Lao a écrit :
gigilacarottes a écrit :
Quel enculé ce Chirac...
Pourquoi t'es si méchant?
Je suis sûr que Chirac est malheureux car son souhait premier, à mon avis, devait être de devenir "Empereur Chirac 1er".
Il a tout loupé.
Faut dire que ses collaborateurs l'ont pas aidé, à commencer par le prince Galouzeau.
En voilà un autre, de collaborateur :
Délinquance : les résultats mitigés de Nicolas Sarkozy
LE MONDE | 08.06.06 | 11h22 • Mis à jour le 08.06.06 | 11h36
Entre mai 2005 et avril 2006, les violences contre les personnes ont augmenté de 8 % par rapport aux douze mois précédents. Hasard du calendrier : cette "accélération de la hausse", selon l'expression de l'Observatoire national de la délinquance (OND), correspond à la période du retour de Nicolas Sarkozy au ministère de l'intérieur. Jeudi 8 juin, celui-ci devait présenter un bilan de son action depuis 2002, entrecoupée par un passage de quatorze mois au ministère de l'économie. Dans un sondage BVA publié ce même jour par Le Figaro, 9 % seulement des personnes interrogées considèrent que la délinquance baisse, tandis que 45 % jugent qu'elle augmente.
L'aggravation constante, depuis dixans, des atteintes aux personnes – +80 % entre 1996 et 2005 – trahit un durcissement général des rapports sociaux, un passage à l'acte plus précoce et plus radical des auteurs, estiment les policiers comme les chercheurs. "On est face à un phénomène de société, qui concerne toutes les couches de la population, les mineurs comme les majeurs, souligne Christophe Soullez, de l'OND. La solution ne peut venir seulement de la police." Pourtant, en janvier 2004, NicolasSarkozy tenait encore un discours volontariste sur ce sujet. Reconnaissant que les crimes et délits contre les personnes avaient fortement augmenté en 2003 (+ 7,3 %), il en avait appelé à la mobilisation des forces de l'ordre. "C'est le point noir qu'il faut résoudre", avait martelé M.Sarkozy. Deux ans et demi plus tard, le point noir a grossi. Représentant un acte de délinquance sur huit, les atteintes volontaires à l'intégrité physique – selon l'intitulé de la nouvelle rubrique calculée par l'OND – ont augmenté de 12,45 % entre mai 2002 et avril 2006.
Mais Nicolas Sarkozy compte mettre en avant d'autres chiffres pour vanter la qualité de son bilan à l'intérieur. Il devait souligner la baisse du nombre de crimes et délits enregistrés par les policiers et les gendarmes depuis mai 2002 (–8,8 %), la progression de neuf points du taux d'élucidation (33,65 %), ou encore celle du nombre de gardés à vue (+46,2 %). Quant aux violences contre les personnes, qui assombrissent son bilan, le ministre de l'intérieur devait réitérer les explications présentées le 1er juin, à Perpignan (Pyrénées-Orientales), devant les fonctionnaires de police. "Partout en France, avait-il souligné, les violences contre les personnes augmentent, et Perpignan n'est pas épargné par ce phénomène. Même si ce type de délinquance ne représente que 10% de l'ensemble. Même si dans cette catégorie, seules augmentent en réalité les violences de la sphère privée contre lesquelles on comprend que la police soit largement désarmée."
PLUS DE FEMMES MISES EN CAUSE
Les violences dans la sphère privée sont effectivement en forte hausse. Elles sont comptabilisées parmi les violences physiques non crapuleuses, qui ont augmenté de 7,8 % en 2005 (+27,5 % depuis 2002). "Cette tendance s'explique peut-être par un meilleur report des atteintes auprès des autorités, avance Christophe Soullez. Les nombreuses campagnes de sensibilisation sur les violences intrafamiliales ont dû porter leurs fruits." Toutefois, selon l'OND, les violences physiques dites crapuleuses, avec un objectif d'appropriation de biens, sont aussi en augmentation en 2005 (+4,1 %), alors qu'elles représentent 30 % des atteintes aux personnes. Globalement, depuis 2002, ces violences crapuleuses reculent de 8,7 %, après avoir connu une aggravation entre 1998 et 2002 (+59,7 %).
Parmi les facteurs explicatifs des violences contre les personnes figure, entre autres, la place de plus en plus conséquente des femmes parmi les auteurs d'actes délictueux. Ce phénomène est analysé, sur la durée, dans le dernier numéro des Cahiers de la sécurité que publie l'Institut national des hautes études de sécurité (Inhes), intitulé "Violence (s) au féminin". En 2004, près de 16 % des personnes mises en cause étaient des femmes. Entre 2000 et 2004, leur nombre s'est accru de près de 40 %, alors que dans le même temps, celui des hommes augmentait de 20 %. Concernant les violences contre les personnes, le nombre de femmes mises en cause pour atteintes volontaires à l'intégrité physique a augmenté de 39 % entre 1996 et 2000, puis de plus de 50 % entre 2000 et 2004.
Dans l'ouvrage, le chercheur Frédéric Ocqueteau avance parmi les explications de ce phénomène la fin de "la traditionnelle discrimination négative du système policier à l'égard des femmes, qui les aurait longtemps mises à l'abri de ses foudres". Cette minoration "machiste" des femmes se serait atténuée en raison des demandes répressives de plus en plus fortes dans la société.
Piotr Smolar
Je suis sûr que le nabot va encore s'en sortir...
"Si mon père m'avait offert la stimulation orale homosexuelle à laquelle j'avais droit à six ans, je n'aurais jamais pris de LSD sans sa permission, comme la plupart des gens."
Herbert Mullin