Nikk Dee a écrit :
Alice se foutant des black-metalleux ??!!
Rah faut que je voie ça !!! Non parce qu'en plus, s'il y en a un qui est bien placé pour parler de provoc', c'est lui... (et c'est un peu le papa de "l'attitude qui fait peur aux vieux"
DeViL259 a écrit :
Ouais ya pa Pantera dans le film!!
c'est vraiment dommage, c'est un grand groupe coment raconté le heavy metal sans meme Dimebag et sa bande ^^ ... mais bon come je lai di plus haut 1h40 de film ne suffit pa pour presenté le Heavy
C'est vrai que Pantera est un excellent groupe, mais il faut quand même reconnaître qu'ils ne marquent pas réellement une rupture, un tournant dans l'histoire du genre, à l'inverse d'Alice, du Sab, de Metalloche, de Death, ou même (et je sais que ça va faire mal au cul des fan de Dime, mais ça n'en reste pas moins vrai) de Mötley Crüe et Twisted Sister: ils ont influencé pas mal de gens, mais ils n'ont pas provoqué à proprement parler l'émergence d'un sous-genre du metal, à l'inverse des groupes sus-cités.
Donc s'il faut faire des choix, je comprends que le groupe ait pû ne pas être cité, indépendamment de ses qualités artistiques.
ouarf, j'ai pas eu la main trop lourde sur les précautions oratoires ?
Ben je suis pas d'accord, concernant la rupture. C'est vrai qu'elle est moins marquée que celle qu'opère Metallica, qui est énorme, mais quand même... Tu écoutes Slayer puis Pantera, je suis désolé, les premiers prennent 10 ans. Pareil si tu compares Metallica à Pantera. Des fois quand j'entends Lars sur "and justice for all", je me dis que ça a vieilli, mais à un point... par contre quand je me mets sandblasted skin...
Sans parler de Hammet...
On peut aussi prendre l'exemple de Korn, groupe que je n'aime pas tellement. Ils n'ont pas fait une énorme rupture, mais quand même. ça sonne ni comme Metallica, ni comme Pantera.
d'ailleurs si on ne parle que des groupes qui ont fait des énormes ruptures, on peut pas faire 1h40...
Donc il y a eu un parti pris...
"Si mon père m'avait offert la stimulation orale homosexuelle à laquelle j'avais droit à six ans, je n'aurais jamais pris de LSD sans sa permission, comme la plupart des gens."
Herbert Mullin