iran.



Pour la vie, tapez 1. Pour la mort, tapez 2.

https://www.nouvelobs.com/l-hu(...).html

La normalité des petites incivilités...

https://fr.theepochtimes.com/l(...).html

Merci skynet d'avoir recentrer le "débat"

Dans le même genre : https://www.lyonmag.com/articl(...)matin

Non mais c'est Lyon, c'est cool. Et ce n'est que ce qui passe dans les médias.
Me promenant à pieds régulièrement à Villeurbanne et Lyon centre la nuit je me suis fait agressé seulement 5 fois sur 10 verbalement et 1 fois sur 10 physiquement ces derniers temps (bien qu'étant physiquement plutôt un repoussoir à agressions).
C'est cool cette ambiance Far West, tu ne sais jamais si tu vas rentrer en bon état chez toi.
Et encore... Y avait pas de nana habillée un peu sexy avec moi...

(Pétard, heureusement que je me barre bientôt. Vivent les écolos hein, bande de trous du'c... )

Ils n'ont d'ecolo que le nom...

J'ai bon nombre d'amies qui ne sortent plus à Lyon le soir. Marre de se faire emmerder en permanence par les "incivilités"...

Ah oui, Doucet est maire depuis Juillet 2020, c'est certainement sa faute.