skynet a écrit :
Masha a écrit :
Redstein a écrit :
Il suffit de se rendre compte qu'un avortement regarde LA femme concernée, et ELLE UNIQUEMENT.
Et les zhoms dans tout ça, ils n'ont pas leur mot à dire ?
Non.
Chais pas - il s'agit de son corps à elle qui lui appartient personnellement en propre, me gourré-je ?
Après, les arrangements entre conjoints, c'est une autre histoire. Il ne s'agit pas de ça ici...
...mais ça a l'air de drôlement vous démanger
TimeBomb a écrit :
Bof la citation de redstein en LETTRES CAPITALES laisse peu la place au doute.
Pour être malheureusement passé par là avec ma femme, la décision a été prise ensemble, je l'ai accompagné à la clinique et nous avons partagé nos larmes...
redstein est avare de détails sur sa vie personnelle mais je me demande franchement quel historique il faut avoir eu au niveau relationnel pour développer une vision si manichéenne des rapports hommes/femmes au sein du couple ?
1. Voir ci-dessus.
2. Un avortement, ce n'est jamais gai, c'est le moins qu'on puisse dire. Et d'ailleurs, c'est rarement fait à la légère. (Je dirais bien « jamais », mais on va encore m'opposer le cas vé-cu d'une ou deux gamines qui ont eu le front de ne pas pleurer suite à une telle intervention - en ne parlant jamais du type qui les a engrossées, d'ailleurs.)
Mais décider que c'est automatiquement et systématiquement une tragédie, c'est déjà glisser sur une pente quand même un ptit peu pétainiste sur les bords. (Et je sais que ce n'est pas ton genre, me hâté-je d'ajouter.)
3. Qui parle du couple ?
Quand je dis que ça vous démange : il vous arrive d'envisager qu'une femme puisse exister indépendamment de son propriétaire (mâle, bien sûr) ?
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)