Citation:
Une Gibson ou Fender de 30 ou 40 ans, qui a du verni qui disparaît, quelques marques de jeu qui témoignent d'une vie et non d'un instrument de collection. Ca ressemble assez à MA définition du mojo ^^
(attention reflexion trollesque)moi ca ressemble assez à ma définition du hipster. sans dec, heureusement qu'à l'époque de hendrisque ils étaient pas comme ca, sinon les guitares aujourd'hui légendaires n'auraient jamais vu le jour. (fin du troll)
Doc Loco a écrit :
Pour moi, une guitare ne doit pas nécessairement être vintage, ou "de marque", pour avoir le mojo. Celle qui a le mojo, c'est celle que tu essayes, puis tu en essaye cinquante autres "identiques", et tu reviens quand même à celle-là. C'est la gratte qui a le petit truc en plus de justement inexplicable "techniquement". C'est l'épée aux super-pouvoirs
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+10000. voilà, le mojo c'est comme le rock, si tu cherches une définition, des critères, des paramètres, te baser sur la valeur d'une histoire, t'as tout faux, tu fais dans le superficiel ou t'essaie de te la jouer puriste.
la grattes elle attise ta curiosité, tu regardes pas la marque, ni la fiche technique ni le prix, tu la prends, tu l'essaie, et tu kiffes ou pas. point.
Citation:
J'ai une luthier en préparation, et j'espere ne pas regretter ce choix, se lancer dans l'inconnu fit bien plus peur que d'acquérir un modèle qui semble faire ses preuves!
effectivement, c'est pour ca que souvent la case "luthier pour construire la guitare de ses rêves" apporte son lot de déceptions. je pense qu'il faut avoir l'esprit ouvert et aventureux pour faire faire une guitare de luthier, et non pas espérer une espèce d'arme ultime enterrant toutes les autres guitares sans exception...