T'as lu c'que tu manges ?

Y a pas photo encore faut il avoir du temps pour cela, sinon il y a aussi les circuits courts ...

Comme RFM, je pense que moins on mange de produits transformés, mieux ça vaut. Evidemment, Yuka c'est utile, mais le mieux c'est de faire le plus de cuisine soi-même, avec les produits qui viennent d'à côté, c'est encore mieux.

Quand je vois que certains achètent des carottes râpées préparées, faut pas me parler de pouvoir d'achat...

Quand tu as de grosses amplitudes horaires la magie n'existe pas.

Ça s'appelle un choix de vie.

Je suis plutôt d'accord, moi même j'essaie à présent de ne plus dire "j'ai pas le temps", ou "j'ai pas les moyens".

je me suis aperçu que l'argent et le temps, je les ai, et je choisi où les mettre, et mine de rien ça m'a permis de beaucoup relativiser mes envies, ma vision des choix des autres.

VOilà c'est un tout

Si on veut (vraiment), on peut, c'est simplement une question de priorité.

Tout à fait...

Tu commences dans la vie active, tu contractes un crédit pour t'installer, et tu te sens coincé pour le reste de ta vie.
Choix qu'on s'impose sans s'en rendre compte sur le moment mais choix quand même.

Je cuisine, à base de produits frais, non surgelés (sauf le poisson parfois) et jamais "transformés"…
Je me suis amusé à calculer le prix de revient de mes repas, et c'est hallucinant de voir les économies réalisées en "travaillant" un tant soit peu en cuisine, et surtout d'avoir le vrai goût des choses…
Donc, pour en revenir au sujet initial, la lecture d'étiquettes se limite pour moi à la provenance des produits frais, leur mode d'élevage et de production et le dialogue avec les commerçants qui les vendent.
Bien sûr, il faut concevoir que ça prend du temps et qu'on ne peut pas jeter un truc dans le micro-onde à 19h45 pour manger à 20h00, mais ce sont un choix et une organisation qui valent le coup, financièrement et gustativement, sans parler de la santé…

Exactement, c'est ce qu'on explique à notre fille. Elle a pris l'habitude et regarde d'elle même les étiquettes maintenant.

Les enfants sont tentés en magasin parce que le packaging les attirent. Donc suivant le prix et la composition je refuse pas systématiquent d'acheter. Elle regarde d'elle même la composition (le prix elle est trop jeune) et quand c'est pas ce qui correspond à nos attentes on prend en photo et on essaye de reproduire à la maison.

Je pense à tous ces dessert pour enfant et adultes au rayons des yaouths/dessert. A chaque on s'en sort très bien et on ajoute ça à notre cahier de recette.

Pour revenir au sujet du 1er post, le sucre c'est vraiment ce que je regarde en 1er sur une étiquette.
C'est incroyable la quantité de sucre ajouté qu'on nous balance dans tout ce qu'on achète, y compris le salé.
Ce week-end j'ai fait un gâteau à base de chocolat, la recette disait 250g de sucre
Je n'en ai pas mis du tout (sachant que le chocolat - trèèèèès noir dans mon cas - est déjà bien chargé en sucre), c'était délicieux avec un vrai gout de chocolat.
Environ 3-4 ans que je fais particulièrement attention à cet aspect de l'alimentation.
Mes enfants ont de fait perdu l'habitude du sucré et c'est amusant (et gratifiant) de parfois les entendre dire que chez untel ou untel ils ont trouvé tel plat ou tel dessert vraiment trop sucré pouah !

Tu utilises le bon terme, l'habitude.

Je fais de même dans de nombreuses recettes, réduction drastique des quantités de sucre, alors qu'il y a 10 ans je n'aurais probablement pas aimé.

Et mine de rien, c'est cela aussi qui m'a permis de réduire grandement les produits industriels, trop sucré, trop salé... Bah forcément ça m'attire de moins en moins.

C'est comme le café.
Pour celui qui met 1 ou 2 sucres dedans c'est impensable de ne pas en mettre.
Et pourtant, il suffit de s'y tenir (pas évident au début) et au bout de même pas 1 mois le sucre est oublié.
C'est même impossible après de reboire un café ne serait-ce qu'avec 1/2 sucre dedans, immonde (je n'exagère pas, je préfère me passer de café plutôt que le sucrer)