Pour les vieux...

Ton expérience a donc valeur universelle et ne laisse pas aux autres la possibilité de ressentir les choses différemment ?

Argh, on est passe d un mail nostalgique a un conflit.

Je n'ai pas dit que personne ne pouvait ressentir différement, j'ai juste dit que ce n'était pas la peine de faire de la nostalgie pour faire chier les jeunes, le mail en question est extrèmement irrespectueux, en gros, il nous prend pour des cons.

Et il est drôle que tu arrives à relever chez moi une propension à placer son expèrience comme universelle et pas chez Nausikaa, qui a (et c'est le post à l'origine de mon ire) dit un truc qui allait dans le sens du mail de base, mais en utilisant un poncif phénoménalement répandu et relayé par les médias !!!

Moi j'apporte un peu du contraire... Ya du bordel certes, mais pas que du bordel.

Surtout que l'on se trompe de debat, tout ce que je vois ici c'est un moyen, un peu facile certes, de reflechir sur les exces de la société contemporaine...

Quand on réfléchit à une orientation à donner, on réfléchit en terme de futur, on ne se tourne pas vers un passé de toutes façons révolu en se gargarisant que cette époque était mieux, et qu'on devrait la refaire.

C'est proprement impossible, les données sociologiques ont changées !!!

Donc, faudrait réfléchir à comment faire avancer le monde en s'inspirant pourquoi pas du passé, mais en gardant à l'esprit que tout n'était pas bon, et que tout ne pourra pas être comme avant (je pense par exemple au pétrole...).

Oui enfin là tu es toujours à coté sujet. Il n'est pas question de reflechir sur l'avenir mais sur le present.

L'interpretation que je donnerais au texte est la suivante: "Qu'est qui est si different d'hier et qui justifie les contraintes auquelles nous sommes desormais soumis?"

Tut tut, j'ai dit réfléchir pour l'avenir. Et comme je l'ai dit à la page précédente, on réfléchit sur le présent pour l'avenir en s'inspirant du passé.

Donc, nous disons la même chose.

Je ne vois pas comment cela se pourrait, je n'ai emis, et n'emetterai aucun avis sur le sujet. Ma seule pretention est de le recadrer.
Si tu veux dire que nous envisageons la question sous le meme angle, autant couper court à cette engueulade stérile, non?

Le fait est que ce sujet me depasse autant qu'il m'interesse.

Rien de plus a ajouter (du "haut" de mes 16 ans , de surcroit ).

Juste pour dire qu'au sens stricte du terme…la notion de présent est impossible à qualifier. En gros qu'est ce que el présent? La seconde à laquelle j'écris? La minute dans laquelle je respire? L'heure où je vais lire aux toilettes? Le jour où je vais constater comme chaque autre jour que le monde est pourri? L'année dont j'ai hâte qu'elle finisse tout en ayant peur qu'une nouvelle commence?
Et dans ces cas précis? NE suis je pas en train de déjà penser (ou pas d'ailleurs) à ce qui viendra après? Cette volonté d'anticiper…de planifier…on fait donc référence au futur dans ce cas précis. Le moment présent…on en parle mais on ne sait pas ce que sait et personne ne le saura jamais. Dans certaines civilisations, le présent n'existe pas. L'homme a énoncé ce troisième pôle comme médium d'existence…le passé est passé, j'existais je le sais, c'est marqué dans l'histoire. Le futur je ne sais pas ce qu'il est, je ne peux le contrôler et je ne sais pas si j'en ferais partie…je me retrouve donc dans ce conflit où je n'ai aucun moyen de savoir si j'existe, suis je matérialisé? Bref, le moment présent qui est dynamique et non figé est une notion trop artificielle pour être énoncée…et tant bien même que nous la prenons en considération, il nous est impossible physiquement d'interagir dessus…nous ne pouvons qu'anticiper et agir pour changer le cours des choses. C'est ainsi que j'en arrive à la conclusion que nous ne pouvons que réfléchir sur le futur puisque nous subissons en quelque sorte le "présent".

Nh...Est il vraiment necessaire d'elever le debat aussi haut? Si oui, la notion de contexte serait elle plus appropriée?

*edit*

non bien sûr. J'en reste donc a ma premiere question. Ce que tu dis est il toujours de rigueur quand il n'est pas question d'agir, mais comme ici, d'observer?

Il manque un truc sur un des points et pas des moindres

point X: On filait au femmes enceintes du Dystilbene, un remède miracle contre les fausses couches. Mais le médicament fut retiré des bacs sauf en France car celui ci provoquait des malformations génitales sur les bébés (filles). certaines d'entre elles aujourd'hui on un utérus en té ou ont déjà été victime d'un cancer de l'utérus.

Point y : Bien que la médecine dans les année 1960 était avertit des risques pour les transfusions sanguines sur des nouveaux nés prématurés, en France certains médecins ont continué à transfuser des prématurés.
Aujourd'hui, les cas apparaissent avec des maladies sanguines voir hépatite C, B qui s'avèrent etre des hépatites chroniques au départ, contractées par des transfusions dans les premiers jours de vie.
Aujourd'hui ils sont des milliers à avoir un compte à rebours dans le dos à cause de ce sang qui sois disant leur a sauvé la vie alors que pour sauver un prématuré, la transfusion n'est pas nécessaire.

Vous allez me dire rien à voir? Si..... il y a des gens aujourd'hui qui payent cher le fait d'etre né au mauvais endroit et au mauvais moment

On rajoute la peine de mort, ou c'est de l'impertinence ?

On va commencer par parler de la contraception, mais bon, elle peut être considérée comme étant une des origines du phénomène "enfant roi".

Je m'explique :

avant, les enfants arrivaient quand ils arrivaient, on les voulait mais aucun contrôle sur les naissances, donc on acceptait ces grossesses avec fatalité, l'enfant était élevé, et aimé tout de même un peu.

A partir du moment où on a pu décider qu'on aurait un enfant à tel moment et pas à un autre, et ce nombre de mômes et pas un autre tout en continuant à faire des galipettes avec monsieur, les enfants ont commencés à être considéré non plus comme un mal nécessaire mais comme qqch qui appartenait en propre à ses parents puisqu'on avait décidé de tout au niveau de sa conception.

Partant de là, on en est arrivé à ces phénomènes d'enfants rois, les 8ème merveilles du monde, désirés, voulus, programmés, puisqu'on pouvait controler la conception.

Somme toute, ce sont les parents qui sont à blamer, et pas la contraception en elle même.

J'ai l'impression que tu te prends pour le nombril du monde... déjà je ne m'adressais nullement à toi dans mon post (à l'origine de ton ire comme tu dis), maintenant si tu as un coup de gueule à pousser tu t'en prends à l'auteur du topic et tu fais pas ch*** ceux qui y réagissent. Encore une fois, vu que tu n'as rien compris, mon post était juste destiné à souligner ma nostalgie pour une période de ma jeunesse qui est révolue. Point barre. Pas la peine d'interpréter ça à ta manière, de chercher à me faire dire que les jeunes comme toi ont pourri la société, etc... ce n'était et ce n'est toujours pas mon propos alors cesse de me faire passer pour le diable en personne, car ce n'est pas un gars de ton âge (ouh la vilaine que je suis !) qui va me donner des leçons de vie...

Qu'est-ce que tu es vieux jeu... t'es sûr que tu n'as que 22 ans ???
On les voulait... ah bon, en es-tu vraiment sûr ? Les femmes violées qui tombaient enceintes voulaient-elles garder l'enfant à ton avis ?
Faire des galipettes avec Monsieur : et pourquoi pas envisager l'inverse ? Tu crois pas que le plus souvent c'est Monsieur qui veut se contenter de faire des galipettes avec Madame sans conséquence ?
Et si tu crois qu'un enfant ça se conçoit pile poil au moment où l'on l'a décidé, tu te gourres, certes cela peut marcher tout de suite comme cela peut prendre 2 ans ou pas du tout.
Vis un peu avant de parler sans savoir...