Actualité politique / Règles en page 1

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Biosmog
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cliclac a écrit :
Biosmog a écrit :
Bon aller, pour tenter d'amener des considérations un peu moins beaufesques que ce que j'ai lu :


il faut rapprocher ça du nombre d’étudiants sinon ça ne veut rien dire

https://fr.statista.com/statis(...)ance/


Euh, on parlait du niveau par étudiant...
Mais là, tu veux dire quoi?


Dark Schneider est tout autant largué...

Bref...
Vous battez pas, je vous aime tous
PierredesElfes
Ce n'est pas comme si la France etait le pays le plus taxé au monde .....ou va le pognon ???
La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...
Mr Park
Pourtant la précarité étudiante c'est un vrai sujet de société, il suffit de voir comment ça marche pour ceux qui n'ont pas papa et maman derrière. Entre les jobs au McDo, la prostitution étudiante et les banques alimentaires il faut être aveugle pour ne pas voir que ça crée déjà les inégalités de demain. Le gamin/gamine de banlieue il ne peut pas terminer l'unif. Il peut peut-être la commencer, mais aller au bout c'est ultra compliqué financièrement.
Biosmog
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bebear a écrit :
cliclac a écrit :
bebear a écrit :
[q
Comme le nombre d'étudiants a fait x1.28 et que le budget par étudiant a fait x0.86, le budget a augmenté de 10%.
Mais il s'agit du budget total de l'enseignement supérieur. Tout ce budget ne va pas aux étudiants, il faut payer des chercheurs, des projets de recherche, les charges des labos de recherches, ....
Bref on essaye de comparer des choux et des carottes.
Mais ce qui est certain c'est qu'à le vue de l'hécatombe en fin de première année de licence, il y a beaucoup de jeunes qui ont été mal orientés après le bac. Donc il y aurait moyen de mieux utiliser l'argent.
Pour parler clairement il y a malheureusement beaucoup trop de jeunes qui n'ont pas le niveau pour suivre des étude universitaires. Non seulement ça fait de la casse chez ces jeunes et en plus ça coûte cher.
On a fait croire que 90% d'une classe d'âge pourrait faire des études supérieures mais c'est totalement faux. Merci qui? Lionel ?
On aurait mieux fait de dépenser cet argent pour développer et valoriser les métiers manuels.

citer des chiffres ou des opinions personnelles ça peut etre un peu pareil finalement, surtout quand son opinion est faite à priori
une ou deux années de fac pour rien c'est pas ce que l'on appelle les bac +0 ?

Au bout d'un moment il faut valider les années, c'est le principe des études supérieures. La règle est connue de tous.
Sauf exception comme pb de santé, gros pb personnel. Quand au bout de 2 années on ne valide pas sa première année c'est clairement qu'il y a eu une mauvaise orientation.
Ce n'est pas un jugement de valeur sur la personn qui n'a pas réussi. Et je persiste à penser que l'argent dépensé aurait été mieux utilisé à former sur une filière courte. Et surtout la personne bien orientée aurait été bien plus heureuse. Lorsqu'on réussit on est en confiance et on a plus de chance de s'épanouir. L'échec répété est rarement bon.



Ce dont tu parles n'est absolument pas corrélé avec les chiffres que j'ai donné. Le nombre d'étudiants s'accroît, les moyens alloués par étudiant diminuent, le taux d'échec est élevé mais stable.

Les chiffres, t'as pas lu, c'est le budget enseignement. Pas la recherche.

Un niveau moyen de formation élevé c'est ce que cherche des pays développés comme la France, qui manque de personnes qualifiées.

Enfin, les étudiants ne font pas des études pour échouer: c'est coûteux, cela retarde leur indépendance financière, c'est pénible, etc..

Donc beaucoup de bêtises lues ici et plus haut.

Le propos c'est que si on met moins de moyens dans l'enseignement par étudiant, c'est normal que les résultats s'en ressentent.

Il faut encore noter que la formation s'allonge et que le coût d'un étudiant de bachelor n'est pas du tout le même que le coût d'un étudiant de master (je ne veux pas dire de bêtise mais c'est un rapport vraiment important genre 3-4x. Un étudiant de 1ère ça ne coûte pas grand chose). Donc ces 15% sont en fait énormes: on devrait voir le coût par étudiant augmenter pour suivre l'évolution des formations.

Donc oui, l'enseignement supérieur se délite et les raisons sont en grande partie financière: on ne se donne pas les moyens de nos ambitions.

C'est la même chose pour l'enseignement obligatoire, ceci dit.
Vous battez pas, je vous aime tous
cliclac
  • cliclac
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tu fais semblant de ne pas comprendre, tes chiffres disent surtout que le budget n'augmente pas assez alors que le nombre d’étudiants lui augmente.
Ça se traduit mathématiquement par une baisse par étudiant mais il y a deux causes bien distinctes pour un même résultat et un problème plus compliqué à resoudre
Quand aux étudiants et leur motivation, c'est souvent flou, beaucoup n'iront pas vraiment au bout ou bifurqueront, feront quelque chose de très différent comme boulot après 4/5 ans d'etudes
Je ne sais en Suisse mais en France ça semble assez fréquent quand les finances suivent un minimum je présume.
bebear
  • bebear
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Biosmog a écrit :
bebear a écrit :
cliclac a écrit :
bebear a écrit :
[q
Comme le nombre d'étudiants a fait x1.28 et que le budget par étudiant a fait x0.86, le budget a augmenté de 10%.
Mais il s'agit du budget total de l'enseignement supérieur. Tout ce budget ne va pas aux étudiants, il faut payer des chercheurs, des projets de recherche, les charges des labos de recherches, ....
Bref on essaye de comparer des choux et des carottes.
Mais ce qui est certain c'est qu'à le vue de l'hécatombe en fin de première année de licence, il y a beaucoup de jeunes qui ont été mal orientés après le bac. Donc il y aurait moyen de mieux utiliser l'argent.
Pour parler clairement il y a malheureusement beaucoup trop de jeunes qui n'ont pas le niveau pour suivre des étude universitaires. Non seulement ça fait de la casse chez ces jeunes et en plus ça coûte cher.
On a fait croire que 90% d'une classe d'âge pourrait faire des études supérieures mais c'est totalement faux. Merci qui? Lionel ?
On aurait mieux fait de dépenser cet argent pour développer et valoriser les métiers manuels.

citer des chiffres ou des opinions personnelles ça peut etre un peu pareil finalement, surtout quand son opinion est faite à priori
une ou deux années de fac pour rien c'est pas ce que l'on appelle les bac +0 ?

Au bout d'un moment il faut valider les années, c'est le principe des études supérieures. La règle est connue de tous.
Sauf exception comme pb de santé, gros pb personnel. Quand au bout de 2 années on ne valide pas sa première année c'est clairement qu'il y a eu une mauvaise orientation.
Ce n'est pas un jugement de valeur sur la personn qui n'a pas réussi. Et je persiste à penser que l'argent dépensé aurait été mieux utilisé à former sur une filière courte. Et surtout la personne bien orientée aurait été bien plus heureuse. Lorsqu'on réussit on est en confiance et on a plus de chance de s'épanouir. L'échec répété est rarement bon.



Ce dont tu parles n'est absolument pas corrélé avec les chiffres que j'ai donné. Le nombre d'étudiants s'accroît, les moyens alloués par étudiant diminuent, le taux d'échec est élevé mais stable.

Les chiffres, t'as pas lu, c'est le budget enseignement. Pas la recherche.

Un niveau moyen de formation élevé c'est ce que cherche des pays développés comme la France, qui manque de personnes qualifiées.

Enfin, les étudiants ne font pas des études pour échouer: c'est coûteux, cela retarde leur indépendance financière, c'est pénible, etc..

Donc beaucoup de bêtises lues ici et plus haut.

Le propos c'est que si on met moins de moyens dans l'enseignement par étudiant, c'est normal que les résultats s'en ressentent.

Il faut encore noter que la formation s'allonge et que le coût d'un étudiant de bachelor n'est pas du tout le même que le coût d'un étudiant de master (je ne veux pas dire de bêtise mais c'est un rapport vraiment important genre 3-4x. Un étudiant de 1ère ça ne coûte pas grand chose). Donc ces 15% sont en fait énormes: on devrait voir le coût par étudiant augmenter pour suivre l'évolution des formations.

Donc oui, l'enseignement supérieur se délite et les raisons sont en grande partie financière: on ne se donne pas les moyens de nos ambitions.

C'est la même chose pour l'enseignement obligatoire, ceci dit.

Le problème de base, c'est comme tu dis "
Le nombre d'étudiants s'accroît"
A ton vraiment besoin de beaucoup d'étudiants pour en laisser plus de 50% sur le carreau? C'est une chimère de vouloir faire croire que tout le monde sera bac+5. Alors qu'on manque de bouchers, plombiers, couvreurs,...
cliclac
  • cliclac
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Sans compter que les filieres les plus demandées sont souvent des accès direct à pole emploi puis à une nouvelle formation

filieres
bebear
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cliclac a écrit :
Sans compter que les filieres les plus demandées sont souvent des accès direct à pole emploi puis à une nouvelle formation

filieres

CQFD
PASS, c'est ultra sélectif, si tu n'arrives pas avec ton bac haut la main, c'est plié! Et en plus il y a des prepas privées qu'il est possible de suivre en parallèle. Mais si tu n'as pas plusieurs milliers d'euros à mettre...
Donc il faut non seulement une mention au bac et pas en histoire géographie mais en plus pouvoir se payer la prepa privée.
Quand tu vois en 3 psychologie et 5 staps, comment dire que seule une infime minorité en fera son métier.
On gratte avec les cordes à l'envers.
Dark Schneider
Biosmog a écrit :

Enfin, les étudiants ne font pas des études pour échouer: c'est coûteux, cela retarde leur indépendance financière, c'est pénible, etc..


Sans blague ? Cependant : "27 % des étudiants inscrits en première année d'université sont, trois ans plus tard, diplômés d'une licence" (chiffre de 2015), plus de deux tiers d'échecs donc. Je me souviens encore de mes années de fac, à la fin de la première année l'amphi avait fondu de plus de la moitié (et certains prof faisaient tout pour faire dégager les étudiants les moins motivés et les moins bons, ils étaient très durs et hyper critique envers le bac, et c'était il y'a 25 ans). Tout cela n'est pas que lié à une question de budget par tête d'étudiant et aux conditions de vie (surtout que dans mon exemple personnel qui vaut ce qu'il vaut, on parle d'une fac de province dans une ville peu couteuse et à l'effectif réduit, les étudiants n'étaient pas dans des situations difficiles).

Bref, bien sûr qu'il faudrait que le budget augmente plus, et qu'il y'a d'énormes difficultés d'orientation, mais ce n'est pas qu'une question d'argent non plus. Et j'en connais aussi certains parents qui ont mis pas mal de thunes pour leurs gosses quitte à les envoyer étudier à l'étranger (bon, en Belgique notamment) et ça n'a pas empêché leurs échecs, et c'était clairement lié à un problème de motivation et un manque de travail personnel. Tout comme les étudiants qui changent sans arrêt de filière et prolongent leurs études des années et des années... parcequ'ils n'arrivent pas à se lancer concrètement dans le monde du travail (et parfois aussi parceque leurs parents continuent de les entretenir sans parvenir à remettre en question leurs choix). Le problème budgétaire et les choix politiques sont une réalité mais on ne peut pas tout limiter à ça.
Bucker
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Je suis pas sur qu'il y ait plus d'échecs professionnels en psy qu'en droit. Il y a des débouchés qui n'existaient pas il y a 10 ans.
Quant aux 300 000 qui veulent faire droit, il y en a les 3/4 qui ne savent même pas écrire sans faire une faute par phrase et l'IA va sabrer leurs futurs jobs plus violemment qu'en psy.
Biosmog
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Dark Schneider a écrit :
Biosmog a écrit :

Enfin, les étudiants ne font pas des études pour échouer: c'est coûteux, cela retarde leur indépendance financière, c'est pénible, etc..


Sans blague ? Cependant : "27 % des étudiants inscrits en première année d'université sont, trois ans plus tard, diplômés d'une licence" (chiffre de 2015), plus de deux tiers d'échecs donc. Je me souviens encore de mes années de fac, à la fin de la première année l'amphi avait fondu de plus de la moitié (et certains prof faisaient tout pour faire dégager les étudiants les moins motivés et les moins bons, ils étaient très durs et hyper critique envers le bac, et c'était il y'a 25 ans). Tout cela n'est pas que lié à une question de budget par tête d'étudiant et aux conditions de vie (surtout que dans mon exemple personnel qui vaut ce qu'il vaut, on parle d'une fac de province dans une ville peu couteuse et à l'effectif réduit, les étudiants n'étaient pas dans des situations difficiles).

Bref, bien sûr qu'il faudrait que le budget augmente plus, et qu'il y'a d'énormes difficultés d'orientation, mais ce n'est pas qu'une question d'argent non plus. Et j'en connais aussi certains parents qui ont mis pas mal de thunes pour leurs gosses quitte à les envoyer étudier à l'étranger (bon, en Belgique notamment) et ça n'a pas empêché leurs échecs, et c'était clairement lié à un problème de motivation et un manque de travail personnel. Tout comme les étudiants qui changent sans arrêt de filière et prolongent leurs études des années et des années... parcequ'ils n'arrivent pas à se lancer concrètement dans le monde du travail (et parfois aussi parceque leurs parents continuent de les entretenir sans parvenir à remettre en question leurs choix). Le problème budgétaire et les choix politiques sont une réalité mais on ne peut pas tout limiter à ça.


Les assertions de café de commerce sur les parcours étudiants... Non, juste une chose que visiblement tu peines à saisir: je ne dis pas que les étudiants n'échouent pas, ni que ce n'est qu'une question d'argent. D'ailleurs, on ne parle pas de l'argent de poche de l'étudiant, ou pour se loger, on parle de l'argent alloué à la formation, aux infrastructures, aux salaires, etc. Essaie de comprendre ce que je dis, la conversation sera plus intéressante que ces caricatures que tu nous fais (les parents qui envoient leurs gosses étudier à l'étranger, les étudiants qui changent sans arrêt de filière, mais oui, c'est un phénomène massif et c'est ça qui pèse sur le coût du travail d'enseignement... ). En général, de telles conneries, on les entend après l'apéro du matin seulement.
Vous battez pas, je vous aime tous
Bucker
  • Bucker
  • Special Top utilisateur
Accessoirement le graphique sur le budget de l'enseignement supérieur par étudiant est un bel exemple d'utilisation de l'échelle pour rendre l'évolution spectaculaire. Quand on voit les chiffres officiels, le tableau est nettement moins noir : https://publication.enseigneme(...)ieur/
Lao
  • Lao
  • Vintage Top utilisateur
  • #85722
  • Publié par
    Lao
    le 07 Mai 2025, 10:24
Je pense que les années de lycée ne préparent absolument pas à faire un choix pour toute une vie active, déjà sur le plan personnel et encore plus pour la connaissance des métiers et de l'environnement économique - les stages de 3ème ne me paraissent largement pas suffisants.

Les amphis, à la rentrée de septembre étaient pleins à craquer il y a 50 ans (environ 450 personnes) - je ne parle pas de droit ou de psycho mais de chimie-biologie. En mai de la même année universitaire, il restait un vingtaine d'étudiants. Je suivais mais j'ai quand même quitté ces études quand j'ai réalisé que même une maitrise (bac+5) ne menait qu'au chômage.
Je pense qu'une solution c'est ce que j'ai vécu après : une sélection à l'entrée sur critères de capacité (résultats du bac) et surtout de motivation (entretiens - rien ne vaut le contact direct). J'ai repris des études d'ingénieur dans une université avec prépa intégrée - taux d'échec 1/100. Quand le service public est adapté, le privé ne sert à rien.
“La peur est le chemin vers le côté obscur. La peur mène à la colère. La colère mène à la haine. La haine mène à la souffrance.” Yoda.
SupaDog
ça m'aurait fait flippé moi d’être obligé de choisir une filière à partir de la 6eme.. Enfin de choisir une vie entre 15 et.... maintenant perso,
et penser à son futur en termes de métier et de carrière etc... Je trouve ça totalement flippant... Surtout qu'il y a tellement de chemins parallèles et un peu plus excitants que parcours sup genre des années sabbatiques, des petits jobs qui te permettent de prendre un peu de chomedu en attendant le RSA, des études qui ne servent qu'à apprendre et reflechir, se cultiver en gros.. écoles d'art, philosocioscienceshumaines, ENA (enfin si ça sert a faire du réseau ça) des voyages... Enfin des vrais voyages 6 mois minimum avec les déplacement dans les conditions locales et en logeant au plus près de l'habitant avec quelques notions de la langue du pays... Et je trouve qu'il y a encore heureusement des jeunes qui réfléchissent comme ça... des pote(sse)s de ma fille, elle même (mais j'y ai appris) et quelques autres vingt/trentenaires... C'est bien je pense en tout cas ça me rassure sur le genre humain, on peut encore réfléchir avec son cerveau au lieu d'une IA et renvoyer péter le "systeme" et avoir une vie riche et intéressante.. (bon,il faut surement ne pas avoir de grandes ambitions financières ou matérielles, et ne pas calculer une éventuelle improbable retraite qui ressemblera de plus en plus à de la charité ou un RSA de "senior"), nous on ira aider les consommateurs à mettre leur courses (500g de Soleil vert par personne et par jour) dans des sacs (en papier recyclable)
SupaDog
Et toute suite la je me pose la question! Est-ce que c'est mon parcours assez chaotique et improbable, puis depuis une dizaine d'années beaucoup plus tranquille et socialement intégré qui me fait rencontré plus de gens qui ont ce genre de parcours??? Qu'ais-je donc vraiment choisi la-dedans?? Est-ce mon conditionnement de classe qui m'a fait transfuger? En tout les cas autour de moi j'ai plus d'anciens cancres qui on fait un peu de tout et de rien parfois (souvent) aux marges de la morale et des lois que de bon élèves qui ont tout bien fait leurs études leurs métiers comme une autoroute qui file vers le coucher du soleil genre Highway 61
bjeje
  • bjeje
  • Vintage Top utilisateur
SupaDog a écrit :
des petits jobs qui te permettent de prendre un peu de chomedu en attendant le RSA


Se revendiquer de gauche ça aide à justifier l'assistanat en fait....
De retour !

En ce moment sur backstage...