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Rappel du dernier message de la page précédente :
Sola
Mr Park a écrit :
J'ai regardé "Moi, Tonya" hier soir.



Je ne sais pas trop quoi en penser...


Je ne m’en souviens plus trop mais il me semble que j’avais trouvé ça pas mal. Faudrait que je le remate.

Dans le délire j’ai gardé un assez bon souvenir de Cœur de bronze avec Melissa Rauch (big bang theory)
Le bonheur rangé dans une armoire
Doc Loco
Mr Park a écrit :
J'ai regardé "Moi, Tonya" hier soir.



J'ai failli et puis j'ai renoncé - parce que je me souvenais trop bien de l'histoire qui avait été bien étalée dans les medias à l'époque et que je n'avais pas envie de me replonger dans l'atmosphère white trash sordide qui a sûrement été très bien reconstituée mais ne me donne vraiment pas envie.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Mr Park
Doc Loco a écrit :
Mr Park a écrit :
J'ai regardé "Moi, Tonya" hier soir.



J'ai failli et puis j'ai renoncé - parce que je me souvenais trop bien de l'histoire qui avait été bien étalée dans les medias à l'époque et que je n'avais pas envie de me replonger dans l'atmosphère white trash sordide qui a sûrement été très bien reconstituée mais ne me donne vraiment pas envie.


Je ne connaissais pas trop l'histoire (enfin si, en gros, mais c'est tout), mais oui, du white trash sordide, ce n'est à peu près que ça. Perso ça ne me dérange pas.
Denis13
Je suis allé voir les cyclades hier soir, le film sort le 11 janvier, étrangement pas mal d'UGC le diffusaient hier
J'ai passé un très bon moment, avec un trio d'actrices au top, mention spécial à Kristin Scott Thomas absolument rayonnante
izzyU2
J'ai regardé hier sur Netflix le film japonais "We couldn't become adults", un film bien déprimant mais qui vaut le coup, l'histoire de Sato, quadragénaire divorcé, qui réalise à quel point l'échec de sa première histoire d'amour avec Kaori a impacté toute sa vie d'adulte.

C'est lent, long (2h), souvent triste et nous pousse souvent à faire le parallèle avec notre propre vie... mais le film nous offre une tranche de vie tokyoïte loin des clichés touristiques, touchant par la banalité de la vie amoureuse et professionnel de Sato, le film pose la question de savoir si pour devenir adulte il faut accepter le conformisme de la société.
Le détail important pour comprendre le film, c'est l'invitation facebook que le personnage reçoit en 2015, c'est Kaori qui l’envoi alors qu'elle est mariée avec 2 enfants... qui amène à ce que le personnage conclu sur elle à la toute fin du film (pendant le générique).
Laurent_Barre
izzyU2 a écrit :
J'ai regardé hier sur Netflix le film japonais "We couldn't become adults", un film bien déprimant mais qui vaut le coup, l'histoire de Sato, quadragénaire divorcé, qui réalise à quel point l'échec de sa première histoire d'amour avec Kaori a impacté toute sa vie d'adulte.

C'est lent, long (2h), souvent triste et nous pousse souvent à faire le parallèle avec notre propre vie... mais le film nous offre une tranche de vie tokyoïte loin des clichés touristiques, touchant par la banalité de la vie amoureuse et professionnel de Sato, le film pose la question de savoir si pour devenir adulte il faut accepter le conformisme de la société.
Le détail important pour comprendre le film, c'est l'invitation facebook que le personnage reçoit en 2015, c'est Kaori qui l’envoi alors qu'elle est mariée avec 2 enfants... qui amène à ce que le personnage conclu sur elle à la toute fin du film (pendant le générique).


Ça m'a donné envie de le regarder !
bobofran
J"ai vu la suite d'Esther hier. (enfin le prequel en fait) Moins aboutie et culte que le premier. Je ne l'ai pas trouvée si mauvaise que çà par rapport aux critiques. Il y a même un effort au niveau du scenar et çà fait toujours le job pour les amateurs du genre.
Dernier son : L'album de DUB SCIENTISTS "Green Light District" : https://www.youtube.com/watch?(...)=577s

MES VENTES (suspendues pour le moment) :
https://www.guitariste.com/for(...)72037
izzyU2
Laurent_Barre a écrit :
izzyU2 a écrit :
J'ai regardé hier sur Netflix le film japonais "We couldn't become adults", un film bien déprimant mais qui vaut le coup, l'histoire de Sato, quadragénaire divorcé, qui réalise à quel point l'échec de sa première histoire d'amour avec Kaori a impacté toute sa vie d'adulte.

C'est lent, long (2h), souvent triste et nous pousse souvent à faire le parallèle avec notre propre vie... mais le film nous offre une tranche de vie tokyoïte loin des clichés touristiques, touchant par la banalité de la vie amoureuse et professionnel de Sato, le film pose la question de savoir si pour devenir adulte il faut accepter le conformisme de la société.
Le détail important pour comprendre le film, c'est l'invitation facebook que le personnage reçoit en 2015, c'est Kaori qui l’envoi alors qu'elle est mariée avec 2 enfants... qui amène à ce que le personnage conclu sur elle à la toute fin du film (pendant le générique).


Ça m'a donné envie de le regarder !



Si tu le regardes n'hésite pas à me dire ce que tu en as pensé !
Olivier
J'ai beau ne pas spécialement aimer Godard, et encore moins Le Mépris, je trouve cette scène absolument magnifique, peut-être le plus bel hommage que l'on pouvait faire au cinéma, et encore plus, à ceux qui le font :

Blow Up
Le traveling sur rail ça fait toujours rêver, la magie du cinéma. Mais quel bordel à installer avec cubes, cales et niveau (si tu as le malheur de l'effleurer en passant à coté, tu te fais incendier pendant des heures) sans parler des dollys qui font 200 kilos. J'ai été machino stagiaire une fois, plus jamais
Je préfère le travelling en fauteuil roulant inventé par Raoul Coutard pour tourner à l'arrache sur les Champs Elysées dans A Bout de Souffle.
"Macron est de gauche" BluesBarbu le 20/02/2021
Laurent_Barre
izzyU2 a écrit :
Laurent_Barre a écrit :
izzyU2 a écrit :
J'ai regardé hier sur Netflix le film japonais "We couldn't become adults", un film bien déprimant mais qui vaut le coup, l'histoire de Sato, quadragénaire divorcé, qui réalise à quel point l'échec de sa première histoire d'amour avec Kaori a impacté toute sa vie d'adulte.

C'est lent, long (2h), souvent triste et nous pousse souvent à faire le parallèle avec notre propre vie... mais le film nous offre une tranche de vie tokyoïte loin des clichés touristiques, touchant par la banalité de la vie amoureuse et professionnel de Sato, le film pose la question de savoir si pour devenir adulte il faut accepter le conformisme de la société.
Le détail important pour comprendre le film, c'est l'invitation facebook que le personnage reçoit en 2015, c'est Kaori qui l’envoi alors qu'elle est mariée avec 2 enfants... qui amène à ce que le personnage conclu sur elle à la toute fin du film (pendant le générique).


Ça m'a donné envie de le regarder !



Si tu le regardes n'hésite pas à me dire ce que tu en as pensé !


Je l'ai regardé hier soir. C'est un beau film qui mériterais sûrement plusieurs visionnages pour en saisir toutes les nuances. Beaucoup de mélancolie et un regard sans complaisance sur la société japonaise, on sent que c'est un film très personnel de la part du cinéaste. Le thème des amours ratées et des déceptions de la vie est bien traité. Tu as raison de signaler que le film invite le spectateur à s'interroger sur sa propre vie.
Les scènes nocturnes collent bien avec l'état d'âme des personnages. Peut-être qu'une sorte de sagesse et de lucidité pointe à la fin du film pour guider Sato vers quelque chose de positif.
Polysonic
Film drôle, intelligemment écrit et très bien jouée.
Une satire au ton juste de l'industrie du cinéma :

Slyonline2
Polysonic a écrit :
Film drôle, intelligemment écrit et très bien jouée.
Une satire au ton juste de l'industrie du cinéma :



Je l'ai vu, très bonne satire en effet

Avec beaucoup d'auto dérision de la part d'Antonio Banderas sur sa propre carrière.

Oscar Martinez est génial.
Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...
Adam Bopel
Olivier a écrit :
J'ai beau ne pas spécialement aimer Godard, et encore moins Le Mépris, je trouve cette scène absolument magnifique, peut-être le plus bel hommage que l'on pouvait faire au cinéma, et encore plus, à ceux qui le font :



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