Lao a écrit :
Pour certains, le monde réel consiste à (je cite) "suivre avec plaisir les péripéties de Rambo qui descend des viets et des ruskoffs dans la jungle".
Pas étonnant qu'on ait des problèmes pour vivre en harmonie sur cette terre.
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Le monde réel, c'est celui des cercueils renvoyés dans leur famille.
Il ne t'a pas échappé que je parle du propos du film et non de sa mise en scène. Quelques fois une oeuvre ne représente pas la réalité, mais parle de la réalité (cf K.Dick, au hasard). C'est du de l'art quoi, pas forcément une réalité documentaire.
(C'est juste de la mauvaise foi, du procès d'intention et du terrorisme intellectuel à la biosmog ton post, avec la vidéo pourrie de Woodstock dont tout le monde se fout qui va bien.)
A mon avis le vrai truc flippant c'est que n'importe quel blockbuster des années 80 a des propos politiques et sociaux bien plus intéressants et sujet à débats que n'importe quel blockbuster des années 10-20, cf les Marvel et toutes ces conneries.
Bertrand69 a écrit :
Le premier Rambo, c'est un film que je regarde toujours avec plaisir. Et contrairement aux films suivants, Rambo ne tue personne dans ce premier opus. Sauf lui même en théorie, comme dans le livre, mais le réalisateur a décidé de tourner une nouvelle fin suite au mécontentement des spectateurs lors des premières projections.
"
Une version de la scène finale du film — dans laquelle Rambo se suicide devant son mentor le colonel Trautman — fut tournée ; mais les réactions lors des premières projections tests furent négatives, les spectateurs prenant le personnage de Rambo en compassion. Il fut alors décidé de garder la version de la scène où Rambo reste en vie et se rend aux autorités."
La version du suicide est clairement celle que je préfère, bien plus cohérente avec le personnage et son cheminement que la reddition à mon sens. (La scène est dispo sur les Blu Ray je crois.)