Nikk Dee a écrit :
Bobba a écrit :
si Lovecraft etait un alcool, ça serait une liqueur fait-maison à 60°. (Et Stephen King serait un picrate pour gros poivreau :lol
terriblement vrai !
Sinon, mes préférées sont:
- Les Montagnes Hallucinées (comme beaucoup, je pense)
- Les Rats dans les Murs
- Celui Qui Chuchotait dans les Ténèbres (featuring Nyarlatothep )
J'aime aussi beaucoup
L'Affaire Charles Dexter Ward.
Rah, Lovecraft, toute mon adolescence...
Sinon, il y en a qui ont vu le très lovecraftien
L'Antre de la Folie de Carpenter ? C'est théoriquement inspiré de Stephen King, mais comme une partie de la cosmologie kingienne est une resucée de celle de Lovecraft (notamment la ville fictive, Derry, a.k.a. Arkham)...
Le film est excellent, mon Carpenter préféré à ce jour, et Sam Neill joue excellemment bien, comme à son habitude.
Nyarlathotep dans Celui Qui Chuchotait Dans Les Tenebres ??
Sinon j'ai un vieux film N&B, muet des année 40 qui retrace intégralement Call Of Chtulhu.. Et ben, les effets speciaux sont à chier (quoique..) mais ça dechire !
Une ambiance tres glauque, le noir et blanc colle bien avec
la nouvelle. Vraiment surprenant...
lemg a écrit :
Bobba a écrit :
si Lovecraft etait un alcool, ça serait une liqueur fait-maison à 60°. (
Et Stephen King serait un picrate pour gros poivreau :lol
Moi j'aurais dit du Jack Daniels.
Pouah ! J'ai jamais pus blairer Stephen King. Je préfère carrement matter les adaptions au cinema, voir meme les téléfilms pourris que de me faire chier avec ses pavés.
Tandis que Lovecraft, c'est autre chose ! Ca t'arrache la gueule, tu dois reposer le livre, le temps que ça descende un peu, et tu t'y replonge. Gueule de bois garantie.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969