Pink Bat a écrit :
Pourquoi la vitesse tue moins en Allemagne...C'est juste qu'il savent surement anticiper même a 250 Km/h.
Sinon pour moi le pire est la fatigue, je trouve ça bien pire de rouler fatigué que bien bourré.
Bobba est omnubilé par la loi.
Regardes ailleurs, ils vont plus vite et ça marche mieux.
Raaah c'est pas vrai
J'ai l'impression d'etre Don Quichotte
Ils roulent plus vite donc ils ont moins d'accident c'est ca ?
On a vus que les accidents sur autoroute sont dérisoire par rapport au reste. Donc l'exemple allemand n'est pas valable, d'autant plus que c'est sur des portions assez limitées que la vitesse ne l'est pas.
La vitesse ne tue pas moins en allemagne qu'ailleur. Un mec qui a un accidents à 130 km/h en france ou au brezil ca ne change rien, c'est un homme (quasi) mort.
Si les allemands ont moins d'accident mortel qu'en france, c'est peut etre parcequ'ils sont plus attentif, et donc
QU'ILS MAITRISENT LEUR VITESSE en fonction de l'environement.
Alors arretez avec ce faux-argument des vitesses sur autoroute. C'est en ville et à la campagne que sont les morts !
A chaque fois que vous vous faites flasher par un radar surprise installé en "traitre" au detour d'un virage, ou en sortie de village, demandez vous ce qu'il se serait produit si le radar avait été un camion en travers de la route ou, un gamin qui passe en courant....
Je ne suis pas omnubilé par la loi, mais par les imbeciles qui pensent que la sécurité routière c'est pour les autres. Car ce sont ces imbéciles que l'on croise sur nos route. (et qui percutent les autres)
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969