On peut rire de tout... avec personne ?

Rappel du dernier message de la page précédente :
Mighty Moon
Excellent méme!!

J'en ai mal au bide!!!
damdahu
lokeil a écrit :
Elie a écrit :
Oui enfin tes blagues sont à chier... L'humour noir, ça lance un regard critique... sur la blague elle même ... toi il y en a pas.




tres drole, je la ressortirai!

l'humour noir est pas critique..il se joue des sujets graves comme la mort par exemple mais ya rien de revendicatif...c'est une question de gout c'est tout
Plus de 100 covers en tous genres sur ma chaîne youtube! http://www.youtube.com/user/damdahu
3ème album de mon groupe Cool Cavemen :https://coolcavemen.bandcamp.com/
Spiff51
L'humour noir c'est rire de chose qui ne prête habituellement pas a rire
en gros


bref c'est drôle

Les blagues sur la shoah bien sur qu'il y en a, y'a des blagues sur tout, les éthiopiens qui meurt de faime, les tour jumelles qui s'effondrent, les lépreux etc. Bref de l'humour noir...
mrfloyd
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Il y a des circonstances dans lesquelles il vaut mieux ne pas faire d'humour (ces jours-ci les gags sur les juifs, c'est pas vraiment malin)

des sujets qui ne font pas rire tout le monde, la religion arrivant en tête

et en règle général un humour fin aura toujours plus de chance de faire rire, les gags lourds ça ne marche pas toujours, et ça peut même très mal passer!


(.....enfin ce n'est que mon avis)
see you at...
www.obturation.com
Spiff51
mrfloyd a écrit :
Il y a des circonstances dans lesquelles il vaut mieux ne pas faire d'humour (ces jours-ci les gags sur les juifs, c'est pas vraiment malin)

des sujets qui ne font pas rire tout le monde, la religion arrivant en tête

et en règle général un humour fin aura toujours plus de chance de faire rire, les gags lourds ça ne marche pas toujours, et ça peut même très mal passer!


(.....enfin ce n'est que mon avis)

Un bon humour noir c'est un humour fin, sinon c'est juste une connerie lourde
Lanfeust
J'en viendrai plutot a penser que ça depend qui fait l'humour noir.
Je pense que faire de l'humour noir (a la difference du grossier) il faut enormement de talent pour choisir les mots.
Je ne sais pas si vous connaissez le scketch de Guillon a propos de l'humour noir. Pour moi s'en est une tres bonne illustration.

KeViN style tu te marre en disant "rohh c'est degeulasse"
SILK
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    SILK
    le
avant je faisais gaffe maintenant je m'en fous je fasi une vanne elle plait pas tant pis… (bon il est important de preciser que les gens a qui je tient ont l'habitude de mon humour donc je m'inquiete pas )

I_Am_Legion a écrit :
(surtout les blagues sur les gens qu'il est maintenant inconvenant de casser: noirs, handicapés, morts dans le tsunami, juifs, arabes...)
imagine un juif noir handicape dans le tsunami…
mes ventes : accordeur, micros, vide grenier

meilleur guitariste droitier de serious joke

myspace

And I'm going down in a blaze of glory
CŸD
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  • #37
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    CŸD
    le
" Il vaut mieux rire d'Auschwitz avec un juif que de jouer au Scrabble avec Klaus Barbie ", Desproges.

Pour moi ça résume tout ; l'humour permet de désacraliser la bêtise, d'oser aborder des sujets tabous, et mieux vaut ça que de jouer le jeu du politiquement correct ...
foxracing
I_Am_Legion a écrit :
(surtout les blagues sur les gens qu'il est maintenant inconvenant de casser: noirs, handicapés, morts dans le tsunami, juifs, arabes...)


enfin faire de l'humour sur le tsunami alors que c'est si proche faut oser quand même, autant sur les juifs même en cette période, mais le tsunami, tain c'est hard c'est tout frais puis ils en sont pas encore sorti...
mes influences : Rush, Van Halen, Cacophony, Steve Vai, Jason Becker, Marty Friedman, Cyril Achard, Steve Morse, Yngwie malmsteen, Vinnie Moore, Double Heart Project, Paul Gilbert et Diamond Dave alias DAVID LEE ROTH
mrfloyd
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CYD a écrit :
" Il vaut mieux rire d'Auschwitz avec un juif que de jouer au Scrabble avec Klaus Barbie ", Desproges.

Pour moi ça résume tout ; l'humour permet de désacraliser la bêtise, d'oser aborder des sujets tabous, et mieux vaut ça que de jouer le jeu du politiquement correct ...


Reste que pour moi l'expression ''rire d'Auschwitz'' est inconcevable...
see you at...
www.obturation.com
Redstein
mrfloyd a écrit :
CYD a écrit :
" Il vaut mieux rire d'Auschwitz avec un juif que de jouer au Scrabble avec Klaus Barbie ", Desproges.

Pour moi ça résume tout ; l'humour permet de désacraliser la bêtise, d'oser aborder des sujets tabous, et mieux vaut ça que de jouer le jeu du politiquement correct ...


Reste que pour moi l'expression ''rire d'Auschwitz'' est inconcevable...


Le rire est humain et libérateur s'il comprend une part d'ironie envers le rieur même (parce qu'il n'y a rien de plus risible que la condition humaine).

Si le rire n'est QUE moquerie envers AUTRUI - alors il porte en germe toutes les atrocités de l'Histoire.
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Redstein
I_Am_Legion a écrit :
(surtout les blagues sur les gens qu'il est maintenant inconvenant de casser: noirs, handicapés, morts dans le tsunami, juifs, arabes...)


...demande-toi à quoi ça peut bien servir de "casser" ainsi les gens...

(et vois mon post précédent).
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Voilà (ci-dessous) ce que Desproges a dit (c'est un peu long mais tellement intéressant - et drôle - à lire) au sujet des questions "peut-on rire de tout" et "peut-on rire avec tout le monde".
Il a dit ça lors de la venue de Jean-Marie Le Pen (leader de l'extrème droite française) dans l'émission Le tribunal des flagrants délires (Emission de Claude Villers, diffusée sur France Inter fin 70's, début 80's), le 28/11/1982.
A noter que Desproges était contre l'invitation de Le Pen dans cette émission.
Pour préciser un peu le contexte, l'idée de l'émission (pour celles et ceux qui ne connaissent pas) était la suivante : chaque jour, une personne "connue" (artiste, journaliste, écrivain, homme politique) était invitée dans l'émission (émission comique, le but était de rire) pour être jugé par le tribunal des flagrants délires composé (lors de la venue de Le Pen, parce que Desproges, par exemple, n'a pas toujours été le procureur) d'un juge : Claude Viller, d'un avocat de la défense : Luis régo, d'un procureur : Pierre Desproges et d'un jury composé de cinq (je crois ?) personnes du public et de l'inimitable brigadier-pianiste Georges Rabol.
C'est lors de son réquisitoire contre Jean-Marie Le Pen que Pierre Desproges donna sa réponse aux deux questions sus-mentionnées :



Françaises, Français,
Belges, Belges,
Extrémistes, Extrémistes,
Mon président français de souche,
Mon émigré préféré,
Mesdames et Messieurs les jurés,
Mademoiselle Le Pen, mademoiselle Le Pen,
Mademoiselle Le Pen, madame Le Pen,
Public chéri, mon amour.

Comme j'ai eu l'occasion de le démontrer, ici même, récemment, avec un brio qui m'étonne moi-même malgré la haute estime en laquelle je me tiens depuis que je sais qu'il coule en mes veines plus de 90 % de sang aryen et, moins de trois grammes de cholestérol, les débats auxquels vous assistez ici, quotidiennement, mesdames et messieurs, ne sont pas ceux d'un vrai tribunal. En réalité, je le répète, ceci est une émission de radio. Qui pis est, une émission de radio dite comique. Ou au moins qui tente de l'être.

Alors le rire, parlons-en et parlons-en aujourd'hui, alors que notre invité est Jean-Marie Le Pen. Car la présence de Monsieur Le Pen en ces lieux voués le plus souvent à la gaudriole para-judiciaire pose problème. Les questions qui me hantent, avec un H comme dans Halimi sont celles-ci :

Premièrement, peut-on rire de tout ?

Deuxièmement, peut-on rire avec tout le monde ?

A la première question, je répondrai oui sans hésiter, et je répondrai même oui, sans les avoir consultés, pour mes coreligionnaires en subversions radiophoniques, Luis Rego et Claude Villers.

S'il est vrai que l'humour est la politesse du désespoir, s'il est vrai que le rire, sacrilège blasphématoire que les bigots de toutes les chapelles taxent de vulgarité et de mauvais goût, s'il est vrai que ce rire-là peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors, oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. De la guerre, de la misère et de la mort. Au reste, est-ce qu'elle se gêne, elle, la mort, pour se rire de nous ? Est-ce qu'elle ne pratique pas l'humour noir, elle, la mort ? Regardons s'agiter ces malheureux dans les usines, regardons gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à cent à l'heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d'un coup, ça s'arrête, sans plus de raison que ça n'avait commencé et, le militant de base, le pompeux PDG, la princesse d'opérette, l'enfant qui jouait à la marelle dans les caniveaux de Beyrouth, toi aussi à qui je pense et qui a cru en Dieu jusqu'au bout de ton cancer, tous, nous sommes fauchés, un jour, par le croche-pied rigolard de la mort imbécile et les droits de l'homme s'effacent devant les droits de l'asticot. Alors, qu'elle autre échappatoire que le rire, sinon le suicide ? Poil aux rides ?

Donc, on peut rire de tout, y compris de valeurs sacrées, comme par exemple, le grand amour que vit actuellement le petit roi inamovible de la défense passive, ici présent. Elle s'appelle Marika, c'est la seule aryenne qu monde qui peut le supporter, ce qu'on comprendra aisément quand on saura qu'il s'agit de la poupée gonflable et peau de morue suédoise que sa tata Rodriguez lui a envoyé de Lisbonne en paquet fado.

Deuxième question : peut-on rire avec tout le monde ?

C'est dur… Personnellement, il m'arrive de renâcler à l'idée d'inciter mes zygomatiques à la tétanisation crispée. C'est quelquefois au-dessus de mes forces, dans certains environnements humains : la compagnie d'un stalinien pratiquant me met rarement en joie. Près d'un terroriste hystérique, je pouffe à peine et, la présence, à mes côtés, d'un militant d'extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, mesdames et messieurs les jurés, de vous imposer quotidiennement la présence inopportune au-dessus de la robe austère de la justice sous laquelle je ne vous raconte pas. Attention, ne vous méprenez pas sur mes propos, mesdames et messieurs les jurés : je n'ai rien contre les racistes, c'est le contraire, comme dirait mon ami le brigadier Georges Rabol qui, je le précise à l'intention des auditeurs qui n'auraient pas la chance d'avoir la couleur, est presque aussi nègre que pianiste. Dans Une journée particulière, le film d'Ettore Scola, Mastroianni, poursuivi jusque dans son sixième par les gros bras mussoliniens, s'écrie judicieusement à l'adresse du spadassin qui l'accuse d'anti-fascisme : "Vous vous méprenez, monsieur : ce n'est pas le locataire du sixième qui est anti-fasciste, c'est le fascisme qui est anti-locataire du sixième."

"Les racistes sont des gens qui se trompent de colère", disait, avec mansuétude, le présidant Senghor, qui est moins pianiste, mais plus nègre que Georges Rabol. Pour illustrer ce propos, je ne résiste pas à l'envie de vous raconter une histoire vraie, monsieur Le Pen, cela nous changera des habituelles élucubrations névropathiques inhérentes à ces regrettables réquisitoires.

Je sortais récemment d'un studio d'enregistrement, accompagné de la pulpeuse comédienne Valérie Mairesse avec qui j'aime bien travailler, non pas pour de basses raisons sexuelles, mais parce qu'elle a des nichons magnifiques.
Nous grimpons dans un taximètre sans bien nous soucier du chauffeur, un monotone quadragénaire de type romorantin, couperosé de frais, et poursuivons une conversation du plus haut intérêt culturel, tandis que le taxi nous conduit vers le Châtelet. Mais, alors que rien ne le laissait prévoir et, sans que cela ait le moindre rapport avec nos propos, qu'il n'écoutait d'ailleurs pas, cet homme s'écrie soudain :
- "Eh bien moi, les Arabes, j' peux pas les saquer."
Ignorant ce trait d'esprit sans appel, ma camarade et moi continuons notre débat. Pas longtemps. Trente secondes plus tard, ça repart :
- "Les Arabes, vous comprenez, c'est pas des gens comme nous. Moi qui vous parle, j'en ai eu comme voisins de palier pendant trois ans. Merci bien. Ah, les salauds ! Leur musique à la con, merde. Vous me croirez si vous voulez, c'est le père qu'a dépucelé la fille aînée ! Ça, c'est les Arabes."
Ce coup-ci, je craque un peu et dis :
- "Monsieur, je vous en prie, Mon père est arabe".
- "Ah Bon ? Remarquez, votre père, je dis pas. Il y en a des instruits. On voit bien que vous êtes propre et tout. D'ailleurs, je vous ai vu à Bellemare."

A l'arrière, bringuebalés entre l'ire et la joie, nous voulons encore ignorer. Las ! La pause est courte :
- "Oui, votre père je dis pas. Mais alors, les miens d'Arabes, pardon. Ils avaient des poulets vivants dans l'appartement et, ils leur arrachaient les plumes rien que pour rigoler. Et la cadette, je suis sûr que c'est lui aussi qui l'a dépucelée. Ça s'entendait. Mais votre père, je dis pas. De toute façon, les Arabes, c'est comme les Juifs. Ça s'attrape que par la mère."
Cette fois-ci, je craque vraiment :
- "Ma mère est arabe."
- "Ah bon ? La Concorde, à cette heure-là, y a pas moyen. Avance, toi, eh connard ! Mais c'est vert, merde. Retourne dans ton 77 ! Voyez-vous, monsieur"
, reprend-il, à mon endroit, à mon derrière, "voulez-vous que je vous dise ? Il n'y a pas que la race. Il y a l'éducation. C'est pour ça que votre père et votre mère, je dis pas. D'ailleurs, je le dis parce que je Le Pense, vous n'avez pas une tête d'Arabe. Ça c'est l'éducation. Remarquez, vous mettez un Arabe à l'école, hop, y joue au couteau. Et il empêche les Français de bosser. Voilà, 67, rue de la Verrerie, nous y sommes. Ça nous fait trente-deux francs."
Je lui donne ... trente-deux francs.
"Eh, eh, vous êtes pas généreux, vous alors, et le pourliche !"
- "Ah, c'est comme ça,"
me vengeais-je enfin, "je ne donne pas de pourboire aux Blancs !"
Alors, cet homme, tandis que nous nous éloignons vers notre sympathique destin, baisse sa vitre et me lance :
- "Crève donc, eh, sale bicot."
A moi, qui ai fait ma première communion à la Madeleine !

Voilà, mesdames et messieurs les jurés, voilà un homme qui se trompait de colère. Le temps qui m'est imparti, socialiste mais pas national, c'est toujours ça de pris, ainsi que la crainte de quitter mon nez rouge pour sombrer dans la démonstration politico-philosophique m'empêchent de me poser avec vous la question de savoir si ce chauffeur de taxi était de la race des bourreaux ou de la race des victimes ou les deux ou, plus simplement, de la race importune et qui partout foisonne, celle, dénoncée par Georges Brassens, des imbéciles heureux qui son nés qui sont nés quelque part :

"Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire,
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares,
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre,
Les imbécil's heureux qui sont nés quelque part."


Aussi laisserai-je, maintenant, la parole à mon ami Luis Régo, qui poussa, naguère, ici même, le plus troublant des cris d'alarme : "Les chiffres sont accablants : il y a de plus en plus d'étrangers dans le monde."



_________________


Voilà ce qu'en disait Pierre Desproges.
A sa première question, "peut-on rire de tout ?", je ne dirais pas mieux que lui, il a bien résumé ma pensée et l'a exprimé comme je ne saurais jamais le faire. Pour insister tout de même un peu, je dirais que si l'on ne peut pas rire de tout sous prétexte que l'on peut blesser du monde, alors on ne peut rire de rien. A moins, évidemment, que l'on soit capable de faire une liste exhaustive des sujets "intouchables", des sujets dont on ne peut pas rire. Mais je doute que ce soit possible.
Et puis, la moindre blague, aussi innocente soit-elle pourra blesser quelqu'un. Chacun a son expérience, ses sensibilités et une blague pas méchante a priori peut le blesser ou (inclusif) lui rappeler de sales souvenirs.

Et puis quel outil puissant que le second degré. Je n'ai pas trouvé mieux que les vannes racistes pour rire et dénoncer la connerie raciste. Maintenant, ça dépend de qui la raconte, évidemment. Une blague sur les maghrébins racontée par Le Pen ne me fera pas rire alors que racontée par mon meilleur pote, je serais probablement rigolard.


Quant à la seconde question, j'estime qu'on ne peut pas rire de tout avec tout le monde pour les raisons évoquées par Desproges (et comme je l'ai dit, rire du racisme avec un raciste n'est pas chose sympathique) et aussi pour la raison suivante : si l'on sait qu'une personne ne rira pas d'un sujet, alors n'en rions pas avec elle. J'ai connu des homosexuels qui aimait rire de l'homosexualité et d'autres qui n'aimaient pas ça. Alors j'évitais les blagues à ce sujet avec eux, pour ne pas les blesser.
Il y a des sujets avec lesquels je n'aime pas rire non plus mais je n'empêche personne de le faire, au contraire, qu'ils en rient mais sans moi.

Voili voilou, c'est un peu long mais y'a beaucoup de Desproges dans le tas, ça donne un peu d'intérêt à ce post

michaël.
ori
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  • #43
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    ori
    le
Blague typique de juif:

" Hitler va voir une voyante, et lui demande quand est ce qu'il va mourir.
Elle repond sans hésiter "un jour de fete juive".
"Quand ca exactement?" s'inquiete le Fuhrer.
"Je n'en sais rien mais c'ets sur que le jour ou vous mourrez ce sera une fete juive!"

Tout ca pour dire que cette blague est née dans les camps, et que les réfugiés se la racontaient entre eux alors qu'ils savaient pour la plupart qu'ils étaient voués au pire des destins.

L'humour est la dernière chose qu'il nous reste, et il doit rester libre et aborder tous les sujets, le vrai souci étant de ne pas être lourd.

On peut se moquer des handicapés mais dire "les trisomiques, c'est comme les crevettes, y a tout qui est bon sauf la tête" c'est lourd... Merci monsieur Timsit.

Donc moquons nous de tout et de tous mais faisons le avec finesse!
Que celui qui n'a jamais dormi avec sa guitare ou sa basse me jette la premiere pierre...
remayz
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  • #44
  • Publié par
    remayz
    le
bah timsit, il n'a pas d'humour, il a juste un délit de faciès...
ori
  • Vintage Cool utilisateur
  • #45
  • Publié par
    ori
    le
ha non "Kumac" c'etait tres sympa mais bon des fois il est lourd!
Que celui qui n'a jamais dormi avec sa guitare ou sa basse me jette la premiere pierre...

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