Actualité politique / Règles en page 1

J'étais en vadrouille avec un pote dans Paris hier ... On a croisé le cortège des gilets jaunes vers le musée d'Orsay et on etait dedans jusqu'à saint Michel ...

Ils étaient calmes, les flics aussi ... Loin des images qu'on a vu jusque la ...

Beaucoup de vieux assez calmes et des jeunes qui braillaient du " Macron on t'enc**e"

On a pas flippe une seconde, que ce soit de tomber sur des GJ abrutis ou de se prendre une grenade ou du lbd ...

Et on a croisé Gérard Jugnot pas loin

J'étais en vadrouille avec un pote dans Paris hier ... On a croisé le cortège des gilets jaunes vers le musée d'Orsay et on etait dedans jusqu'à saint Michel ...

Ils étaient calmes, les flics aussi ... Loin des images qu'on a vu jusque la ...

Beaucoup de vieux assez calmes et des jeunes qui braillaient du " Macron on t'enc**e"

On a pas flippe une seconde, que ce soit de tomber sur des GJ abrutis ou de se prendre une grenade ou du lbd ...

Et on a croisé Gérard Jugnot pas loin

Gerard Jugnot ... Gilet Jaune... GJ.... GJ.

complot direct

Ce samedi à 17h45, les gilets jaune sont entrés dans l'EHPAD "Les Peupliers" à Bourg. Les aides soignantes étaient affolées et je suis descendu du 3ème étage où j'étais en train de rendre une visite à ma belle-mère qui aura 100 ans le 3 avril.

Je descends précipitamment les escaliers bien décidé à chasser les intrus que j'avoue ne pas porter dans mon coeur, car je trouve que leur cirque a assez duré!

J'arrive au rez de chaussée et je vois une trentaine de gilets jaunes en train d'apeurer les anciens dans le grand réfectoire. Je leur demande de sortir de suite pour trois raisons, ils ne sont pas dans un établissement public mais privé, les visites sont déconseillées car l'établissement fait l'objet d'une épidémie de gastro-entérite, et, leurs allées et venues occasionnent l'ouverture totale de deux portes d'entrée coulissantes laissant entrer le froid, alors que les pensionnaires doivent souper dans la demi heure suivante.

Une dame venue avec ces énergumènes me demande de ne pas les brusquer car ils ont bu toute la journée. C'est alors que je me suis rendu compte de leur état car ils ont mis un bon moment à sortir, récupérant des palettes de bois qu'ils avaient posé un peu partout.

J'étais surpris d'être le seul à intervenir et les aides soignantes m'ont dit que le samedi le directeur et les cadres ne sont pas là! Le personnel et les anciens ont été très reconnaissants, et moi révolté par l'intrusion de ces pauvres gars, j'avoue que j'étais prêt à les pousser dehors!

Mais, je me suis rendu compte qu'ils n'avaient pas inventé l'eau chaude et qu'ils étaient incapables de s'expliquer ou s'excuser. Alors vrais cas sociaux ou non, je n'ai pas la réponse à ma question, je pense qu'ils étaient extrêmement déçus d'être aussi peu nombreux lors de ce 17ème samedi!

J'ai pu assister également à l'hypocrisie des automobilistes, qui ayant peur d'être bloqués par tous ces gilets jaune sortant de l'établissement et occupant la rue, les klaxonnaient amicalement pour leur faire comprendre qu'ils étaient avec eux et qu'il fallait les laisser passer!

« Toutes ces misères sociales ont leur origine commune dans le contenu des traités européens, qui ont figé toutes les politiques économiques dans le dogme absurde de l’ordo-libéralisme, cher au gouvernement Merkel. La condition préalable de la coopération en Europe est la sortie de ces traités », assène M. Mélenchon.

Pour lui, s’il faut une « renaissance » en Europe, « que ce soit celle de la souveraineté du peuple, celle des Lumières contre l’obscurantisme de l’argent et des passions religieuses adverses ». Il prône le respect partout en Europe de la « règle verte », qui préconise de « ne plus prendre à la nature davantage que ce qu’elle peut reconstituer » ; la lutte contre l’évasion fiscale ; un « protectionnisme négocié avec le monde » ; l’éradication de la pauvreté et la limitation des écarts de revenus.

Bizarrement, les godillots de la Macronie s'étranglent de rage

nous n’avons que faire de la peur des Russes, qui sont des partenaires". "Macron est devenu dangereux. Pas seulement pour les manifestants et ses opposants politiques. Sa phobie antirusse le fait rôder aux frontières de la guerre

Si le Venezuela n'existait pas, on sait qui s'empresserait de l'inventer.

Oui, c'est toi : comme je le disais, le Venezuela est si pratique que s'il n'existait pas, il faudrait l'inventer.