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Les faits d'actualité.

Rappel du dernier message de la page précédente :
Moxama
Masha a écrit :

Tout à fait.

Je ne pense pas, si c'est bien dosé.
Et les tromperies, ça finit pas forcément bien non plus

Mais un couple qui passe un accord qui convient aux deux, s'efforce de le respecter, et où chacun fout la paix à l'autre avec son insécurité, ça a de bonnes chances de pas finir trop mal... Bon, faut de la maturité affective...

Je suis à deux doigts de prendre acte que tu t'efforces de jouer à celui qui ne comprend pas le point de vue de tes interlocuteurs.
Biosmog
Moxama a écrit :

Je suis à deux doigts de prendre acte que tu t'efforces de jouer à celui qui ne comprend pas le point de vue de tes interlocuteurs.


Je crois qu'il est surtout très vieux jeu (ça me rappelle quelqu'un d'autre, d'ailleurs).

Je pense que vous en avez déjà parlé longuement (pas eu le courage de lire trois pages). La jalousie c'est clairement pour moi davantage un type de relation qui passe par la possession, qu'un type de personnalité. Dans cette perspective que la relation c'est la possession, on n'arrive donc pas à concevoir une exclusivité autrement que possessive. Et cela crée un besoin de possession réciproque. Mais il existe d'autres types de relation où l'exclusivité c'est simplement prendre conscience que ce moment passé avec l'autre est exclusif.

Je n'ai jamais vécu de relations où il y avait de la jalousie. Je crois vraiment que c'est un mode relationnel, qui se forme pour une raison que j'ignore, et qui caractérise la relation davantage que l'un ou l'autre membre du couple.
Vous battez pas, je vous aime tous
cliclac
Pas vécu non plus de relation avec de la jalousie, si ça ne se passe pas comme on le voudrait et qu’on ne le supporte pas il faut trancher et passer à autre chose même si c’est douloureux. On peut aussi réfléchir à ce qui n’a pas marché et comment on en arrive là, mais la jalousie c’est un peu maladif
Biosmog
cliclac a écrit :
Pas vécu non plus de relation avec de la jalousie, si ça ne se passe pas comme on le voudrait et qu’on ne le supporte pas il faut trancher et passer à autre chose même si c’est douloureux. On peut aussi réfléchir à ce qui n’a pas marché et comment on en arrive là, mais la jalousie c’est un peu maladif


Oui, ne pas être jaloux n'empèche pas d'être très malheureux quand on est quitté ou d'être fâché quand l'autre ne nous accorde pas assez, selon notre point de vue. Mais j'ai l'impression que la jalousie n'a jamais vraiment existé dans mes couples. Je peux être envieux vis-à-vis de choses matérielles ou d'un mode de vie, même envieux d'un couple qui me paraît épanoui. L'envie, je crois connaître ce sentiment négatif. Mais jaloux, je ne vois pas ce que c'est.
Vous battez pas, je vous aime tous
skynet
  • skynet
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  • MP
J’ai un ami originaire du Cameroun, qui me racontait que là bas, on voit de belles prises de bec voire d’annulation du mariage au moment de cocher la case: « monogame » ou « polygame ».
Bonjour les trolls
Mechanix
Cette discussion semble en tout cas prouver qu'il y a assez de monde sur le forum pour créer un Topic Officiel du Cuckolding.
Moxama
Mechanix a écrit :
Cette discussion semble en tout cas prouver qu'il y a assez de monde sur le forum pour créer un Topic Officiel du Cuckolding.

Tiens, il nous manquait un bon petit troll viriliste pour venir nous suinter sa testostérone sous le pif.
Redstein
skynet a écrit :
J’ai un ami originaire du Cameroun, qui me racontait que là bas, on voit de belles prises de bec voire d’annulation du mariage au moment de cocher la case: « monogame » ou « polygame ».


Pas de case « Non-monogamie éthique » ?
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Masha
Moxama a écrit :
Mais un couple qui passe un accord qui convient aux deux, s'efforce de le respecter, et où chacun fout la paix à l'autre avec son insécurité, ça a de bonnes chances de pas finir trop mal... Bon, faut de la maturité affective...

Je suis à deux doigts de prendre acte que tu t'efforces de jouer à celui qui ne comprend pas le point de vue de tes interlocuteurs.

Il faut pas seulement penser à comment ça risque de se terminer, mais aussi à comment ça se déroule

Traite-moi de con pendant qu'on y est


Ça fait beaucoup de HS, il faudrait éventuellement continuer sur le topic des couples ou le topic égalité homs-fams
"Masha ... Comment fais-tu pour, si régulièrement, trouver de telles horreurs : c'est inécoutable !!!!"

Postez des recettes, bordayl de merde.
Moxama
Masha a écrit :

Il faut pas seulement penser à comment ça risque de se terminer, mais aussi à comment ça se déroule

C'est bien ce que je veux dire : un couple qui est pourri par la jalousie ne se déroule pas bien.
Citation:

Traite-moi de con pendant qu'on y est

Tu illustres exactement mon propos : je dis quelque chose et tu fais comme si tu avais compris autre chose. Ce ne sont pas tes capacités intellectuelles qui sont mises en cause ici, c'est ta bonne foi dans l'échange.
Masha
J'ai pas dit "pourri", j'ai dit "si c'est bien dosé".

Un peu de bonne foi, pliz.


"Masha ... Comment fais-tu pour, si régulièrement, trouver de telles horreurs : c'est inécoutable !!!!"

Postez des recettes, bordayl de merde.
Moxama
Masha a écrit :
J'ai pas dit "pourri", j'ai dit "si c'est bien dosé".

Un peu de bonne foi, pliz.

Ca ne veut rien dire "faire chier l'autre avec son insécurité, mais de façon bien dosée".
Ça va jusqu'où "bien dosé " ? On surveille ses horaires de sortie ? Ses fréquentations ? Sa manière de s'habiller? Ses échanges par téléphone ?
De toute façon, c'est intrusif et une entrave à la liberté.

Je vais le faire dans l'autre sens : je suis un homme libre, je fais ce que je veux, je n'ai pas de compte à rendre. Mais je suis un homme de parole : si on s'est mis d'accord sur la fidélité, je ne dérogerai pas à la règle qu'on s'est fixée. Ma parole est en chêne et ceux qui me fréquentent le savent.
Si je prouve chaque jour la solidité de ma parole et de mon engagement, personne n'a besoin de me fliquer par jalousie.
Si ma compagne a des doutes (ce qui n'a jamais été le cas en 24 ans), je n'ai pas à accepter qu'elle fasse pression sur moi.
Et j'adopte l'attitude parfaitement réciproque.

Si tu préfères penser qu'imaginer que l'autre pourrait s'envoyer en l'air dès que tu as le dos tourné est une preuve d'amour (voire de virilité pour Mechanix), libre à toi.
Cette conversation tourne en rond, en ce qui me concerne.
Biosmog
J'arrive à concevoir une sorte d'équilibre dans la jalousie réciproque. D'ailleurs je pense que beaucoup de couples fonctionnent comme ça. Alors que mon couple s'engueule sur je ne sais quelle paille dans l'oeil du partenaire, le couple "jaloux" s'accuse mutuellement d'être intéressé ailleurs. C'est certainement un équilibre qui peut dégénérer, mais pas nécessairement plus que de considérer que l'autres est indifférent à soi, ou je ne sais quel reproche sans jalousie. Par contre, c'est davantage l'épanouissement social de chacun qui doit différer. J'ai des copines que je vois parfois sans ma compagne. Elle a des copains. C'est agréable de laisser la porte ouverte et de voir que le couple continue d'être fidèle à sa constitution et complice (depuis 17 ans)
Vous battez pas, je vous aime tous
Biosmog
Je pense que certaines questions que l'on se pose sur le couple et la forme de lien peuvent se retrouver dans la typologie de Jean Kellerhals:
(j'ai piqué la description sur un site de psycho de gare, mais le fond est très sérieux)

Citation:
Le couple associatif (30%)
Ce type de couple est celui qu’on retrouve le plus fréquemment. Il est très actuel. Chacun mène ses projets et gère ses propres activités. Le but est d’arriver à se développer individuellement à tous les niveaux, pour que chacun s’épanouisse personnellement. Les partenaires ne font pas tout ensemble et lorsque c’est le cas, des négociations sont possibles. La communication est un élément central dans ce couple. Les points de vues peuvent diverger mais ce n’est pas un problème. L’étude a montré qu’une certaine “improvisation” du quotidien était observée.

Un modèle de couple dans l’air du temps qui peut avoir des défauts. Ce besoin toujours plus grand d’indépendance peut influencer négativement la complicité et le plaisir amoureux du couple. L’individualité, très présente, peut parfois être difficilement conciliable avec la notion de couple.

Le couple compagnon (25%)
Dans ce deuxième cas, les individus se ressemblent et vivent une relation passionnelle. Les secrets? Très peu pour eux, les partenaires se connaissent par cœur. Ils partagent énormément d’activités, que ce soit à deux ou avec leur cercle d’amis, qui sont généralement commun. Le partage est également une grande force pour ces couples. Les tâches du quotidien (ménagères, éducatives…) se font à deux et sont égalitaires. Selon l’étude, le “couple compagnon” est celui pour lequel la vie à deux semble rendre le plus heureux, c’est également celui où les séparations seraient les moins fréquentes.

Le piège à éviter dans ce fonctionnement fusionnel? Tout consacrer au couple et s’oublier. Le fait de tout faire à deux, peut aussi amener un déséquilibre au sein du couple, si l’un des partenaires s’autorisent plus de moments individuels.

Le couple parallèle (17%)
Le “couple parallèle” pourrait aussi être nommé “couple traditionnel”. On le retrouvait principalement jusque dans le courant des années 90. L’idée est que tout est bien régulé, chacun effectue ses propres tâches et n’empiète jamais sur les platebandes de l’autre. Ce couple est très peu actuel, l’épouse gère le foyer, les tâches ménagères et l’éducation, alors que le mari assure la situation financière de la famille et est en charge des tâches de bricolage. Bonjour les clichés. Très peu d’activités à l’extérieur et à deux sont entreprises par ces couples. Le plus important c’est que la famille soit, de manière très large, en sécurité.

Nous aurions pu le déduire, mais l’étude menée par Jean Kellerhals révèle que ce sont les couples les moins épanouis.

Le couple bastion (16%)
Ce style se rapproche du “couple compagnon” mais à un cran supérieur. Les partenaires ne se lâchent pas d’une semelle et font tout ensemble: sport, course, sortie… Tout est scrupuleusement organisé, très peu d’imprévus sont possibles. Le but? Faire en sorte qu’aucun désaccord ne survienne. Le “couple bastion” a un petit côté conservateur. L’homme s’occupe principalement de tout ce qui touche à l’environnement extérieur comme les finances de la famille. La femme prend en main la famille et les tâches domestiques. Toutes les décisions sont prises ensemble.

Le “couple bastion” est vite sujet à la routine. La surprise est un mot que ces partenaires ne connaissent pas ou très peu.

Le couple cocon (15%)
Le mot d’ordre de ce couple: le bien-être. Là encore, c’est un couple qui vit très fort “à deux”. Ils aiment être ensemble, en famille et n’aiment pas qu’on vienne s’immiscer dans leur foyer. Les deux partenaires se partagent les tâches de manière non-régulière, c’est quand l’un est disponible. Le “couple cocon” est très généreux et bienveillant envers sa famille. Ici encore, le risque est que ce couple s’enferme sur lui même et ne s’enrichisse pas du monde qui l’entoure. Les partenaires peuvent rapidement tomber dans une dépendance l’un à l’autre et sont perdus sans leur alter ego.
Vous battez pas, je vous aime tous

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