reeves a écrit :
Tu as tout simplement comme beaucoup une vision réduite, voilée, de ce qu'est vraiment le communisme.
Non. Le communisme "en pratique" c'est exactement ce que je décris. Sortir cette excuse sans cesse rabâchée que le "communisme de bibliothèque" ce n'est pas ça n'y change rien.
Mais soit, mettons donc de côté la perspective historique qui, de fait, n'est pas flatteuse pour tous ceux qui se réclament du communisme.
Mais sérieusement, au nom de quoi devrais-je me rallier à ce postulat tout à fait absurde qui voudrait que tous les problèmes seraient résolus par une centralisation absolue des différentes formes de pouvoir dans les mains de l'Etat ? Ma crédulité a ses limites, excuse-moi...
reeves a écrit :
le capitalisme est un système a vocation totalitaire. Et si il n'a pas pu se mettre en œuvre dans sa totalité, c'est grâce au combat du socialisme et du communisme qui ont freiner le totalitarisme capitaliste au sein du système capitaliste. Tu vas me dire absurde et ridicule...
Comment peux-tu écrire d'aussi ridicules absurdités ? Si le capitalisme est freiné d'une manière ou d'une autre, le communisme n'y est pas pour grand chose...
@Bobo : tu te fais beaucoup d'idées sur ma position sociale, non ?
Par ailleurs, parce que je me permet de dire que le communisme est un système à la con - ce qui est confirmé par les quelques tentatives d'application pratique - je serais selon toi
de facto incapable de prendre en considération les questions d'ordre social. Mais dis-moi, la vision bipolaire et étriquée elle serait pas plutôt dans ton chef ? Soit, je ne t'en veux pas, vu l'heure à laquelle tu as posté et la pauvreté du raisonnement, tu devais être passablement bourré n'est-ce pas ?
jules_albert a écrit :
pour ce qui est du parti communiste, il faut commencer par bien dissocier les militants de base (qui sont souvent nobles et estimables) des pourritures qui l'ont toujours dirigé. il y a un fossé énorme entre la base et ces bureaucrates prêts à toutes les compromissions et trahisons pour préserver leurs petites parcelles de pouvoir.
De fait.