Kandide a écrit :
En tout cas Malmsteen, ne laisse pas indifférent.
Perso, j'ai commencé la gratte en 89, en entendant Malmsteen, j'ai pris une claque, et là tout a commencé (pour moi).
ou c'est la que tout s'est ftini.
au début t'es tout content, tu commences par les bases les gammes blues, du hendrix du redhot du guns et t'est tout fier de jouer un solo et une suite d'accord. alors tu perseveres tu te dis ok je vais me taper des plans de steve vai de satriani de van halen. apres tout cest pas trop compliqué, il suffit de connaitre le sgammes et travailler. puis tu écoutes du jason becker, la tu desesperes un peu mais tu y crois, tu continues, t'apprends les techniques et t'improvises dessus . tas des cours de gilbert, au ralenti ou en rapide t'as des guitare part avec satriani en couverture. tu prens leur plan, tu t'amuses avec les boucles deffet tu reproduis le son de vai. ca fait marcher le commerce, tout le monde est heureux. la musique se porte bien et le gamins veulent tous jouer de la gratte avec du gros son saturé .
t'es émerveillé comme un gosse en regardant le g3. tu te dis, mais moi aussiavec mes petites mains, je peux faire ca
ca marche. il suffit d'un peu de patience. jusqu'au jour ou on te file un cd de malmsteen (un truc d'ovni puisque cest de la musqiue metal et néo classique que personne n'écoute, en fin t en a entendu parler sur internet ou dans un magazine avec metallica en couverture)
) et puis en écoutant ce son, tu te rends compte que tout ce travail d'amateur n'a servi a strictementa r ien parce qu'a part la branlette tant que t'es incapable de jouer une note et un morceau correctement.
résultat : soit tu es doué et tu copies le maitre, ou alors t'abandonnes. tu te mets au piano
pour les plus acharnés, on les rencontre sur youtube
ils veulent tous imiter le jeu le style etc du maestro. ceux qui ont réussi ont attrapé le melon mais il n'ont plus un style qui leur ait propre.
ils ne font plus que du malmsteen
les autres desesperent alors ils composent du shred bien bourrin mais plus accesibles.
et puis il ya la petite minorité, qui s'en sort bien, qui sort du lot : ca donne du romeo et la pour le coup ils se comptent sur les doigts d'une main