aimer une musique est le résultat d'un savant mélange (presque magique) entre la surprise, la découverte et la reconnaissance de schémas identifiables. Ainsi, plus on écoute de musique, et plus on possède la capacité de "reconnaître", mais moins on a la capacité d'être surpris. En musique, la frontière entre exigeance et élitisme est mince. L'élitisme n'est-il pas juste l'exigeance des autres ?
Le metal est multiforme, différents styles y sont mélangés, sans forcément d'autre raison que permettre une classification propice au but initial de la production de disques : la vente. En "verticalisant" ainsi la musique, on définit des "communautés" qui, dans les faits, n'existent pas vraiment ailleurs que dans l'imaginaire collectif. Comment trouver un point commun entre un amateur de Dream Theater, un fan de Slipknot et un fou de Craddle of Filth ?
Ainsi, ta question me semble doublement ambigue : dans ta définition de l'élistime musical, et dans ta définition de la "communeauté" métallique.
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