Marty Friedman

Justement : il n’a pas composé Tornado of souls, il n’a fait « que » y ajouter la cerise sur le gâteau (une cerise de 50kg sur un gâteau de 8m de haut )


Oui, essentiellement du gros riff qui tache (raaaah, Dragon’s kiss !!! 35 ans après, j’en ai encore les tétons qui pointent). C’est lorsqu’il fait du songwriting qu’il a tendance à tomber dans le sirupeux

okay, merci pour ces précisions !

Et quelle cerise en effet...je me souviendrai toujours de la première fois où j'ai écouté 'Tornado of souls ' sur une radio locale lyonnaise en mai 1994..( Brume FM il me semble). j'ai tout de suite accroché au morceau et quand le solo est arrivé, plus il se déroulait, plus je me disais...whaou, whaouuu, whaouuu !
J'avais enregistré le morceau lors de ce passage et j'ai acheté la cassette de l'album à l'automne suivant

Chouette interview:

https://www.theguardian.com/mu(...)japan

J'aime particulièrement ce passage, émouvant:

“Mustaine and I love each other but it was time for me to leave the band when I did. The only piece of unfinished business that we had was Budokan. It was equally important for both of us because we’re both rock fans at heart – growing up with Cheap Trick at Budokan, and all our heroes who played there, we both wanted to play it together. Dave got hold of me and said ‘Dude, have you ever played Budokan?’ I said yeah, and he said: ‘Do you wanna play it again?’ It was the sweetest exchange.”

("Mustaine et moi nous nous aimons, mais il était temps pour moi de quitter le groupe. La seule chose que nous n'avions pas achevée était le Budokan. C'était également important pour tous les deux, car nous sommes tous deux des fans de rock dans l'âme. En grandissant avec Cheap Trick au Budokan, et avec tous nos héros qui y ont joué, nous voulions tous les deux y jouer ensemble. Dave a pris contact avec moi et m'a dit : « Mec, tu as déjà joué au Budokan ? J'ai répondu que oui, et il m'a dit : « Tu veux le rejouer ? » C'était le plus adorable des échanges")