Actualité politique / Règles en page 1

c’était a l’époque de l'ascension de son père, c'est un ministre Mitterrand qui avait dit ça, effectivement évitons les questions qui fâchent et auxquelles on est pas fichu de répondre.
J'ai travaillé 30 ans dans mon atelier à la limite du 18 et du 19éme, 300m de ce qui était la plus grosse mosquée de Paris, j'ai vu l’évolution de mes voisins, surtout mes voisines d'ailleurs, mais je devais rêver.

Oui. Je plains les intellectuels français qui doivent se fendre d'un communiqué de presse pour se défendre des attaques honteuses dont ils font l'objet.

http://www.cnrs.fr/fr/l-islamo(...)fique

Non. Mais inventer des concepts délirants pour régenter la recherche scientifique et ce qui peut être pensé, oui. Clairement oui. C'est du niveau de la Pologne et de la Hongrie, pour prendre des exemples contemporains proches. Ce doit être l'époque...

Rêver devant le contraste des photos ?

Je trouve aussi qu'elle pose les mauvaises questions. Mais ça ne suffit pas de le dire, et de se poser exactement la même question après. Pour moi, tout ce dont on discute, ce n'est que le symptôme d'autre chose, l'islam(isme) n'est qu'un véhicule. Tu l'enlèves, il y en a dix derrière de véhicules, qui rempliront exactement la même fonction. Peut-être qu'avec l'un des véhicules, les gens s'autodétruiront un peu plus et feront moins de mal aux autres, et on n'en parlera plus. Je pense que c'est celui-ci que cherchent les marcheurs.

Le concept délirant en question décrit des comportements, assez répandus (tiens, ça rime un peu avec barbus ). Je ne sais pas dans quelle mesure on peut entendre ça comme relevant d'une réalité scientifique, mais inutile de monter sur ses grands chevaux : Vidal a demandé une bête étude - au CNRS, dont c'est le boulot.

Si elle l'avait commandée aux RG, là je m'inquiéterais.

https://etudiant.lefigaro.fr/a(...)e6e9/

Tu as du mal a sortir de ton corpus et des positions tranchés. Je ne pose pas du tout les mêmes questions que Le Pen (d'ailleurs l'islam politique et le social, elle en parle peu, ses mantras c'est l'immigration et la sécurité. elle va s'en défendre avec des pudeurs de gazelle républicaine mais c'est intéressant d'écouter et décortiquer ses discours. C'est subtil ou peut être même parfois inconscient, mais dans le vocabulaire, les images, les comparaisons, on voit que le musulman est toujours un corps étranger, qu'il n'a rien à faire en France, ça en tout cas c'est ancré)

Parce contre je n'ai pas de complaisance pour les gens qui utilisent la religion comme arme politique, de contrôle ou de domination/pouvoir. C'est pas une question de symptômes profonds ou de véhicules, ce sont des faits politiques avec des personnages et des organisions biens réels derrière, des enjeux, des projets, des cause et des conséquences.

Le problème n’est il pas la tendance de certains universitaires à imposer leur point de vue? Qu’ils pensent ce qu’ils veulent de l’islam mais n’empêchent pas de penser autrement.
Ça me rappelle une conversation sur l'euthanasie et la fin de vie, il y avait un juge, très haut magistrat, cela a été très bref, ce c.. nous a expliqué ce qu’il fallait en penser

Si on était en Pologne ou en Hongrie;le CNRS aurait fermé sa gueule et se serait exécuté de suite .Les presidents d’université aurait fais profil bas,La presse ,vendue au pouvoir ,aurait applaudis des deux mains et le president de la république aurait publiquement soutenu sa ministre.Je dirais même plus : si nous étions dans ces pays ,aucune université n'aurait même imaginer qu'ils soit possible que des chercheurs de chez eux puissent être islamo-gauchiste.
Je pense que si un jour ces deux pays retrouvent la démocratie,,une étude sera lancée pour voir si au contraire ,il n'existe pas un certain militantisme Chretienno-facho dans les facs

Je connais assez bien l'université hongroise et très bien une chercheuse en particulier, et je pense que tu surestimes l'autoritarisme hongrois et sous-estime l'ingérence du pouvoir dans l'université en France.

Euh...

déjà, c'est exactement le contraire qui se passe:
On impose un point de vue politique aux universitaires, qui de leur côté n'imposent rien du tout aux politiques, ils n'ont absolument aucun pouvoir, je ne sais pas si tu es au courant de la façon dont fonctionnent les institutions.

Ensuite, le rôle des universitaire est justement d'exercer un point point de critique, libre de toute contrainte politique, alors que le rôle du politique est d'exercer un pouvoir, sous le contrôle (pas le pouvoir) de la société civile, société civile dont font partie les experts et la critique scientifique.

J'ai l'impression que ça glisse vers un nouvel ordre moral, c'est hallucinant.

Tu ne vois pas le problème? Je te la ressortirai celle-là

C'est toi qui compare l'intrusion du politique dans les universités françaises avec la situation en Hongrie et en Pologne et soudain tu te rappelles que t'as une copine hongroise qui est chercheuse et en fait c'est cool!!
Je vais attendre la fin de la journée que un des intervenants sur le sujet me parle de sa super copine chercheuse en Pologne et pour qui c'est plutôt cool le vie Universitaire à Cracovie

je sens que bientôt je vais apprendre que les profs de ces deux pays ont beaucoup de compassion pour leurs homologues français

Vous avez lu le communiqué des présidents d'unif que j'ai posté en page précédente à propos de l'islamo-gauchisme? Parce que sans prétention c'est un bon début, ça remet déjà le terme à sa vraie place: "pseudo-notion" inventée par l'extrême-droite selon eux

https://www.20minutes.fr/lyon/(...)i-rue